Le vieux Burrows qui avait toujours eu beaucoup de prestance n’était plus que l’ombre de lui-même. Il semblait avoir rapetissé, il s’était rétréci, il était devenu frileux… tout cela parce qu’il avait perdu le bien qu’il estimait le plus précieux au monde : son amour-propre.
Ces centaines, ces milliers d’ouvrages constituaient une bibliothèque fabuleuse, peut-être la plus complète de tout le pays.
Malheureusement, ces livres n’étaient pas répertoriés, ce qui rendait les recherches difficiles, pour ne pas dire impossibles.