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3,76

sur 321 notes
Le sujet difficile abordé par Confusion m'en faisait appréhender la lecture. Mais ce fut finalement un excellent moment à passer, malgré quelques aspects du roman qui m'ont moins convaincue.

En premier, ce qui m'a tout de suite séduite, c'est le ton naturel de l'héroïne. C'est tellement vrai ! Et j'ai adoré son humour désabusé. J'ai vraiment eu l'impression qu'elle me parlait, ma lecture coulait toute seule. du coup, j'ai été prise immédiatement dans l'histoire, surtout que l'auteur a eu l'intelligence de commencer son roman en entrant directement dans le vif du sujet.

Malheureusement, j'ai eu souvent un peu de mal avec le comportement de Grace (notamment, et surtout, avec ses beuveries et ses moqueries). Son côté assez superficiel et égocentrique ne m'a pas aidé. Surtout quand elle m'a donné l'impression qu'il faut que l'on boive/couche pour gagner son respect et l'impressionner. Ce n'est carrément pas le genre de fille que j'aime fréquenter... Elle m'a gonflée à essayer de pousser les gens à devenir comme elle, comme si elle était exactement ce qu'un ado doit être et qu'on ne puisse/doive pas être autrement sinon ce n'est pas normal. Fréquenter de genre de personne est épuisant et donne tout sauf l'estime de soi.
Mais il y a quand même des aspects de l'héroïne qui m'ont parlé. En particulier le fait qu'elle écrive. Ça m'a tout de suite rapproché d'elle. Et même si je ne suis pas parvenue à comprendre certains de ses agissements, elle a réussi à me toucher. Car il faut avouer aussi que ce sont les bons ET les mauvais côtés de sa personnalité qui font d'elle un être humain réaliste. Et j'y ai cru. Et puis c'est mignon de la voir évoluer, s'attacher à un garçon, car même si l'on sait que ça va mal finir, on comprend que ce n'est pas une période perdue. En définitive, Grace a finalement su m'attendrir car elle est plus fragile et sensible qu'elle ne veut bien se l'avouer.

Mais contre toutes attentes, mon coup de coeur va à un personnage secondaire extrêmement discret : Devon. Mais également à Sophie, tout aussi discrète. Ils se dévoilent très peu et l'héroïne n'en attend rien. Elle est persuadée de savoir ce qu'il faut sur eux et les considèrent comme inintéressants, car, il faut le dire, Grace est assez superficielle avec les gens, elle ne creuse pas plus avant et se garde une idée toute faite d'eux. Devon et Sophie sont pourtant de vrais perles, et c'est ce que Grace va découvrir.

Par contre, le second bémol pour moi, c'est qu'Ethan n'est finalement rien d'autre qu'un (joli) objet de décoration. Les moments entre Grace et lui ne servent pas à grand chose il faut le dire. Ou juste à nous confondre. C'est plus un prétexte pour que Grace nous raconte son histoire. Car c'est en la racontant, en prenant de la distance, qu'elle va pouvoir évoluer. Ce qui fait que les passages entre Grace et Ethan auraient pu être retiré sans que le roman en devienne moins intéressant.

Si je n'ai eu aucune difficulté à continuer ma lecture, là où j'ai eu le plus de mal à reposer le livre, c'est quand même au dernier tiers du roman (en fait, pour dire vrai, je n'ai pas pu le reposer). On approche de la conclusion, on sent ce qui se trame autour de la Grace du passé qui ne voyait rien, on raccroche les évènements les uns aux autres. Et la pression monte, car en tant que lecteur, on sait à quoi tout cela va mener. On sait que tout se referme autour de Grace et quelle en sera l'issue fatidique. Il y a une vraie tension et un flot de sentiments qui se déversent dans cette dernière partie. Une spirale tout en émotion dans laquelle j'ai été totalement entraînée.
Car, durant tout le roman, c'est tout un parcours que Grace va entreprendre afin de se comprendre elle-même, de mettre le doigt sur ce qui la ronge, sur ces vérités douloureuses qu'elle esquive. Des vérités d'ailleurs inattendues pour ma part.
C'est compliqué, humain en somme. Rien n'est simple. Rien n'est tout noir ou blanc. Personne n'a totalement tort ni totalement raison. Chaque relation est touchante, complexe, que ce soit les amitiés, les amours, les liens mère-fille. Et l'auteur ne joue pas les pudibondes. C'est un roman très réaliste.

J'ai un peu songé au roman Treize raisons de Jay Asher, dans le sens où ils abordent tout deux le thème du suicide et où les personnages nous racontent comment leur vie a dérapé et les a mené à cette finalité. Mais contrairement à Treize raisons (que je n'avais pas du tout aimé par ailleurs), il y a dans Confusion beaucoup plus d'espoir, et c'est pour cela que je conseillerai sans hésitation ce dernier sur le sujet du suicide.

La fin n'est pas une surprise, on la sent venir. Mais peut-être est-ce parce que j'ai déjà lu un roman qui se concluait sur le même type de révélation (et dont je tairai le titre car ce serait un énorme spoiler pour ceux qui l'ont lu). D'autant que cette conclusion m'a un peu laissée sur ma faim malheureusement. J'en aurais voulu plus. Ou au moins un petit épilogue. de plus, je n'ai pas eu toutes les réponses à mes questions.
Mais cette fin donne de l'espoir et l'envie de vivre, de continuer envers et contre tout, car on ne sait pas de quoi sera fait le futur. Peut-être sera-t-il meilleur que ce que l'on a vécu. Et pour moi, l'espoir est essentiel dans un roman pareil. Et je l'ai eu.

Pour résumer, le caractère de Grace ne m'a pas entièrement plu, et les passages avec Ethan m'ont paru plutôt inutiles, mais cela ne m'a pas empêché d'être touchée par l'héroïne réaliste et humaine, son histoire et toutes ces relations qui s'entremêlent. Ce roman est un vrai concentré de sentiments et d'émotions.
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C'est intriguée par le quatrième de couverture et heureuse (enfin !) d'avoir entre les mains un One Shot YA, que j'ai commencé cette lecture.
Ajoutons que cette collection YA a été plaisante et surprenante depuis quelques mois, j'ai confiance dans leur choix de sélection.

Le roman débute en nous plongeant dans le huis-clos, l'environnement de la narratrice prisonnière et ses interrogations. La curiosité du lecteur est tout de suite piquée au vif et annonce un bon page-turner.
Plus qu'une véritable angoisse ou oppression c'est le questionnement sur la cause de sa détention qui prime. La situation bien qu'étrange n'est pas une réelle pression, et l'ambiance se détend assez vite.

L'héroïne se retrouve donc face à elle-même et ses pensées errent vers ses souvenirs, qu'elle couche sur le papier. Les chapitres alternent donc entre sa détention présente et des morceaux d'enfance, les derniers jours et évènements avant le fameux soir etc...
J'ai apprécié ses aller-retours et ce jeu sur la mémoire qui aide à la compréhension, c'est bien mené et m'a un peu rappelé le dernier jour de ma vie de Lauren Oliver (et au final à plus d'une occasion).

Là où je suis moins d'accord avec le quatrième de couv' (qui déjà en dit trop selon moi) c'est sur le côté surprenant du dénouement... Une lecture avidement rapide mais pas particulièrement attentive permet de le pressentir assez tôt dans le roman, il n'y a donc pas vraiment cet aspect révélation coup de poing annoncé ! Plus que la curiosité du "pourquoi l'enfermement" c'est finalement celle du "comment va-t-elle comprendre" qui prend le pas à partir de ce moment.
Pour autant pour moi l'intérêt principal de ce roman n'est pas là mais dans les sujets abordés par sa trame : le mal être adolescent et les comportements morbides notamment. D'autant plus que ces points sont abordés avec intelligence et réalisme, c'est que je retiendrai de ce roman

En résumé Confusion est un roman plaisant qui maintient son lecteur curieux et qui aborde des sujets adolescents difficiles de façon honnête et réaliste.
Sa construction, aussi bien narrative que celle de la trame, bien que plaisante a un goût de déjà vu (j'ai cité Oliver mais je pourrais aussi bien faire avec Bal de Givre à New-York de Colin) et joue en sa défaveur : la révélation finale n'est pas vraiment une surprise...
Clarke n'a pas assez joué sur le thème de l'enfermement d'après moi, il en devient presque secondaire et s'efface trop vite alors qu'il aurait pu offrir beaucoup plus (au delà du simple questionnement, de l'angoisse ou une pression supplémentaire qui est somme toute ici bien fade et vite oubliée).
Lien : http://www.perdreuneplume.co..
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J'avais déjà lu Cruelles de Cat Clarke, un très bon livre dont j'avais regretté la fin (très valable, mais j'en veux toujours plus!). Ici je ne dirais pas que c'est exactement pareil (on reste moins sur notre fin que dans Cruelles).
Tout au long de ce roman je me suis amusée à imaginer ce qui se passait, ce qui s'était passé. Comme lorsque votre amie vous raconte un bobard ou justement vous cache la vérité. Grace n'est pas très douée à ce jeu-là, je pourrais l'aider beaucoup !
Ce roman a une dimension psychologique j'ai trouvé, c'est vraiment très intéressant.

Je le recommande chaudement !!
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Même pour Hunger Games, qui était parfait, j'ai trouvé le moyen de chercher la petite bête, et de la trouver. Parce qu'il y toujours ce petit quelque chose, dans un livre, qui nous dérange, nous titille. Mais là... Où voulez-vous trouvez la faille du roman ? Où voulez-vous critiquer ? Où voulez-vous parler de ce qui manque au roman pour qu'il soit EXCELLENT ?
Nulle part. Vous ne pouvez pas en parler, point. Tout simplement parce que les réponses aux questions précédents n'existent pas. Parce que ce livre, c'est LE livre. Celui qui marque, qui reste gravé, qui touche, qui torture, englobe toutes vos pensées avant, pendant et après la lecture.
Parce que ce livre, c'est une bombe. Et encore, le mot est faible.
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Dès ce début, nous savons que la narratrice, Grâce, 17 ans, est enfermée dans une pièce toute blanche et que sa seule occupation est d'écrire sur l'unique table où des ramettes de papier et des stylos sont mis à sa disposition. Ethan, un beau jeune homme qui la retient prisonnière, lui rend régulièrement visite et semble intéressé par ce qu'elle écrit sur son passé.
Elle se souvient de son amour pour Nat, tourmenté, étrange et difficile. Elle déplore la dégradation de ses liens avec Sal, sa meilleure amie. Elle évoque la disparition de son père, l'indifférence de sa mère souvent absente, sa solitude au lycée où pourtant elle se révèle une excellente élève, ses nuits de beuverie en compagnie d'autres jeunes plus ou moins connus.
Jusque là, rien à redire, sauf que je ne trouvais pas ce début très original parce que des histoires d'enfermement racontées par les prisonnières elles-mêmes, avec ou sans enfant, j'en ai lu pas mal ces derniers temps, dont deux excellents: Room de Emma Donoghue et Séquestrée de Chevy Stevens mais quand Grâce, la jeune enfermée, découvrit sur ses bras de très nombreuses blessures, plus ou moins bien cicatrisées, j'ai commencé à soupçonner le véritable endroit où elle se trouvait et qui pouvait être, en réalité, le très sage et très compréhensif Ethan qui ne cessait de réclamer les récits de ses rêves nocturnes. Dès lors le charme de ma lecture s'est envolé!

Confusion! le titre est à lui seul le résumé du roman.
Confusion dans les souvenirs et l'esprit de l'héroïne.
Confusion dans le comportement de ses amis.
Confusion sur la véritable identité de chacun.
Mais confusion aussi dans ma tête de lectrice perdue au milieu du roman, faute de pouvoir continuer à jouer le jeu. Une fois la fin devinée - trop tôt- je ne sentais plus aucun intérêt à poursuivre ma lecture terminée en diagonale avec d'autant moins de scrupules que je ne me suis pas attachée à cette tigresse de Grâce qui ne craint aucun excès et tombe dans tous les pièges: une véritable boule de nerfs qui agit avant de réfléchir et se mutile ensuite! Non merci! Je passe!
Lien : http://liratouva2.blogspot.f..
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Grace est une adolescente de 17 ans totalement désabusée. Après un énième coup dur, elle décide d'en finir avec la vie. Mais au moment de passer à l'acte, un ravissant garçon répondant au nom d'Ethan l'enlève. le lendemain, Grace se réveille dans une pièce entièrement blanche, seule, avec des feuilles et des stylos comme compagnie, avec comme ordre d'y coucher sa vie, sans détours, ni mensonges.

Confusion est un roman très lent à démarrer. Et avant la tentative de suicide de Grace, je me suis beaucoup ennuyée (après aussi, à vrai dire). J'ai donc fait l'impensable : j'ai cherché des spoilers. J'en ai trouvé facilement sur Booknode, avec bien plus d'explications que je ne cherchais, mais en tout cas c'était assez complet. Au moins, je ne savais pas quel était l'élément déclencheur. Alors j'ai lu avec attention les nombreux flashbacks de la vie de Grace, mais très vite sans intérêt.

Parce que Grace est juste une gamine de 17 ans désabusée par la vie, seule, qui boit (trop), fait la fête, a un sale caractère et qui trouve le moyen de perdre toutes les personnes qui l'aime, alors qu'elle pourrait être une jeune fille très entourée. Ça n'a tellement pas collé entre elle et moi car je l'ai trouvée trop égoïste par moments, ou alors quand ce n'était pas carrément sa meilleure amie qui me sortait par les yeux.

Dans l'ensemble, Cat Clarke a une bonne plume : elle écrit bien, c'est fluide, elle a du vocabulaire et ses héroïnes ne se ressemblent pas. C'est toujours pour moi un plaisir de lire ses livres pour cette raison d'ailleurs. Mais celui-ci m'a paru tellement creux, tellement vide, qu'une semaine après ma lecture, je n'en garde presque pas de souvenirs, si ce n'est mes notes pendant ma lecture...

En bref, Confusion est un roman avec un thème qui aurait pu être très prenant - j'aime bien ce qui sort de l'ordinaire - , mais sa lenteur et son personnage principal ne m'ont pas aidée. Je passe la main !
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Grace avait tout pour être heureuse. Mais quelle jeune fille de son âge n'a pas passé des heures à geindre de son quotidien, de sa penderie pleine à craquer convaincue de n'avoir rien à porter, et de rien qui ne se passe jamais comme prévu ?

Elle avait pourtant Nathan, pour qui elle craquait complétement, Sal, sa meilleure amie toujours là en cas de coups durs, et jouissait d'une certaine popularité dans son lycée, où elle s'était intégrée tant bien que mal : alcool, aventures sentimentales à répétition, fêtes à tout va chaque fois que l'occasion se présentait. Elle voulait être là où il faut être vue, se faire remarquer, et pas toujours de la meilleure manière qui soit. Etre « la fille cool », toujours prête à tout…

Entrant et sortant de chez elle comme dans un hôtel, sa mère laissait passer toutes ses tentatives de provocation pour attirer l'attention. Absente la plupart du temps depuis le décès de son père, leurs rapports alternaient brefs conflits et échanges superficiels. Mais derrière cette façade d'ado désinvolte se cachait une mélancolie latente qu'elle ne supportait plus.

Un soir, déçue de tout et de tous, elle s'enivre et part seule dans un parc avec la ferme intention de se suicider. Son dernier souvenir ? Sa rencontre avec le mystérieux Ethan. Kidnappée et enfermée dans une chambre où tout est blanc, avec seulement des feuilles et des stylos, elle se met alors à écrire, comme il le lui demande. Elle n'a d'ailleurs guère d'autres occupations, si ce n'est cogiter sur sa vie et dormir. Grace ne fait pas dans la langue de bois lorsqu'elle évoque son passé. Un passé dont elle n'est pas vraiment fière… L'introspection à laquelle elle se soumet révèle son manque de confiance et d'estime de soi ; mais jusqu'à ce moment, elle ne s'en est pas beaucoup souciée.

Ethan… Tout au long du roman, le mystère demeure sur ce personnage troublant. Il fait tout pour elle, anticipe, chacun de ses besoins, lui apporte de bons repas, fait le ménage, veille à ce qu'elle ne manque de rien. Mais elle ne sait pas ce qu'elle fait là ! Qu'y a-t-il derrière la porte de cette chambre stérile qu'elle n'ose ouvrir ? Et que lui veut-il ? Peu à peu, elle s'aperçoit qu'elle développe le syndrome de Stockholm pour cet inconnu qui l'attire malgré elle…

L'emploi d'un style « oral », les longs flashbacks et ses monologues lorsqu'elle fait le point sur sa vie, donnent l'impression de connaitre l'héroïne et implique le lecteur dans l'intrigue. Mais comme elle le dit elle-même… : «C'est douloureux de penser […]. Je suis fatiguée de penser. Je suis fatiguée de me souvenir. ». de la mort de son père en particulier, dont on ne sait rien jusqu'à la fin, bien qu'elle l'évoque souvent.

Plus crue et cynique que ne le sont certains auteurs de sa génération (on pense aux récentes publications de Gayle Forman) , Cat Clarke signe un premier huis-clos perturbant, une pause dans le temps où tout repère disparait.

« Confusion » envoute, provoque et suscite l'intérêt jusqu'aux dernières lignes et… laissant espérer un second tome !

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On plonge dans ce roman avec Grace qui se retrouve enfermer dans une pièce blanche et pour éviter son ennui couche sur papier son histoire. On y apprend que son père s'est suicider, que sa mère ne s'occupe pas d'elle, que Grace adore boire, qu'elle adore coucher avec pleins de garçons et qu'elle adore se scarifier.

L'histoire prend un degré différent lorsque sa meilleure amie, Sal, lui avoue qu'elle est tombée enceinte. C'est a ce moment là que Grace fait la connaissance de Nat, le mec parfait selon elle. On sent qu'il y a quelque chose qui cloche quand Grace se fait rencontrer Sal et Nat. On sent une tension. Et dans les cents dernières pages on comprend pourquoi
Hm, Je ne me suis pas attaché aux différents personnages, la fin aurait pu durer plus longtemps. le garçon qui retient Grace prisonnier, Ethan, pour ma part je n'ai pas très bien compris pourquoi il la retient. J'aurais aimée en savoir plus sur lui au lieu qu'il disparaisse en plein milieu du roman. Pour tout dire, je crois que je n'ai pas compris tout court le livre. Voila, je suis confuse.
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Grace, 17 ans, a décidé de mettre un terme à son existence. Après avoir [...] Suite sur le blog !
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Encore un titre de la collection R qui ne m'a pas laissée indifférente et que j'ai beaucoup beaucoup aimé...
Le soir même où elle a décidé de se suicider, Grace fait la rencontre d'Ethan ... le lendemain , elle se réveille enfermée dans une pièce blanche , une table, des stylos et des feuilles ... elle est détenue prisonnière par ce Ethan dont on ignore tout ... enfermée dans cette pièce , elle va commencer à écrire sa vie !!!
Confusion est bouleversant, intriguant, passionnant, captivant , prenant et angoissant, on suit l'histoire de Grace qui est poignante et on n'en sort pas indem ....

J'ai été complétement retournée et même chamboulée à certains moments , à mesure que le récit défile, on comprend le désespoir qui a poussé Grace à vouloir s'ôter la vie.... à mesure que Grace écrit, elle nous confie ses rêves , ses peurs et tout se qui l'a brisée , tout ce qui l'a poussée à en arriver là.

Grace est une fille séductrice , dure et tranchante mais aussi fragile en même temps à cause de son passé douloureux. On s' attache facilement à Grace , on ressent a travers son récit son malaise, sa douleur et ses moments de bonheur....
L'écriture de Cat Clarke est juste, fluide et agréable , l'histoire est racontée avec beaucoup d'émotions , on tourne les pages vite et sans vraiment sans rendre compte , je n'avais jamais envie de le reposer je voulais continuer à en apprendre plus sur Grace et où tout cela allait nous mener ( même si bien avant la fin j'avais déjà ma petite idée ) la fin est assez frustrante car ce n'est pas une vraie fin où tout est réglé, non loin de la !!! ( d'ailleurs pourquoi??? pourquoi cette fin ??? ), même si cette fin nous donne de l'espoir, on se dit qu'on ne sera jamais le dénouement final pour Grace ( enfin sauf si l'auteur fait un tome 2 mais je ne pense pas ).....
Par contre, bien que la couverture soit jolie, j'ai une préférence pour la couverture anglaise.
En conclusion , c'est un livre qui ne laisse pas sans ressentir des émotions et qui se lit très vite , donc c'est suû je le conseille même si ça n'a pas été un coup de coeur pour moi.....
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