L'écrivain a l'air de nous cacher quelque chose, comme Racine.
La musique même de l'oeuvre, grave, soutenue, avec ses pointes d'allégresse, ses moments de jubilation qui sont comme des jets de lumière dans le lamento : cette douceur sombre, ce discours harmonieux, n'y percevez-vous pas certaine plainte plus profonde encore, la crispation horrifiée du blessé, quelque chose comme un insaisissable aveu qui nous serait crié de l'abîme et que nous essaier...
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