La Sirène

Kiera Cass est une auteure dont je ne sais décidément plus quoi penser : ses histoires légères et entraînantes parvenaient toujours à me divertir et à me faire rêver, notamment les trois premiers tomes de sa saga La Sélection, mais depuis quelque temps, j'enchaîne les déceptions avec ses derniers titres, comme La Couronne et maintenant La Sirène, une réédition de son tout premier roman, entièrement remanié.

The Siren n'est que... gentillet. On le lit avec facilité, on se laisse porter sans encombre par cette histoire somme toute plutôt plaisante, qui s'achève en un rien de temps... Mais lorsque l'on le referme, le charme n'opère plus, rien ne semble subsister de cette découverte, à cause du manque d'approfondissement des personnages et de leurs relations et de l'évidente prévisibilité dont souffrent le roman.

En quatre mots : le lecteur s'ennuie.
SI. le « s' » compte pour un mot, je suis formelle. Je suis prête à vous défier en duel grammatical s'il le faut. Pour l'amour de la maniaquerie grammaticale.

Kehlan est une sirène, elle doit servir l'Océan pendant un siècle en lui livrant les âmes des noyés, mais, ô drame, elle tombe amoureuse d'un humain alors qu'elle n'en a évidemment pas le droit.
Eeeeeet... C'est à peu près tout. Et ce n'est pas assez.

En effet, entre une histoire malheureusement inaboutie, un rythme lent et répétitif, des dialogues niais et des personnages principaux dont les sentiments amoureux se développent à une vitesse supérieure à celle de la lumière, il est difficile de se sentir conquis par cette lecture.
Encore une fois, le potentiel est là, la narration est agréable, la plume facile à suivre et la mythologie investie sympathique, mais l'intrigue pourtant très courte se perd dans des méandres amoureux lassants, et ne parvient pas à marquer son lecteur de façon durable. Pour tout vous dire, d'ici quelques jours, je serai sans doute incapable de retracer précisément le fil de l'histoire – j'ai même déjà du mal à me souvenir des prénoms des protagonistes. Non, je n'ai pas un Alzheimer précoce. Pas du tout.

En bref, un roman certes plutôt agréable à lire, mais hélas loin de laisser une marque indélébile chez son lecteur. The Siren est assurément plein de potentiel, et aurait pu être une très belle découverte si seulement Kiera Cass avait été plus loin dans l'élaboration de ses personnages, dans la structure même de son livre. Il ne s'agit certes que de son premier roman, et tout est évidemment loin d'être mauvais, mais le fond ne suit malheureusement pas.

Note attribuée : 4/10
Lien : http://mademoisellebouquine...

La première oeuvre de la célèbre autrice de "La Sélection".

La première chose qui m'a attiré, c'est la couverture ; elle est magnifique et a accroché mon regard. Ensuite, c'est le résumé. Bien que je trouve qu'il est encore en dessous de ce dont parlera l'histoire.

L'autrice a réussi à originaliser une espèce qui a été plus d'une fois la cible des auteurs et à donner une réelle voix à l'Océan, mais également une personnalité.

Le plus intéressant pour moi n'était pas la romance, même si j'adore les romances !, mais bel et bien la dualité entre : est-il acceptable moralement de tuer pour peu que ce soit pour une bonne cause ? L'héroïne se retrouve un peu malgré elle face à ce choix, et on comprend parfaitement bien son cheminement de pensée face aux choix qu'elle fait tout au long de l'histoire.

Mais pour moi, c'est aussi l'histoire d'une superbe amitié. le lien entre les Sirènes m'a vraiment marqué et j'ai appris à les apprécier comme des personnages à part entière et non pas juste des "soutiens".

Néanmoins, je préfère prévenir, je trouve la romance plutôt en fond comparé à ce qu'on m'avait "vendu". Attention, je ne suis pas contre, j'aime les livres où la romance n'est pas centrale, mais j'avais été trompé par pas mal de critiques et par le résumé. Pour le coup, elle était plutôt le déclencheur de toute l'intrigue, le moteur, plus que la finalité. Mais cela ne m'a aucunement empêché de le dévorer.

Je recommande bien entendu.

Bien que citée dans le résumé la romance de Kahlen et Akinli est au second plan du récit. En plus de l'amour avec un compagnon le roman nous parle aussi d'amour fraternel et d'amour maternel. le fil conducteur est surtout le mythe de la sirène. L'auteur s'est documentée sur les différents mythes évoquant ces créatures aquatiques. On retrouve quelques clins d'oeil à la Petite Sirène. Presque comme Ariel, Kahlen est muette sur Terre mais à la différence de la princesse rousse Kahlen reste sans voix par choix et non parce que l'Océan lui a volé sa voix.

Kahlen a faillit se noyer dans un naufrage provoqué par des Sirènes pour nourrir l'Océan. Malgré sa transformation en être surnaturel elle garde une grande part d'humanité. Même si elle en souffre elle est entièrement dévouée à l'Océan, jusqu'à sa rencontre avec Akinli qui va chambouler toutes ses certitudes et ses principes.

Akinli est présenté comme un charmant jeune homme mais il souffre intérieurement. Il manque de confiance en lui. Il nous apprend à ne pas nous fier aux apparences. D'ailleurs il ne s'arrête pas à la beauté de Kahlen. Il cherche à la connaitre réellement. Il va voir au delà de son handicap.

L'Océan est féminin dans ce récit et cela m'a perturbé. Dans mon imaginaire, nourri par la mythologie grecque, l'Océan est un puissant guerrier et barbu, une sorte de viking aquatique, ou Jason Momoa dans son rôle d'Aquaman. L'Océan est la mère des Sirènes et les aime. Elle ne les aime pas comme une mère aime son enfant. C'est une personnification omnipotente qui considère avoir droit de vie et de mort sur ses créatures. Elle est aussi jalouse et possessive. Je la considère comme un personnage négatif tout au long du récit.

Je suis mitigée sur ma lecture. C'était sympathique, l'histoire est mignonne mais ce n'est pas un coup de coeur. La fin m'a un peu émue bien qu'elle soit rapide. Tout au long du roman je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages.

« 𝚃𝚘𝚞𝚝 𝚊̀ 𝚌𝚘𝚞𝚙, 𝚛𝚒𝚎𝚗 𝚗𝚎 𝚖'𝚊 𝚙𝚊𝚛𝚞 𝚙𝚕𝚞𝚜 𝚊𝚐𝚛𝚎́𝚊𝚋𝚕𝚎 𝚚𝚞𝚎 𝚍'𝚎̂𝚝𝚛𝚎 𝚎𝚗𝚕𝚊𝚌𝚎́𝚎 𝚙𝚊𝚛 𝚕𝚎𝚜 𝚟𝚊𝚐𝚞𝚎𝚜 𝚙𝚕𝚞𝚝𝚘̂𝚝 𝚚𝚞𝚎 𝚏𝚘𝚞𝚎𝚝𝚝𝚎́𝚎 𝚙𝚊𝚛 𝚕𝚊 𝚙𝚕𝚞𝚒𝚎. »

Aujourd'hui je viens vous parler de la Sirène, le seul livre de Kiera Cass que je ne n'avais pas encore lu jusqu'ici, édité chez @pocket_jeunesse .

Dès les premières pages, j'ai été transportée dans un autre monde grâce à la plume de l'autrice toujours aussi fluide et prenante. J'aime beaucoup ses univers, chacun hypnotisants et dépaysants.

Ici, on fait la connaissance de Kahlen, à l'âge de 19 ans, elle perd ses parents dans un naufrage. Deux choix s'offrent alors à elle : périr ou devenir une chanteuse, une sirène permettant à l'océan de se nourrir, et ce durant 100 ans avant de retrouver sa vie. À l'heure actuelle, il ne lui reste plus que 20 ans à tiré mais la culpabilité la pèse et elle se renferme de plus en plus sur elle-même. Entourée de ses soeurs, elle se mélange de moins en moins aux humains et passe son temps à se remémorer ses actes passés.

J'ai adoré cette histoire ! On rentre assez rapidement dans le vif du sujet et la relation entre Kahlen et l'Océan ( qui semble être une personne à part entière) est très intéressante. C'est un one shot très rapide à lire, de par sa facilité ainsi que la façon dont l'histoire est tournée.

Idéale pour cette période estivale, je pense que cette romantasy young adulte peut plaire à beaucoup d'entre vous. Personnellement je suis toujours conquise par les histoires de Kiera Cass !

Kahlen va survivre au naufrage de son bateau jusqu'à ces 100ans en devenant sirene en échange de donner une fois par an des morts à l'océan et de lui donner sa voix.

Cependant, elle va tomber amoureuse d'un mortel à "l'âge" de ces 85ans. Malgré sa tentative de garder ses distances au fur et à mesure des années, elle ne va pas pouvoir respecter les règles de l'océan et mettre sa santé et celle de Akinli en danger. Mais c'était sans compter sur ses soeurs sirènes qui vont l'aider à surmonter les épreuves dictées par l'océan et son histoire d'amour.

J'ai beaucoup aimé redécouvrir cette romance : dès les premiers chapitres, on est vite mis dans le bain et on comprend que le destin de Kahlen est scellé
Dans cette romance, on retrouve le style de Kiera Cass, le même qu'on avait dans la Sélection
L'histoire est passionnante avec cette trope amour interdit !!
Et puis les personnages sont tellement touchants ensemble !!
Lien : https://www.instagram.com/p/..

Une écriture toujours aussi fluide et addictive avec Kiera Cass. Globalement les personnages sont plutôt attachants, que ce soient les principaux ou les secondaires, même s'ils manquent de profondeur selon moi. le fait que le rêve de Kahlen soit le mariage m'a un peu fait lever les yeux au ciel tout de même. J'ai trouvé intéressant le traitement de l'Océan, qui paraît ni méchant, ni gentil, on ne sait pas vraiment au début.
Il y a eu quelques moments où je me suis un peu ennuyée, et la relation, basée sur 3 moments partagés m'a semblé superficielle, sans vrai développement. L'autrice a tendance à ne pas aller au fond des choses, ce que j'avais déjà constaté dans La Sélection, spécialement dans les 2 derniers tomes. Ce qui fait que l'histoire est plutôt chouette, mais il y avait un potentiel pour qu'elle soit meilleure.
La fin m'a également un peu déçue, elle m'a paru vite expédiée.
Toutefois, malgré les défauts, ça a été une bonne lecture.

J'ai beaucoup ce livre mais pas au point d'un coup de coeur. Ce livre raconte l'histoire de Kahlen qui est une sirène depuis 80 ans sont but est de chanter pour obliger des humain à ce jetter dans l'océan. Pour l'océan ce nourrisse. Mais Kahlen vas rencontrer un jeune homme du nom de Akinli et cette amour vas mettre en cause tout ces opinion qu'elle s'est faite.

Kahlen est un des personnages avec qui je me retrouve le plus. Je trouve qu'elle est assez censé et que son comportement n'est pas poussé a l'extrême comme dans certains livre.

Ce livre m'a fait voyager dans plusieurs endroit et surtout au bords de la mer aussi l'histoire n'a jamais était ennuyeuse. Je vous le conseillerais

Une romance originale avec le mythe des sirènes, mais lié à notre époque, des jeunes filles soudées comme des soeurs avec l'interdiction de parler, au risque de tuer les personnes qui les entendraient.
L'océan a besoin d'elles, et des morts qu'elles vont engendrer, elles la nourrissent, mais voilà Kahlen ne supporte plus sa vie mais surtout les morts qu'elle entraîne avec elle en chantant.
Jusqu'au jour où elle va rencontrer un garçon qui va s'intéresser à elle, et elle va s'attacher alors qu'elle n'en a pas le droit.
Une histoire longue à se mettre en place et malgré une fin intéressante, je me suis ennuyée, l'histoire est trop plate, il n'y a pas de suspens, et je n'ai pas accroché avec les personnages, c'est bien dommage.

Je me suis lancée de ce roman, surtout parce que je connaissais l'auteure, et que je savais son imagination débordante.
Pourtant, je reste un petit peu sur ma faim. Bien sûr, je l'ai sans problèmes, mais, j'en attendais plus.
L'histoire ressemble trop pour moi à l'adaptation de celle de Disney. J'aurais voulu que Kierra Cass développe encore plus son histoire de sirène, et rentre peut-être un peu dans la mythologie.
Ce roman se lit assez vite, l'écriture est simple et efficace, les personnages sont assez attachants, mais il n'y a pas ce côté wahouh" que j'espérais en ressortant de ma lecture.
La romance est un peu trop rapide à mon goût, mais c'est le genre de romance assez douce, vraiment mignonne, un petit peu simpliste. Si vous avez juste envie de décompresser, de vous plonger tête baissée dans un bouquin sans artifices, sans grosses prises de têtes, alors foncez !