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Quelle merveilleuse aventure au coeur d'une cité lunaire remplie d'imprévisibles fantaisies! Je me suis particulièrement attachée aux automates uniques dans leur similarité et surtout très sympathiques. Après le village, Emmanuel nous emmène avec Célestopol encore une fois dans un univers à l'image de son imagination débordante, que je ne cesse de découvrir et d'apprécier. Sans plus attendre je me lance vers Poussières Fantômes, le prochain de ses romans qui m'a déjà convaincu après quelques lignes de lui trouver un coin dans ma petite valise pour la Semaine de la mode de Milan!! Emmanuel Chastellière est définitivement un auteur à surveiller...!
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Bon à peu près tout ce que je n'avais pas aimé ou du moins peu apprécié avec le Village du même auteur se trouve ici gommé.

Nous retrouvons donc avec un recueil de nouvelles style Steampunk qui ont la particularité de prendre place dans une ville lunaire dont la culture est d'obédience russe.
L'écriture est, à mon sens, bien plus fluide, bien plus maitrisée... bref bien plus plaisante.
On y trouve pas mal de petites trouvailles sympathiques. Les thèmes abordés sont assez classiques mais l'enrobage est sympa et est constellé de pleins de petites cocasseries. J'y même ai retrouvé dedans un peu parfois de mon Perdido Street Station adoré...
Il subsiste certes quelques bémols. Certaines des histoires se finissent un peu comme une envie de pisser, soudainement et très rapidement. Par leur postulat de départ, quelques-unes auraient en effet mérité un peu plus de développement et souffrent du format très court des nouvelles choisi ici mais bon j'ai réussi à passer outre assez facilement.
Certains vont sans doute aussi critiquer le fait que Célestopol soit sur la Lune influence peu ou pas l'histoire, du moins d'un point de vue physique (au sens scientifique) ... mhoui ok mais je soutiendrai l'auteur sur le coup, c'est un livre de steampunk fun et s'engoncer dans des considérations newtoniennes auraient alourdi le tout de façon pachydermique. Cet aspect ne m'a pas non plus gêné.

Au bilan donc, un livre de Steampunk qui répondra largement aux attentes des amateurs ou non du genre. Et y a du matos pour faire beaucoup plus. j'en appelle aux Les Editions de l'Instant pour priver l'auteur de pomme-frites jusqu'à présentation d"un nouvel opus.

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Célestopol est un groupement de récits qui, à travers divers personnages, sur quelques années, nous raconte la magnificence et la déchéance de la cité lunaire de Célestopol, bijou de l'empire russe.
L'idée était des plus séduisantes mais, si je n'ai pas passé un mauvais moment, je suis toutefois restée un peu de marbre face à cette lecture qui, je m'en rends compte en écrivant ces lignes quelques semaines après avoir terminé ma lecture, ne me laissera pas grand souvenir. Si j'apprécie que des nouvelles nous parlent d'un même sujet (ici, la cité Célestopol), il faut toutefois bien admettre que c'est un exercice qui semble difficile. Dans ce livre d'Emmanuel Chastellière, j'ai trouvé sympa que l'on retrouve parfois des personnages déjà croisés quelques pages auparavant. J'aurais toutefois aimé que l'on ait peut-être un peu moins de protagonistes car, pour moi, il a été difficile de m'attacher à qui que ce soit (sauf l'ours, je l'ai franchement bien aimé!). Il est vrai que certains, comme le duc Nikolaï, ne sont pas faits pour être appréciés, et c'est tant mieux, ainsi il y a des enjeux quand lui et d'autres individus du recueil se croisent. Hélas, cela n'empêche pas un manque d'attachement global. Comme je l'ai dit, il y a beaucoup de personnages et, parmi eux, un certain nombre n'apparaît qu'une seule fois ; les rares à être plus ou moins récurrents sont parfois assez caricaturaux (la belle qui se fane, le duc mégalomane, la chasseuse de primes – ou un autre métier que j'ai oublié, désolée – super badass…) et, en dehors du duc qui n'est pas fait pour être apprécié, on les voit tout de même trop peu pour se prendre d'affection à leur égard. Cela ne m'aurait nullement dérangée si l'accent avait été mis sur Célestopol, comme je l'avais pensé en lisant le résumé qui, certes, parle aussi des protagonistes, mais ceux-ci semblent être au second plan du récit, pour mettre en valeur la cité. Mais ce n'est pas le cas.
En ce qui me concerne, j'ai trouvé que l'équilibre entre les personnages et la ville était justement trop équilibré ; ni les uns ni l'autre ne sont mis en valeur et on se retrouve avec quelque chose de trop pondéré. J'avais envie de découvrir la ville plus en profondeur, or je l'ai trouvée effacée. Comment se déroule la vie sous sa surface ? Et quelle est cette vie dans les égouts ? On nous lâche des bouts d'informations et on doit ensuite se débrouiller avec ; trop de mystères engendre de la frustration là où il aurait fallu juste attiser l'intérêt.
Pour ce qui est de l'univers, en revanche, c'est très chouette : il s'agit d'une uchronie dans laquelle l'empire russe s'est étendu, ayant désormais sous sa gouverne l'Europe mais aussi et surtout la Lune – Célestopol est d'ailleurs la seule cité lunaire. Il y a des mystères liés à la présence humaine (et technologique) sur le satellite terrestre, il y a des sciences à base de machines à vapeur et de robots (c'est du steampunk, j'en lis peu mais ça me plaît sacrément)… Bref, c'est vraiment sympa mais, tout comme je trouve que Célestopol n'est pas assez mise en valeur, l'univers non plus. Il en va de même pour l'ambiance générale car elle est assez changeante en fonction des nouvelles (j'ai bien aimé celle qui tend vers l'horrifique, en revanche celle qui tourne à l'orgie non-consentie des robots, non seulement je n'ai pas compris l'intérêt, mais en plus j'ai trouvé que ça cassait l'ambiance qui s'était mise en place auparavant). Ce qui concoure à l'atmosphère du livre, c'est bien sûr la cité lunaire et la vie qu'il y a, mais ce sont aussi les intrigues et la politique – j'aurais aimé un peu plus de politique, d'ailleurs, car les liens entre la Terre et la Lune semblaient intéressants.

Finalement, ce que je reproche surtout à Célestopol, c'est de ne pas assez se fixer, nous offrant des récits qui, s'ils sont généralement liés, partent souvent dans tous les sens et, pour ma part, je m'y suis un peu perdue. A cela s'ajoute l'impression d'un manque de développement et c'est dommage car cette ville lunaire méritait vraiment que l'on approfondisse plus l'ensemble (personnages, ambiance…).
Si j'ai aimé le format, je trouve qu'il ne sied pas à la grandeur de Célestopol. Ce n'est pas une mauvaise lecture, mais elle ne me restera pas beaucoup en mémoire.

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Ce livre est composé de plusieurs nouvelles, toutes liées entre elles par un fil conducteur. On est sur Celestopol, une cité lunaire gouvernée par un duc russe extravagant, qui a soif de pouvoir et d'innovation. L'intrigue se déroule au début du XXe siècle et nous fait suivre divers personnages, chacun le temps d'une petite histoire nous permettant de découvrir leur quotidien, leurs envies, leurs rêves, leurs colères ou encore leurs amours. le texte mêle les genres, même s'il est surtout porté sur la science-fiction, et aborde plusieurs thèmes de la société, ce qui nous donne une vision large de Celestopol. Chaque nouvelle nous emporte et est puissante à sa manière. L'auteur excelle dans l'exercice et parvient à nous embarquer dès les premiers mots.
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Célestopol, premier livre que je lis d'Emmanuel Chastellière, est une très belle découverte !

À première vue recueil de nouvelles avec pour fil conducteur la cité lunaire décadente, Célestopol prend plus la forme d'un roman aux chapitres indépendants les uns des autres, mais se répondant pour former un tout. le concept est fort et permet à l'auteur de nous faire voyager tout en rendant hommage à à la littérature de l'Imaginaire dans son ensemble. On trouve de l'aventure, de la romance, du fantastique, de la science fiction comme en faisait Jules Verne, des ambiances proches de Philip K. Dick et ses androïdes rêveurs et même un soupçon d'horreur cosmique.

Le style d'Emmanuel Chastellière est élégant, fluide et moderne. Les dialogues sont très naturels et on a juste ce qu'il faut de description pour faire naître les images de la ville dans toute sa splendeur, mais aussi de sa face cachée, bien moins accueillante. Nos guides dans la découverte de la cité lunaire sont tous attachants à leur manière. le duo de mercenaires (il y a un gros potentiel avec ces deux-là !), Sergei, les automates, ou encore le duc Nikolaï fascinant autant qu'inquiétant. On retrouve les différents personnages d'une nouvelle à l'autre, passant de principaux à secondaires, avec un grand plaisir.

Maintenant, je rêve d'un livre d'illustrations de Célestopol, type guide touristique comme on a pu le voir pour le Disque-Monde, ce serait génial. Et en attendant, j'ai hâte de reprendre un billet de traversier-obus pour y retourner, vraisemblablement l'année prochaine selon Emmanuel Chastellière avec Célestopol 1922 !
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La Lune à la fin du XIXe et au début du XXe siècle. Une ville sous un dôme avec ses canaux, ses palais, ses fastes et ses bouges. Un peuple bigarré d'humains, de chats et d'automates aux accents slaves. Telle est Célestopol, la ville qui sert d'écrin aux quinze nouvelles de ce recueil.
Dans Célestopol, Emmanuel Chastellière nous livre donc quinze vignettes à différentes périodes de ce qu'aurait pu être la vie sur la Lune dans une dystopie steampunk où l'empire russe a anéanti Bonaparte et où la Révolution d'octobre n'a jamais eu lieu. Si chacune des nouvelles est indépendante, elles sont classées par ordre chronologique des événements et certaines ne sont compréhensibles qu'en rapport avec les précédentes. Nous y retrouvons souvent les mêmes personnages : le duc régnant sur la ville lunaire, mais également des aventurières dont l'une accompagnée d'un ours sage et sentencieux, des escortes mécaniques ou un voleur bien entreprenant. Au fil des récits, Emmanuel Chastellière nous emmène découvrir toutes les strates de la société lunaire, de vieux baroudeurs gardant le barrage ou guidant les trains à l'extérieur du dôme protecteur, aux petits et grands bourgeois profitant de la beauté de la ville en passant par les étudiants, les ouvriers des niveaux souterrains ou le milieu interlope.
Attention toutefois, malgré tous leurs charmes ne vous attachez pas trop aux personnages. Que les histoires s'apparentent aux contes de fées, à la science-fiction pure, au fantastique ou au récit de moeurs, les quinze nouvelles de Célestopol ne sont pas des histoires heureuses. Les morts y servent souvent de chute, que celle-ci soit flamboyante, déconcertante, tragique ou même mezzo vote.
Pourtant malgré ce ton mélancolique ou, peut-être à cause de lui, j'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce recueil.
Lien : https://www.outrelivres.fr/c..
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Le format nouvelles est un format que j'apprécie de plus en plus, et l'essai est de nouveau transformé avec ce recueil.

La particularité de ce dernier, c'est que toutes les nouvelles le composant se passent dans un même univers : la ville sélène de Célestopol. Les personnages pour l'essentiel sont différents d'un texte à l'autre, mais de temps à autre, les destins s'entrecoupent, se croisent, tels des points de repère pour le lecteur. Une exception : l'ambivalent duc Nikolaï, qui règne en maître sur les lieux.

J'ai vraiment trouvé l'ouvrage bien construit. Les différents textes [...]

la suite sur https://ang-in.blogspot.com/2020/03/celestopol-demmanuel-chastelliere.html
Lien : https://ang-in.blogspot.com/..
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Deuxième oeuvre que je lis de l'auteur, "Célestopol" nous entraîne dans une cité lunaire de l'empire russe, dirigée par le duc Nikolaï. Je ne suis, à l'origine, que peu attirée par les recueils de nouvelles car elles sont pour la plupart sans suite; mais ici, liées comme elles le sont par le duc et sa ville, cela donne un mélange agréable entre roman et nouvelles. Un peu comme un calendrier de l'avent où, lorsqu'on ouvre une porte, on découvre sur la ville une vision différente chaque jour. Mais à l'inverse du calendrier, on n'attend pas le lendemain pour enchaîner les nouvelles!

L'ambiance est posée dès le départ, et nous voyons cette cité susnommée par les yeux d'un nouvel arrivant - tout comme nous le sommes. En apparence parfaite, cette cité sous cloche cache cependant son lot d'obscurité, embrumé par les vapeurs de sélénium et la lecture nous emmène à la découverte de ces énigmes.

Pour tous les goûts, il y a quinze nouvelles qui possèdent toutes une ambiance et un style différents. Mais toutes nous mènent vers les secrets les plus sombres de Célestopol, tel un jeu de piste passant par les canaux de sélénium qui ne sont pas sans rappeler Venise et qui serpentent dans la ville, le casino, les terres au-delà, etc. tâchant de nous donner une vision d'ensemble sur le personnage du duc qui a tenté de bâtir une ville à son image et qui, comme Célestopol, cache des fissures sous une façade merveilleuse.

On sent que l'auteur a travaillé avec soin ses nouvelles, les descriptions, l'histoire autour des personnages ainsi que leur psychologie. Ma préférence va aux deux mercenaires Arnrùn et Wojtek et aussi à la cousine du duc : Anastasia. Mélange des genres , Célestopol nous invite également à nous interroger sur la notion d'esclavage (avec les automates), de libre arbitre et de liberté. Nous avons droit à la vision de plusieurs personnages issus de différentes classes sociales.

En somme, j'ai vraiment adoré (avec des coups de coeur pour certaines nouvelles) et j'attends, avec impatience, de replonger dans les brumes de sélénium de Célestopol.
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Chaque nouvelle met en avant une facette de Célestopol, cité lunaire aux influences russes et steampunk avec ses automates et autres machines à vapeur. Et la grande force de ce récit est l'homogénéité des différentes nouvelles. Il n'y a pas une nouvelle que j'ai moins aimée que les autres, elles sont toutes très qualitatives et surtout toutes très surprenantes. On passe d'un style à un autre, il y en a pour tous les goûts, certaines nouvelles ont un côté un peu cynique que j'ai beaucoup apprécié, beaucoup ont un côté doux-amer et toutes gardent quand même un aspect assez sombre qui donne l'ambiance générale du récit. Emmanuel Chastellière réussit très bien l'exercice des nouvelles dans le sens où il parvient à nous captiver dès les premières lignes. Les nouvelles sont pourtant assez indépendantes, car elles introduisent toutes de nouveaux personnages et une facette différente de la cité, mais il suffit de quelques lignes pour s'adapter au nouveau décor. Autre point positif et pas des moindres, les nouvelles ont une longueur idéale qui permet les lire facilement d'une seule traite et donc de n'oublier aucun détail.

Les premières nouvelles m'ont quand même un peu frustrée, car c'était difficile de quitter les protagonistes auxquels on s'attache très facilement, mais une fois qu'on comprend le principe des nouvelles, on s'adapte facilement au fait de pas forcément revoir les personnages. Certains personnages reviennent quand même dans plusieurs nouvelles et dans chacune d'elles plane l'ombre du duc Nikolaï, le « dirigeant » de la ville, une figure à la psychologie complexe et très intrigante qui donne un certain charisme au récit.

Même si les personnages n'interviennent parfois que dans une seule nouvelle sur les quinze, on s'attache très vite et très facilement à eux, car ils sont extrêmement bien construits : très réalistes et humains (même si certains ne le sont pas vraiment…). Chaque personnage possède sa propre histoire et sa raison de se trouver à Célestopol. Ils ont tous un passé, un présent et un futur et finalement on les découvre à un instant T de leur vie, puis on les laisse partir. Pendant ce temps, ils représentent les guides qui nous mènent dans tous les recoins de la ville et nous font découvrir ses aspects politiques et sociaux. Car finalement Célestopol, est une capitale comme les autres avec beaucoup d'inégalités sociales et sous la lumière se cache beaucoup de poussière, ce qui est particulièrement bien exploité par les différentes nouvelles.

Un autre point très original et que j'ai particulièrement apprécié dans les nouvelles est l'influence russe de la ville du fait de son contexte géopolitique. On retrouve ainsi cette influence dans les noms des personnages, mais également dans la mythologie de certaines nouvelles. Ainsi l'auteur réutilisent certains mythes slaves et fait également beaucoup de clins d'oeil à la littérature de manière générale tout en conservant son style et sa patte personnelle.

Au final, j'ai grandement apprécié cette lecture et j'espère que cet univers sera repris un jour par l'auteur, car Célestopol et ses habitants sont loin d'avoir révélés tous leurs secrets !
Lien : https://sometimesabook.wordp..
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Une découverte, un vrai coup de coeur!

Célestopol est un recueil de nouvelles, pour moi du genre Uchronie Steampunk, entre La Lune seule le sait de Johan Héliot et le Paris des Merveilles de Pierre Pevel que j'ai beaucoup aimé aussi.

Imaginez un monde où l'Histoire a évolué différemment du notre et où l'Empire russe a conquis la moitié de l'Europe que l'Allemagne ne s'est pas attribuée ; la France, vaincue s'est repliée outre-Atlantique où Napoléon s'est taillé un empire appelé Nouvelle-France qui englobe une grande partie de l'Amérique du Nord.
La Russie a découvert un moyen de locomotion pour l'espace grâce à une matière découverte sur la Lune et y a construit une cité : Célestopol.
Nous sommes au début du 20e siècle, le Duc Nikolaï Romanov règne sur la cité lunaire que nous découvrons au fil des nouvelles dont les dates s'échelonnent de 1901 à 1932…

C'est la première fois depuis très longtemps que je dévore un recueil de nouvelles quasi d'une traite, juste une petite pause entre chaque texte pour me préparer à changer de personnages – quoiqu'on en retrouve certains – et de lieux de la ville – cadre essentiel de ce livre…

L'ambiance de la ville est cosmopolite mais l'ensemble des nouvelles est, à mon avis, imprégnée de mélancolie – à la fois espoir d'un monde meilleur et désespérance d'y parvenir…
Les personnages (même les automates) sont crédibles et bien « croqués », on s'y attache très vite. le seul (tout petit) reproche que je peux faire est que, pour certains textes, j'aurais aimé une ou deux pages de plus vers la fin!

Même si vous aimez moins les nouvelles et même si vous n'aimez pas la SF, il faut lire Célestopol, c'est un bouquin qui vaut vraiment la peine…

Lien : https://ocyaran.wordpress.co..
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