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EAN : 9782298085013
301 pages
France loisirs (30/11/-1)
3.5/5   15 notes
Résumé :
Résumé: Lors d'une enquête sur un meurtre, Théophane Fournier apprend qu'il va faire équipe avec une psy, Antonella Fabrini, réputée asociale et désagréable. Malgré quelques heurts, ils finissent par s'entendre et peu à peu, Théophane va découvrir le passé douloureux que cache soigneusement sa coéquipière.
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
La scène d'accroche s'ouvre sur le meurtre de Monsieur Roux tué par sa femme. Puis l'enquête est confiée à Antonella, psychologue qui vit avec sa jumelle Ombelline. Antonella travaille avec Théophane, un flic un perdu depuis qu'il a perdu son équipier six mois plutôt. Ensemble, ils vont devoir trouver le mobile du meurtre. Très rapidement, les langues se délient sur le caractère détestable de la victime qui maltraitait psychologiquement son épouse. Cette enquête réveille une sombre histoire qu'Antonella a vécu 18 ans plutôt car derrière cette femme froide, directe et croqueuse d'hommes, se cache une femme fragile au passé difficile. Entre les deux équipiers va naître une relation qui déstabilise Antonella, peu habituée à trouver sur sa route un homme tel que Théaphane. Une fois l'affaire résolue, leur relation va évoluer mais il doit avant connaître la terrible vérité. Ce dernier va enfin découvrir le lourd secret de celle qu'il aime...
Roman qui décortique le thème de la maltraitance des femmes et des répercussions familiales. Comment peut-on vivre sa vie d'adulte sereinement quand on a vécu le pire enfant ? C'est ce que l'auteur développe avec beaucoup de psychologie dans les personnages et le suspens. Même si l'action n'est pas au centre du récit, on est porté par l'angoisse des personnages et le permanent questionnement. J'ai beaucoup apprécié ce livre qui aborde des thèmes difficiles, souvent tabous de ces femmes qui n'osent parler, isolées dans une soumission dévastatrices.
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Une femme regarde son mari se vider de son sang, puis appelle la police pour signaler le meurtre.
Un dossier des plus faciles pour le lieutenant Fournier qui depuis la perte de son coéquipier a eu une forte baisse de régime. Mais il manque au dossier le mobile et on lui adjoint Antonella Fabrini, une psychologue pour faire la lumière sur ce fait.

Sur la première de couverture la mention SUSPENSE : un suspense qui ne dure que quelques dizaines de pages, deux interrogatoires de témoins et un bref entretien avec la meurtrière est l'affaire est close.

Au lieu dur roman policier annoncé, l'auteure nous sert une longue diatribe sur le passé douloureux de la psychologue et son rapport aux hommes : des longueurs qui succèdent aux longueurs sans le moindre intérêt.

Pour les amateurs de romans policiers c'est plus qu'une énorme déception !!!

Lien : http://imaginaire-chronique...
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Je ne m'attendais pas, si peu de temps après mon premier coup de coeur de l'année à tomber sur ma première amère déception. Et pourtant si ! J'attendais avec impatience de lire ce livre dont le résumé m'avait séduite, mais j'ai vite déchantée.
Dès le départ, et par ordre d'apparition : Antonella, Ombelline, Théophane… On est dans la surenchère de prénoms « originaux » quand ils ne sont pas ridicules comme si l'auteur avait eu besoin de se démarquer autrement que par son histoire. Celle-ci aurait-elle été moins aboutie si les personnages principaux s'étaient prénommés Antonia, Julie et Thomas ?
S'il peut être amusant, voire intéressant s'il a une histoire, d'avoir un prénom sortant de l'ordinaire parmi les personnages, ici l'emploi systématique de tels prénoms a deux conséquences : la première, cela nuit à la crédibilité de l'ensemble du texte (comment prendre au sérieux celle qui a nommés ses personnages ainsi), la seconde, il est plus difficile pour le lecteur de s'identifier aux personnages et donc de plonger complètement dans l'histoire.
Reste à espérer que les prénoms aient une incidence sur l'enquête ou sur la psychologie des personnages.

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Première critique pour ce livre...

J'ai d'abord été attirée par le personnage féminin. C'est elle qui m'a donné envie de continuer la lecture. Essayer de la comprendre.

Je n'ai pas pu lâcher le livre sur les 100 dernières pages.
La fin... inévitable quand on y réfléchit bien et pourtant elle reste encore très brutale à mon réveil ce matin.

Un geste de trop...
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L'analyse psychologique prime sur l'enquête policière.
Intéressant, émouvant mais des longueurs.
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Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
La maltraitance n’est pas qu’une question de violence physiquee. Dans la police, on intervient presque uniquement dans ces cas-là car il y a des preuves, du bruit, des cris, des plaintes de la part des voisins, etc. Mais il y a d’autres genres de maltraitance, bien plus courants et souvent méconnus parce qu’indécelables… qui sont tout aussi graves. Ceux-là ne sont pas aussi flagrants que des bleus, des côtes cassées et des ecchymoses…
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Comment, à notre époque, les hommes pouvaient-ils être encore aussi rétrogrades, misogynes, si persuadés d’être au-dessus des autres juste parce que la vie les avait pourvus d’un pénis ? L’existence prouvait assez souvent que les femmes étaient tout aussi aptes qu’eux et indépendantes. Quel genre d’homme était capable de croire en la supériorité d’un sexe sur l’autre et la nécessité de le démontrer par la violence ?
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Antonella n’était pas une grande femme à la beauté ravageuse. Elle était de taille moyenne, pas vraiment mince, sans pourtant être grosse. Plutôt plantureuse, avec des atouts physiques qui attiraient le regard des hommes, elle savait user de ses charmes à la perfection. C’était une séductrice, consciente de son potentiel qu’elle utilisait avec une facilité déconcertante. Son sourire si rare illuminait une pièce et sa rareté était un avantage certain pour surprendre et envoûter. Ce qui lui plaisait le plus était la chasse. Son gibier préféré, les hommes qui lui résistaient.
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C’était pitoyable d’être heureux d’accomplir une besogne de bonne femme. D’être acculé à de tels travaux, indignes d’un homme. Et d’en parler de manière si naturelle comme s’il était désormais acquis que les hommes s’adonneraient aux mêmes passe-temps que leurs moitiés.
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Tous les êtres humains sont des tueurs potentiels. On peut se targuer d'être l'espèce la plus civilisée, on reste des animaux en puissance. Il suffit de rencontrer son déclencheur et on serait capable d'exterminer n'importe qui...
Les tueurs en puissance sont des gens normaux qui ont juste atteint leur seuil de tolérance, l'ont dépassé et sont acculés à ce besoin : devoir passer à l'action.
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