Les vingt-sept résidences « secondaires » des évêques normands au Moyen Âge n’ont pas intéressé les chercheurs et sont aujourd’hui, pour la plupart, oubliées. Ce furent pourtant, dans leur diversité (forteresses, maisons fortes, maisons plates), de splendides lieux de pouvoir temporel et ecclésiastique. Les prélats qui ont apprécié ces séjours y ont élevé de puissants bâtiments à vocation résidentielle (aula, camera, logis, chapelles) richement ornés (sculptures, pa...
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