Guilhem recherche toujours activement la cathédrale invisible, haut lieu d'initiation du catharisme. Sur ses pas, l'inquisiteur Gui lutte toujours activement contre l'hérésie cathare.
Ce dernier tome va clore la série, qui a viré sur la spiritualité. Guilhem est en fait dans un parcours initiatique qui lui permettra de devenir "parfait". La symbolique du labyrinthe comme voyage à travers sa propre vie et connaissance intérieure est reprise. Mais enfin tout cela reste assez métaphysique et me laisse complétement de marbre...
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Pour finir l'oeuvre des croisades, l'inquisition travaille à faire disparaître totalement l'hérésie cathare et les bons hommes qui bénéficient d'une implantation profonde dans la population occitane. An 1310, Sud de la France, nous suivons les aventures et l'initiation d'un des derniers parfaits cathares, ces « fous de pureté ». Une série au scénario intéressant, utilisant des expressions de l'époque et qui nous plonge dans la dure vie de l'époque où la vie meilleure sera peut-être dans l'au-delà...
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Guilhem Roché, accompagné de son ami Mariel atteignent l'endroit qu'ils pensent être le lieu de la mythique cathédrale des cathares, le Mont des Égarés.
Mais sur place, très vite ils déchantent.
L'endroit est un véritable gruyère de trous et de cavernes, déjà investis de plusieurs personnes, que l'on pourrait qualifier d'ermites, eux aussi à la recherche de cet endroit sacré, et parfois depuis de longs mois si pas années.
La présence de souffre en abondance provoquant et amplifiant les rêves ou phobies les plus folles, certains de ces ermites semblent avoir perdu la raison depuis très longtemps, ce qui n'est pas de nature à rassurer Guilhem.
Derrière nos deux comparses, Arnaud Gui n'est pas loin. En s'appropriant plusieurs livres à couverture de bois de Parfaits, il est arrivé aux mêmes conclusions que Guilhem...
Mais que vont-ils trouver sur ce Mont des Égarés, qui porte finalement peut-être bien son nom....
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Après un périple compliqué, notre héros finit son histoire par une vision interieure du catharisme (?). Un peu - voire beaucoup - asbcon. Un peu décue par cette fin abrupte d'une série et d'un personnage attachant.
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Une fin de quête aux accents cathares superbement orchestrée par deux auteurs visiblement inspirés.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Les débuts sous forme d'histoire médiévale plutôt classique aboutissent à une réflexion philosophique sur soi : une métaphore brillante et profonde d'un chemin de vie.
Lire la critique sur le site : BDGest
Si après une vie d'épreuves, de prières et de renoncements, vous parvenez à la porte du Temple... peut-être ne s'ouvrira-t-elle pas.
J’ai simplement appris à surmonter le funeste engourdissement qui fait vivre les hommes dans un état de rêve qu’ils prennent pour la réalité.
Nul ne peut atteindre l’aube sans passer par le chemin de la nuit.
Le temps qui passe ne fait que ternir mon doute et raffermir ma détermination.
La discorde et la dissension sont armes plus redoutables que l’épée.