Maléfices

Dans la forêt, un employé de l'environnement est retrouvé mort, le visage horrifié. Des femmes disparaissent en pleine nuit, pendant le sommeil de leur mari. La ville semble envahie par des araignées. Joshua Brolin et Annabel O'Donnel vont enquêter sur ce qui semble être l'unique responsable de ces évènements.

Le dernier volet de la trilogie du Mal est beaucoup moins noir que les autres.
Seuls les personnages communs créent un lien avec les deux premières histoires.
Le récit est intriguant avec des scènes toujours aussi stressantes, mais la fin, bâclée à mon sens, constitue la faiblesse de cette trilogie.

Chattam a clôturé son expérience « Thrillers » et s'en sort mention très bien, tant je me suis immergé avec frissons dans son univers.

Adieu Brolin, ou peut-être pas!
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Ça a été une lecture un peu en dent de scie. Que ce soit l'emploi du temps de ma binômette ou le mien, ils ont été chargés, plein d'imprévus avec une petite pause au milieu mais ce thriller était passionnant et je n'ai pas eu trop de mal à me souvenir des détails… sauf pour Trévor Hamilton… avant la coupure, je ne me souviens de rien en ce qui le concerne, comment et pourquoi il a fini à l'hôpital, etc… Ça aurait mérité une relecture, mais le temps me manquant, je ne l'ai pas fait… le livre est tellement bien fichu que l'essentiel, notamment son rapport à l'enquête, était rappelé dans les pages plus récentes.

Une fois de plus, Chattam réussit à construire une histoire différente des deux précédentes. le premier volet était bien plus pragmatique, le second donnait une sensation de fantastique, quant au troisième, l'instrument des crimes est peu orthodoxe puisqu'il s'agit d'araignées.
On suit toujours Josh Brolin et Annabel O'Donnell, leur relation s'épanouit doucement ; on est de retour à Portland au milieu des policiers en poste, j'ai aimé retrouvé Salindhro ou Meats.
J'ai trouvé ce tome un peu moins stressant que les précédents. J'ai eu pas mal de difficultés à démêler le coupable, il faut dire qu'on croise un certain nombre d'arachnophile potentiellement de mèches… j'ai bien cru que c'était une association de malfaiteurs ce coup-ci, mais non, c'était juste un serial killer absolument machiavélique, tout était pensé au mm près, ça fait peur… et même les imprévus rencontrés n'arrêtaient pas la Chose -du nom choisi- tellement cette créature qui ne se considère plus vraiment comme humaine était tordue…

J'ai bien aimé ce tome. J'ai adoré cette découverte du genre thriller, et commencer par cet auteur a été bien joué
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Le Mal avec un M majuscule est censé empirer au fur et à mesure que l'on avance dans la trilogie, toutefois je mettrais un bémol à ce 3ème opus qui m'a moins accaparée que les deux premiers.
Néanmoins, déjà je n'aimais pas les araignées avant, mais alors là c'est sans retour possible!

Je connaissais pas CHATTAM, voilà qui est fait...Je me suis enchainé trois de ses bouquins (je suis un ouf, je sais !). C'est bon, c'est noir, c'est holywoodien : style tueur beau gosse super méga intelligent mais pas meilleur que le flic mal dans sa peau...Bref un petit moment de plaisir quand même... (celui ci c'est le moins tripant de la saga)

J'ai lu beaucoup de critiques négatives quant à la qualité de ce livre par rapport au deux précédents. Et bien je dois dire que pour moi, ce livre est le meilleur de la trilogie. Certes il ne dépasse pas de loin les deux précédents qui étaient déjà énorme, mais ce coté printanier donne plus de couleur à l'univers sombre de la trilogie du mal.

Les deux acolytes sont de retour pour élucider une affaire de meurtre en série et devront pour cela résoudre différentes questions scientifiques quant à l'utilisation de la soie d'araignée ou de la tetrodotoxine par exemple. Je dois avouer que ce livre m'en a appris beaucoup et la fin me laisse sur un sentiment de tristesse. Car oui la trilogie est terminée.

Ce Tome 3 commence tout doucement.
Il y a donc des attaques d'araignées particulièrement dangereuses, des disparitions, des victimes bien sûr.
L'une d'elle s'avère être le frère de Larry Salhindro, c'est alors que nous nous retrouvons bien évidemment en compagnie de Joshua Brolin, avide d'aider son ami, satisfaisant ainsi sa soif de curiosité d'éluder une nouvelle enquête bien particulière, de connaître ce nouveau tueur psychopathe.
Annabel O'Donnel ne tardera pas à faire son apparition, reformant ainsi la collaboration « Brolin-Annabel ».

J'ai trouvé ce roman moins addictif que le précédent et encore bien moins par rapport au Tome 1.
Peut-être suis-je lassée... j'étais étonnée de m'ennuyer à plusieurs reprises.
Peut-être le côté araignées trop présent, l'enquête par moment pas assez réaliste, et surtout beaucoup d'éléments trop répétitifs, bien trop répétitifs.
Ce qui est sûr, c'est que nous en apprenons beaucoup sur le monde de l'arachnophilie, c'est ce qui m'a plu, d'apprendre, même si encore une fois, tout était un peu trop répétitif.

Il y a des passages que j'ai trouvé un peu grotesques... Par exemple Brolin qui meurt, mais en fait pas vraiment, et quelques heures plus tard, déjà sur pieds et prêt à reprendre l'enquête... ce n'est qu'un exemple parmi tant d'autres... un manque de réalisme sur pas mal de points, je n'ai malheureusement pas été transportée cette fois-ci.
Et je m'attendais à une fin « noire », je suis peut-être psychopathe, mais du coup j'ai été un peu déçue !!

Quoi qu'il en soit, le moins bon de la trilogie pour ma part, il y avait pourtant tant de potentiels !

Beaucoup de détails médico-techniques, ça plaît ou non, mais ça ne m'a pas dérangé. le début pose l'ambiance, un mort qui n'est pas mort, un commencement d'énigme pour arrêter un tueur en série. J'ai trouvé que la traque du tueur faisait très télé dans son déroulé, les chapitres sont courts et donnent un bon rythme, cependant les personnages n'ont rien de particulier, ils sont fades et je n'ai pas plus que ça eu d'accroche à eux.

Dernier petit point, les intrigues qui se déroulent aux Etats-Unis font presque toutes fictions à mes yeux, alors que quand cela se passe en France c'est plus proche, plus personnel car je peux y mettre les pieds et rapproche le livre de la réalité, tandis que les USA sont plutôt séries et films, surtout avec l'écriture de Chattam.

Ca reste un bon page-turner, c'est ce que je cherchais.

Un roman original qui utilise les araignées comme une nouvelle façon pour effrayer et tuer les gens, un peu abusivement. Bon suspense avec beaucoup de fausses fins amenant à des revirements. Une histoire soft d'amour qui se termine bien.

À Portland, Oregon, des femmes disparaissent de leur lit conjugal en pleine nuit, Puis des araignées tuent des habitants. La psychose s'intensifie.
Annabel O'Donnell, la détective new yorkaise, et Joshua Brolin, le célèbre profiler, rejoignent l'enquête aux côtés du FBI. Comment le tueur fait-il pour s'introduire chez ses victimes sans jamais être vu, sans effractions.
Puis des cadavres de femmes momifiés et emprisonnés dans des toiles d'araignée géantes sont découvertes dans les forêts alentours. Les victimes sont vidées de leurs organes, comme aspirées.

C'est un bon thriller, avec pleins de rebondissements et bien sûr la fin me tient toujours hors d'haleine.

Ainsi s'achève la Trilogie du Mal qui porte tellement bien son nom.

Mais où Maxime Chattam va t-il chercher tout cela ?

Pour ce dernier opus, nous sommes de retour à Portland, sous une chaleur caniculaire. Ce qui n'empêche pas un nouveau meurtrier en série de sévir, et de rivaliser d'inventivité dans ses "signatures".

Bien sûr Joshua Brolin, "Josh", s'y colle, et cette fois en compagnie de la belle Annabel, découverte dans le tome 2.

J'ai beaucoup apprécié, comme dans les autres tomes, la façon dont Maxime Chattam explore les méandres psychologiques et émotionnels de ses protagonistes.

J'ai beaucoup moins aimé, décidément je n'y arrive pas, certaines descriptions fort détaillées mais fort désagréables à la lecture en ce qui me concerne.

Toujours est-il que Maléfices clos la trilogie dans la veine des précédents : du rythme, du suspense, des rebondissements, des portraits psychologiques finement ciselés et des personnages de plus en plus attachants qu'il m'a été difficile de quitter !