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3,38

sur 274 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Coup de coeur assumé pour ce roman, déjà best-seller, qui m'a littéralement enthousiasmée et que j'ai dévoré en trois jours. E.O Chirovici a le don pour balader son lecteur et pour le tenir en haleine. Si vous avez aimé les romans de Joël Dicker, vous serez sûrement séduit par celui-ci.

A travers trois parties bien distinctes, l'auteur met en lumière l'assassinat jamais élucidé d'un professeur d'université et la disparition d'un mystérieux manuscrit qui pourrait bien être la clé de voûte du roman. La première partie de l'histoire met en scène Peter Katz. Il est agent littéraire et reçoit un jour les 50 premières pages d'un manuscrit. L'auteur de ce texte inachevé, Richard Flynn, y aurait raconté dans quelles circonstances le professeur Wieder, éminent psychologue, aurait été assassiné dans les années 70. La première partie du livre nous donne donc à lire ce fameux manuscrit vérité. Peter Katz, emballé par sa lecture (tout comme le lecteur en chair et en os) cherche à en savoir plus. Il contacte donc l'auteur mais celui-ci est décédé. Peter va donc engagé un journaliste free-lance afin qu'il retrouve la fin du manuscrit.

La deuxième partie met alors en scène John Keller. Il est journaliste. Peter lui a demandé de mettre la main sur le reste du manuscrit. S'il ne parvient pas à le retrouver, il aura alors la tâche d'enquêter et de reconstituer les faits tels qu'ils se sont déroulés lors de la mort du professeur Wieder. La troisième partie du roman met enfin en scène un flic à la retraite qui reprend lui aussi l'enquête afin d'en savoir plus sur la mort de Wieder.

Les trois parties s'imbriquent les unes dans les autres et adoptent toutes un point de vue différent. Tandis que Peter Katz se contente de lire le manuscrit de Richard Flynn; John et le policier vont enquêter pour savoir si ce que raconte Flynn est vrai. Comme le titre du roman l'indique, il s'agit d'un jeu de miroirs entre les différentes versions de l'histoire. Un même événement est démultiplié pour montrer de quelle manière il a pu être vécu selon la personne concernée. L'auteur nous entraîne au coeur d'une histoire haletante. Même si l'intrigue reste conventionnelle, j'ai trouvé l'enquête passionnante. Finalement, ce n'est pas tant l'identité du coupable qui importe ici. L'auteur joue plutôt sur les effets de la mémoire, le problème du souvenir et de la subjectivité. La question de la déformation des événements passés tient ici une place prépondérante et j'ai beaucoup aimé la façon qu'avait l'auteur de traiter ce problème.

Jeux de miroirs est définitivement une lecture coup de coeur. Ce roman m'a tenu en haleine et l'auteur maîtrise parfaitement sa narration. L'enchaînement des points de vue m'a beaucoup plu et permet une réflexion intéressante sur les pouvoirs de la mémoire.
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Alors qu'il s'agit de l'un de mes genres de prédilection, je ne parviens jamais à dégager un peu de temps pour m'y consacrer par le simple fait que j'ai ce besoin de silence absolu afin de pouvoir être immergé totalement dans l'intrigue et ressentir l'angoisse grandissante des différents personnages au fur et à mesure que l'enquête avance.

Dans le cadre de mon challenge Tour du monde littéraire, je suis tombé par hasard sur cet auteur roumain, E.O. Chirovici et qui a totalement remis en doute ma certitude que ce genre est exclusivement réservé aux auteurs américains. C'est d'ailleurs la première fois que je retrouve cet côté immersif et addictif que l'on ne rencontre habituellement pas auprès des auteurs européens.

Alors que je préfère une alternance régulière de narrateurs, l'auteur nous propose un texte inédit, subdivisé en trois parties et chacune consacrée à un personnage qui, à sa manière, fait avancer l'intrigue.

Cette dernière est maîtrisée et où rien n'est laissé au hasard. L'auteur est très intelligent et force son lecteur à se diriger vers de fausses pistes sans jamais envisager une seule seconde le scénario proposé dans le dénouement final. Ce dernier est inattendu, bluffant où, une fois encore, E.O. Chirovici s'écarte des habituelles boucheries.
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L'agent littéraire Peter Katz a reçu un mail de Richard Flynn avec, en pièce jointe, un extrait d'un manuscrit relatant ses souvenirs lorsqu'il était étudiant à l'université de Princeton en 1987. Il y a fait connaissance du professeur Joseph Wieder par l'intermédiaire de sa colocataire Laura Baines.
Cela suscite l'intérêt de Peter Katz qui décide de commencer immédiatement la lecture du manuscrit. Richard Flynn n'aura jamais l'occasion de lui remettre la fin du manuscrit.
Nous découvrons le manuscrit avec Peter Katz dès le deuxième chapitre. Avec un style fluide, l'auteur détaille la psychologie de chacun des personnages et nous plonge dans les méandres de la mémoire.
Le roman est découpé en 3 parties correspondant à 3 voix différentes du récit : Peter Katz, l'agent littéraire, John Keller, un de ses amis journaliste free lance et Roy Freeman, inspecteur de police à la retraite. Chacun découvre des documents et recueille différents témoignages. Cela se traduit par la confrontation de différentes versions des événements remontant à près de 30 ans.
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Avant tout, ce qui m'a attirée pour ce livre c'est sa couverture et son titre. Comme son nom l'indique, la couverture a un effet miroir très mystérieux et donne envie d'en savoir plus. Je ne pensais pas être aussi prise fans l'histoire et pourtant, j'ai franchement eu du mal à reposer le livre, à tel point que je l'ai fini en un seul jour, voulant tout savoir.

Quand Peter Katz reçoit un manuscrit intitulé "jeux de miroirs", il l'intrigue immédiatement. Après avoir lu les premières pages reçues, il décide de joindre l'auteur en question. En effet, ce que raconte ce livre, c'est un fait divers qui s'est passé quelques décennies plus tôt. Malheureusement, entre temps, l'auteur est mort. Néanmoins, Peter Katz est déterminé à avoir la fin de l'histoire. Pour cela, il engage un journaliste d'investigation pour écrire la suite du livre...

Avouez qu'étant dans le monde du livre (et moi en plus auteure), tout cela intrigue ! Alors, quand j'ai commencé cette lecture, je vous avoue que je ne savais pas dans quoi je me lançais, si ce n'était que ça risquait d'être une histoire assez particulière, que l'on voit peu (voire pas du tout) en littérature. Et je ne me suis pas trompée !

Comme je vous le disais plus haut, je ne m'attendais pas à aimer autant, à être prise dans ce cercle vicieux, à vouloir en savoir toujours plus. À travers trois voix, nous voyons l'histoire découler de nos yeux. Nous sommes, en quelques sortes, les acteurs de ce récits. Car, comme les personnages, nous menons aussi cette enquête si mystérieuses.

Et je peux vous dire que vous n'êtes pas au bout de vos surprises. L'auteur manie très bien les mots et nous fait suspecter tout le monde. Mais quand je dis tout le monde, chacun devient petit à petit le meurtrier de ce vaut divers. On ne sait plus quoi penser, l'auteure nous tord l'esprit petit à petit, pour nous amener sur des chemins plus que tortueux.

Je n'irai pas jusqu'à dire que je me suis attachée aux personnages, parce que je pense que l'auteur a fait en sorte que ce ne soit pas le cas. Et c'est là encore une preuve qu'il a très bien réussi son coup ! Parce que, même si on a beau de pas forcément aimer les personnages, ils nous rendent assez curieux pour qu'on veuille en savoir plus sur eux.​

​En résumé, voilà un polar qui m'aura pris en ses dents et ses griffes du début à la fin. J'ai franchement eu beaucoup de mal à le lâcher, tant j'ai été prise dans ce cercle vicieux. Les personnages ont aussi leur façon de nous tenir en haleine, accentués par l'auteur qui sait jouer sur les mots. Un roman que je vous conseille vivement de découvrir !
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Un rythme et une tension implacables donnent une lecture addictive. Une irrésistible envie de poursuivre la lecture s'empare de vous : attention prévoir un week-end calme pour en profiter. Je suis prête à parier que vous serez pris aussi par ce récit habilement construit.
Au départ de ce récit, le meurtre d'un grand professeur de psychologie, est un prétexte pour nous entraîner sur des réflexions liées à la mémoire et à l'interprétation des souvenirs. Découpé en trois parties correspondant à trois visions du drame, le lecteur est embarqué sur différents points de vue et pistes jusqu'au dénouement.
Pour les points forts du livre : le lecteur se sent immédiatement associé à l'histoire, le style et l'écriture sont tellement fluides. Les thématiques sur la falsification des souvenirs et la capacité du cerveau à réécrire un événement sont passionnantes.
Les points faibles : je n'en n'ai pas trouvé.

Cet habile récit n'est pas un roman policier même s'il est question d'un meurtre et rappelle les romans de Donna Tartt comme « le maître des illusions ».

Premier roman de cet auteur, publié en France par les éditions Les Escales, je vous le recommande chaudement. N'hésitez pas et régalez-vous.
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Vous connaissez sans doute cette scène finale de la Dame de Shanghai d'Orson Welles. Dans un épisode culte, l'acteur et metteur en scène se trouve avec Rita Hayworth dans une salle remplie de centaines de miroirs. Alors que les personnages se cherchent s'évitent, se toisent ou s'affrontent, les reflets se répondent à l'infini, rendant impossible la distinction de ce qui est réel et de ce qui ne l'est pas.
Le roman d'E.O. Chirovici, Jeux de Miroirs (éd. Les Escales) est lui aussi une brillante parabole sur le thème de l'illusion, de la vérité et de la réalité, dans un thriller extrêmement brillant.
Peter Katz, agent littéraire new-yorkais reçoit par courrier le manuscrit d'un certain Richard Flynn qui raconte son témoignage sur un fait divers survenu en 1987, 30 ans plus tôt, dans le campus de Princeton. Cette année-là, un soir de décembre, l'illustre professeur de psychologue Joseph Wieder est assassiné. Flynn, un des principaux témoins, avec son amie de l'époque Laura Baines, souhaite apporter la solution à ce crime resté sans solution. Mais le manuscrit est incomplet et s'achève avant la fin. Peter Katz, sentant le futur best-seller, essaie de contacter l'auteur, en vain car Richard Flynn vient de décéder un peu plus tôt. L'agent charge donc un journaliste, John Keller, d'enquêter sur ce crime et d'écrire la fin de l'histoire. Ce nouveau narrateur part à la recherche des témoins de cette époque et les interroge opiniâtrement, avant de laisser la main à un quatrième personnage, Roy Freeman, un policier à la retraite qui a travaillé sur ce dossier des années plus tôt.
Le jeu de miroirs de ce polar américain, malin et qui se lit d'une traite, réside d'abord dans la manière dont les quatre narrateurs appréhendent un fait divers. La recherche de la vérité prend les allures d'un jeu de puzzle complexe. L'auteur place les dialogues, les témoignages et les interprétations au centre de ce roman policier, dans la veine des grands classiques d'Agatha Christie ou de Georges Simenon. Pas d'experts scientifiques chers à NCIS, pas de bains de sang, pas d'enquêteur blasé ou torturé, pas de courses au sensationnel : Chirovici fait dialoguer ses personnages, à la recherche de faits, d'indices discordants ou de phrases qui peuvent être lourdes de conséquences. Les témoins sont invités à se ressouvenir de ce qu'ils faisaient cette année 1987, à Princeton, et surtout ce qu'ils ont vu le soir du meurtre.
Jeux de Miroirs est sans nul doute le grand thriller de ce début d'année et marque l'éclosion d'un auteur à suivre absolument.
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Trois parties bien distinctes composent ce formidable roman dans lequel il est question du meurtre jamais résolu d'un enseignant d'université et de la perte d'un mystérieux ouvrage autour duquel s'articule le récit. Le lecteur, confronté à trois vues de la tragédie, est alors entraîné sur différentes pistes jusqu'au dénouement. Il s'agit, comme l'indique le titre, de jeux de miroirs entre les diverses interprétations des uns et des autres, qui changent selon les protagonistes et la manière dont ils ont vécu et ressenti les choses. Le sujet porte sur l'influence de la mémoire, la question du souvenir et la problématique de la subjectivité. La distorsion des événements est ici une occasion de nous entraîner dans des réflexions liées à la souvenance, l'altération des impressions et la faculté du cerveau à réinterpréter le passé. Tout compte fait, trouver l'identité du coupable importe peu, l'intérêt est ailleurs. La recherche de la vérité est en outre captivante, elle nous happe, d'autant que la fin, pas si simple, loin d'être claire et indiscutable, engage la responsabilité de chacun. Les personnages sont bien construits, complexes, leur psychologie fouillée, leurs visions à la fois contradictoires et complémentaires. Le style et l'écriture sont fluides, l'intrigue originale, intelligente, bien pensée et organisée. Quand il s'agit de souvenirs, il est bien difficile de faire la part des choses. Et c'est là la force de ce roman.
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Voici un roman pas comme les autres. Un roman qui intrigue, qui questionne et qui happe son lecteur. Une enquête peu commune sur une ancienne affaire, qui interroge sur la mémoire, les souvenirs et les interprétations diverses. Une belle découverte, à lire !

Peter Katz est agent littéraire. le jour où il reçoit le début d'un manuscrit qui traite de l'assassinat d'un professeur dans les années 80, fait divers ayant défrayé la chronique et meurtre jamais élucidé, l'agent sait qu'il a entre les mains un manuscrit qui peut faire l'effet d'une bombe. Et ce début se révèle prometteur. L'auteur, Richard, y raconte ses années d'étude à Princeton, où il va faire la connaissance de sa sublime colocataire, Laura, étudiante en psychologie. Leurs liens deviennent plus intimes, et elle finit par lui faire rencontrer son mentor, le professeur Joseph Wieder, qui travaille sur la mémoire et les souvenirs, ponte renommé de la psychologie, souvent appelé à statuer sur l'état psychique d'accusés lors de procès. Rapidement, Wieder met Richard mal à l'aise, l'étudiant se demande s'il n'entretient pas une aventure avec Laura. Quand l'auteur s'approche du moment dramatique et de la disparition brutale du professeur, le manuscrit s'interrompt. Et si la vérité sur ce meurtre jamais élucidé se trouvait dans la suite du manuscrit ? Si ce n'était pas une fiction ?

Malheureusement pour Katz, l'auteur vient de décéder et sa compagne, qui n'était pas au courant de l'existence de ce manuscrit, ni des liens de Richard avec le professeur Wieder, ne parvient pas à mettre la main sur le manuscrit complet. Il décide donc d'engager un journaliste d'investigation, qui se lance dans un dédale de souvenirs et de faits pour comprendre ce qui s'est exactement passé ce fameux soir de la fin des années 80. Puis c'est au tour de l'ancien policier en charge de l'affaire à l'époque qui se replonge lui aussi dans l'affaire, pour tenter de démêler tout ce qui est sorti de l'enquête du journaliste et résoudre enfin le plus gros échec de sa carrière.

Voici un méli-mélo de souvenirs et d'interprétations qui nous montre que quand il est question de la mémoire, il est très difficile de faire la part des choses. Et c'est bien la force de ce roman. L'auteur interroge sur la part d'interprétation que nous mettons dans nos souvenirs. Est-ce bien notre souvenir ou un événement qu'on nous a tellement raconté qu'on se l'est approprié comme étant le nôtre ? Si on interroge plusieurs personnes sur un événement qu'ils ont vécu ensembles, leurs souvenirs coïncideront-ils ? Rien n'est moins sûr, chacun se rappelant de certains détails, en occultant d'autres, et interprétant avec le temps ce qu'il s'est passé, s'en convaincant au passage. C'est à peu de choses près ce dont nous a parlé l'auteur lors d'une rencontre en janvier dernier, le point de départ de ce roman. Par le biais de trois personnes différentes, une ayant vécu les faits directement, une autre ayant enquêté dessus, et enfin une dernière complètement extérieure à cette histoire, l'auteur nous happe autour de ce fait divers et distille petit à petit les éléments qui amènent à la vérité. Une vérité bien plus complexe que prévue, loin d'être nette et tranchée, interrogeant par là-même la responsabilité de chacun.

Par des personnages bien construits, d'une complexité extrême, qu'on est obligé de remettre en question, chacun analysant les faits de par leur vision du monde, leurs souvenirs et leur intelligence, Eugen Chirovici nous propose un roman extrêmement bien construit et écrit, qui nous emporte de page en page vers une résolution bien loin de celle qu'on attendait. La psychologie des personnages est tellement bien façonnée, avec leurs qualités et leurs défauts, leurs faiblesses, que le roman nous amène à réfléchir sur nous, nos actes. La fin est tellement bien amenée et inattendue qu'elle nous interroge sur notre perception des choses qui nous entourent, sur nos souvenirs et ce que nous pensons comme vrai et acquis.

L'auteur n'en rajoute pas, son écriture est acérée, directe, nous happe jusqu'à la dernière ligne. Cette enquête, magnifiquement construite et qui nous fait suivre tour à tour trois personnages différents, qui reprennent les investigations du précédent, est originale, fait varier la narration et apporte de la nouveauté, de nouveaux personnages, de nouveaux passifs, de nouvelles choses à découvrir.

En somme, Jeux de miroirs est un très bon polar, à la construction très bien pensée, à la fin déconcertante, qui interroge sur la mémoire. A lire !
Lien : https://breveslitteraires.wo..
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309 pages
9/10
Acheté sur une brocante durant l'été 2018, ce bouquin était resté dans ma bibliothèque sans en bouger. Suite à la critique de Valérie, j'ai décidé de me plonger dedans...
Et bien, comme Val l'avait dit, on retrouve une plume comparable à celle de Dicker !
J'ai été captivée et prise dans le bouquin très rapidement...
Le seul bémol à mes yeux est peut-être que l'histoire évolue par 3 voix d'intervenants... je m'attache vite aux personnages et intervenants donc j'ai été un peu frustrée de devoir quitter l'un ou l'autre narrateur... c'est un choix de la part de l'auteur et je ne suis pas certaine que sans 3 intervenants différents la boucle aurait pu se boucler...
Un mal pour un bien donc !!
Très captivant, je recommande 😉
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E.O Chirovici est un écrivain romain, dont les jeux du miroir parcourra un des plus grands succès de ses oeuvres. Jeux de miroirs comble divers mystères et questionnement durant la lecture. Un ancien agent policier devra enquêter un meurtre survenu depuis des années. Il devra compléter l'histoire non-finaliser d'un mystère non résolu. le mystère restera lointain des réponses...
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