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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
La conclusion apparemment nihiliste de ce roman pourrait laisser entrevoir d'autres perspectives à condition de se placer ailleurs, par exemple en prenant comme référentiel la roue des âges en vertu de laquelle, à tout anéantissement succède nécessairement un renouvellement. Nécessité au nom d'un rien dont la révélation est toujours reportée à plus tard.


De ce roman lu en décembre 2019, je ne garde que des souvenirs épars, mais je sais que je le lisais alors dans un car qui me conduisait vers Bellegarde-sur-Valserine. Alors je me sentais en sympathie avec la fatigue apocalyptique de ce roman.
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Ceci est ma deuxième lecture des enfants d'Icare et je dois avouer que j'ai encore plus apprécié le livre que lors de ma première lecture. Cette constatation est plutôt étonnante. En effet, j'ai cru que, en connaissance des retournements de situation, l'étonnement de la première lecture se remplacerait par une conscience des défauts du livre plus appréciable. Néanmoins, cette deuxième lecture m'a plutôt permis d'aller plus loin dans ma compréhension du texte, et des implications de la spiritualité se révélant, particulièrement lors de la troisième et dernière partie du livre. Mais ce n'est pas pour autant que je n'ai pas aimé les autres sections du roman.

La première partie, entre les conflits de la guerre froide et l'arrivée d'extraterrestres plus qu'intrigants, est riche en stimulation. En lisant cette partie, ce qui m'a le plus interpelé fut les nombreux échanges entre Karellen et Stormgren, dévoilant peu à peu le plan des suzerains. Leur contrôle passif de l'humanité ne cesse de faire peur, car l'on se demande constamment pourquoi les extraterrestres sont là et quels sont leurs intérêts.

La deuxième partie, l'âge d'or est tout aussi passionnant. Certes, elle n'est pas aussi concise et épurée que la première partie, mais l'histoire se développe bien, et le changement de personnage est rafraichissant. Certains y trouveront un inconvénient, mais ce changement est nécessaire compte tenu de la période sur laquelle s'étend l'histoire. On y suit donc un couple chez leur ami. Après une soirée remplie, les derniers invités s'adonnent à une séance de Ouija par laquelle l'emplacement de la planète des Suzerains nous est révélé. Si la scène manque un peu de suspense et que les émotions des personnages sont maladroitement gérées, on ne peut s'empêcher de se demander ce qui a permis un tel miracle. C'est avec une attention redoublée que l'on suit alors les démarches de Jan, afin d'accomplir une curieuse quête. Malgré des longueurs dans ce dernier arc narratif, le tout nous fait encore tourner la page. Ce point est à mon avis le plus bas dans le roman, mais cela est rapidement rattrapé par la troisième partie.

Cette troisième partie est la meilleure à mon avis. On y suit encore le couple de la deuxième section du livre, mais ceux-ci ont maintenant des enfants. Ce sont eux qui deviennent alors le point central de l'histoire. de plus, la suite de l'histoire de Jan est racontée, et celle-ci se prouve à être plus palpitante qu'auparavant, et c'est sans parler de la finale, tout à fait réussie. À la manière de 2001 l'Odyssée de l'espace, ce roman est un voyage qui nous amène à une destination insoupçonnée. Malgré un départ froid, scientifique et strictement athée, l'auteur dévoile une toute nouvelle dimension du livre, penchant vers une science-fiction très "théologique", lui donnant un gout final épicé, contrairement à toutes attentes.

C'est donc un très bon roman que celui-ci et sans doute l'un des meilleurs de Clarke, au côté de 2001 et de la cité et les astres. Si le roman a été très populaire auprès des anglophones, la francophonie ne lui a pas procuré le même traitement. Cela est sans doute dû à la piètre qualité de la traduction. Des tournures de phrases anglaises aux mots d'un autre âge, en passant par les anglicismes les plus odieux, il est certain que l'on n'a pas affaire à de la grande littérature. Néanmoins, j'invite tous les fans de science-fiction à passer outre ce détail insignifiant, car le génie de Clarke peut tout de même être discerné, à travers les pages.
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Il est toujours drôle et intéressant de lire un livre de science fiction et futuriste qui se projette dans la période où nous vivons actuellement ou presque, surout quand on a une formation d'historien. C'est le cas des Enfants d'Icare qui débute dans les années 1950 avec l'arrivée sur Terre d'extraterrestres bienveillants stoppant net tous conflit, crimes, famine et pauvreté. Par la sutie, le récit se poursuit 100 ans plus tard, dans les années 2050 avec toutes les avancées technologiques que le peut attendre d'une telle intervention. Les aliens sont toujours là et leur présence reste mystérieuse. Quel est leur but final ?
J'ai donc trouvé très intéressant de voir ce que l'auteur envisageait comme évolution technologique pour l'avenir. Il a par exemple pris en compte l'omniprésence de l'ordinateur dans bien des aspects de la vie et la mécanisation des choses, mais il n'a bien évidemment pas pu prédire l'arrivée d'internet et sa révolution. Ainsi, le papier a encore toute sa place dans son futur et en particulier les journaux.
Il s'agit l'un d'un exemple pris au hasard de plein d'autres petits détails qui m'ont amusé tout au long de ma lecture. L'histoire en elle-même est sympathique. On se laisse facilement emporter par les différents mystères qu'elle nous propose. D'abord, qui sont ces extraterrestres et à quoi ressemblent-ils ? Puis, Quel est l'objectif de leur présence sur Terre ? Après le style est un peu lourd par moment, voire longuet, mais le récit m'a porté jusqu'au bout.
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Je pensais bien connaître Arthur C. Clarke. J'avais lu les classiques – 2001, l'odyssée de l'espace et ses trois suites (la troisième et la quatrième étant très très dispensables), le cycle de Rama – et certains titres plus méconnus comme Les Prairies bleues, Les Fontaines du Paradis ou Chants de la Terre lointaine. Et pourtant il me manquait l'un de ses premiers grands succès, Les enfants d'Icare (Childhood's End en VO comme la minisérie du même nom sortie en 2015). Et donc, un passage en brocante et une édition avec une couverture assez marquante plus tard, le voici entre mes mains.
Les enfants d'Icare n'est pas un livre, mais au moins trois livres différents, dont les histoires se suivent, mais dont le style varie suffisamment pour se lire presque indépendamment. Même si l'ensemble lui-même est très court, avec à peine plus de 250 pages en poche. La première histoire commence en 1954 : quelques années après la fin de la Seconde Guerre mondiale, la course à l'espace bat son plein entre les États-Unis et l'URSS. Alors qu'un des camps va lancer sa première fusée, des vaisseaux extra-terrestres apparaissent au-dessus des principales villes de la planète. Les humains sont alors contraints de revoir toute leur conception du monde et de s'engager sur une voie nettement plus pacifique et unifiée. La deuxième histoire commence 50 ans après la première : les extra-terrestres, surnommés les Suzerains par les humains, ont enfin dévoilé leur apparence. L'Humanité et la Terre vivent un âge d'or, grâce à la science. Pourtant certains rêvent encore aux étoiles tandis que d'autres se tournent vers le paranormal pour donner un sens à leur vie. La troisième histoire est à proprement parler la fin de l'enfance pour l'Humanité : le rôle des Suzerains est enfin dévoilé et l'Histoire s'achève.
Chaque segment a son propre ton : aventure et enquête pour le premier, description d'une utopie avec juste le petit grain de sable qui va bien pour tenir en haleine le lecteur pour le second, et fin des illusions et levée des derniers secrets pour le troisième. le tout dans le style précis et fluide d'Arthur C. Clarke qui donne l'impression que les pages se tournent toutes seules (malgré quelques coquilles dans le texte de l'édition entre mes mains). Certains thèmes chers à l'auteur se retrouvent déjà dans ce texte : un gouvernement unifié avec une économie de l'abondance, une exploration des fonds marins, pas mal d'informations technologiques, mais également des interrogations sur l'avenir de l'homme et sur sa place dans l'univers, et le fait qu'il faille « éduquer » l'Humanité. Malgré tout certains passages sont très datés dans les années 50 avec l'une des rares protagonistes féminines qui se retrouve facilement ravie de jouer les femmes au foyer et de cuisiner pour son mari et ses deux enfants sur une île dédiée aux développements des arts et de la création ou comme quelques réflexions sur l'avancée des colonisateurs sur les colonisés (rappelons que l'auteur est un Britannique qui a décidé de vivre sa vie adulte dans une ancienne colonie britannique devenue indépendante, le Sri Lanka). Cela ne gâche pas le plaisir de la lecture, mais mieux vaut être prévenu.
Lien : https://www.outrelivres.fr/l..
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Lisant les critiques déjà postées, je constate que "Les enfants d'Icare" n'a pas reçu un accueil aussi positif qu'il mériterait, me semble-t-il. Pour ma part, mon impression favorable date de mon adolescence, quand j'ai lu le roman dans son édition originale.
La première partie du livre, contemporaine de la date de sa parution (1953), qui voit le premier contact avec une civilisation extra-terrestre, est très bien menée; le fait qu'aucun "héros" ne se détache dans cet épisode ne m'a pas du tout gêné. Puis, après un long délai, les "Suzerains" se dévoilent enfin. Quoique leur apparence a de quoi surprendre, leur influence sur les Terriens se révèle très bienfaisante,
C'est alors que l'ambiance du roman commence à changer: on s'éloigne clairement de la SF pure et dure. Déjà, les coordonnées de l'étoile (restées jusqu'ici secrètes) d'où proviennent les Suzerains sont révélées par une femme enceinte... dans une séance de spiritisme. Cette femme accouchera d'un fils dont le destin sera exceptionnel. Celui-ci sera le premier individu d'une nouvelle "race" qui, dotée de pouvoirs non-humains, est destinée à clore l'histoire de l'humanité. La fin du roman, qui se passe sur la planète des Suzerains puis sur la Terre mourante, est étrange, voire bizarre, avec des ambitions de type métaphysique - en tout cas très éloignée de l'esprit habituel des livres de science-fiction. On peut critiquer cette fin (J. Sadoul, dans son histoire de la SF a une phrase assassine pour la juger); moi, je dois dire au contraire que je me suis senti troublé et en empathie avec l'auteur.
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Bien qu'étant un grand lecteur de SF, je n'avais jamais lu Arthur C. Clarke. Ce roman était à la fois bon, mais aussi prise de tête. le début est vraiment lent, j'avais du mal à entrer dans le récit. J'avais même abandonné la lecture au chapitre 4 ou 5. Je ne l'avais pas critiqué à l'époque, car je n'ai lu qu'une toute petite partie du roman.

Mais, un mois et demi plus tard, j'ai décidé de reprendre la lecture ! Clarke a de bonnes idées : des extraterrestres qui arrivent sur Terre mettent fin à la guerre, la famine et tout le mal pour créer un monde utopique. Cependant, son développement laisse à désirer.

C'est donc une bonne lecture, mais, pour moi, mal exploiter.
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Il me semble que je l'ai déjà dit, mais c'est assez amusant comme chacun de ces quatre auteurs cultes à sa patte. Isaac Asimov est très philosophique et carré. Philippe K. Dick est dérangeant et déroutant. Ray Bradburry est poétique et philosophique. Arthur C. Clarke est scientifique et beau.
Ce roman me confirme que Arthur C. Clarke sait écrire d'une façon belle et surprenante, avec ce qu'il faut de scientifique dedans pour que l'on en apprenne toujours un peu. Ici, c'est largement passé au second plan par rapport au reste, mais c'est tout de même présent. Ce roman est surtout centré sur la question de l'homme, de l'humanité, de sa place dans l'univers et de son but.
En le lisant, je me posais de plus en plus la question du but du roman, entre la façon dont les extra-terrestres maintenaient une présence dominatrice sur la Terre et l'évolution de la psychologie humaine à leurs propos. C'est pourquoi j'ai été surpris par le tournant que prend le livre tout à coup, avec cette explication à laquelle je ne m'attendais pas (mais qui rejoint en un sens ce qui avait déjà été mis dans 2001, l'odyssée de l'espace) mais qui se paye en sus le luxe d'être extraordinairement belle, avec une touche merveilleuse qui m'a complètement surpris. C'est, progressivement, de plus en plus beau jusqu'à un final qui n'a pas été sans me rappeler la larme que j'avais presque à la fin de Chants de la Terre lointaine. Arthur C. Clarke m'a hypnotisé d'un bout à l'autre du livre et m'a laissé un merveilleux goût en bouche, avec cette douceur et cette beauté.
Le roman en lui-même est un petit bijou, l'histoire étant intrigante, les personnages passant sans qu'on ne soit liés complètement à l'un ou l'autre, les chapitres s'enchaînant sans qu'on ne puisse deviner vers où ils tendent, et cette fin en apothéose qui vient conclure le tout, c'est proprement magnifique. le genre de roman qu'on aimerait presque relire pour retrouver ce goût en bouche, mais qui ne laissera plus la même saveur. Je le relirai avec plaisir, mais ce ne sera plus pareil, et c'est presque triste. Mais la beauté est éphémère. Ce livre sait nous le rappeler.

Du comme ça, j'en redemanderais volontiers ! Un livre très surprenant et qui m'a laissé complètement pantois, avec une beauté inhérente à l'auteur et qui m'a plu, au-delà des mots. Ce genre de science-fiction, c'est de l'or en barre. J'en redemanderais, entre les précisions scientifiques apportées par petites touches et l'histoire qui sait se dérouler de surprises en surprises jusqu'au final étonnant, c'est une réussite incontestable. Je ne sais pas si je suis face au meilleur de Clarke, mais c'est un excellent roman assurément, et que je ne peux que vous recommander chaudement. Cet auteur me plaît, j'ai hâte de lire la suite.
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Coup de gueule préalable : encore un titre mal traduit. le titre original, Childhood's End, est excellent en ce qu'il transmet exactement le thème général du roman, de l'arrivée des Overlords au dénouement final. Alors que Les Enfants d'Icare est beaucoup plus restrictif. Il semble qu'à défaut de conserver le titre original, une traduction plus littérale comme La Fin de l'enfance ou La Fin de l'innocence aurait été judicieuse.

Sinon, c'est un très bon Arthur Clarke. Beaucoup d'aspects bien sûr ont vieilli, surtout d'un point de vue politique et technologique, si bien qu'on a l'impression que cette année 2100 initiale se situerait plutôt dans les années 80 ou 90. Et les Overlords ressemblent un peu trop à des humains (j'ai toujours du mal avec les extraterrestres humanoïdes, mais c'est subjectif).

Clarke est, plus qu'un visionnaire et un grand scientifique, un excellent scénariste. Il entretient le mystère et le suspense avec un talent certain, et son écriture est fine, efficace, parfois presque poétique. Les développements de la seconde partie sont fascinants (difficile d'en dire davantage sans spoiler).

Par contre, je n'ai pas compris la nécessité finale d'annihiler la Terre entière... . Un reproche qu'on peut d'ailleurs faire à l'auteur, lié là encore à l'âge de l'oeuvre, est son anthropocentrisme un peu désuet. La Terre entière, y compris l'ensemble de ses écosystèmes, ne sont que des outils pour les Hommes, des véhicules qui ne valent qu'en tant qu'ils lui sont utiles. Les "enfants d'Icare", appelons-les ainsi, finissent même par se débarrasser des êtres vivants qui les entourent car ils parasitent leur petite tête. Pas vraiment écolo donc. On le pardonnera aisément.
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Au commencement…
Au milieu du XXe siècle, l'humanité reçoit de la visite. Des nefs extraterrestres apparaissent inopinément et se stationnent au-dessus de plusieurs métropoles. En un clin d'oeil, les « Suzerains » apaisent tous les conflits et maux de l'humanité. Cela, sans dévoiler leur apparence ni fournir d'explications quant à leurs objectifs. Fatalement, certains humains en arrivent à se noyer dans l'ennui, à douter de cette bienveillance des Suzerains, et, plus fondamentalement, à vouloir comprendre à tout prix.

Ce que j'en retiens...
Roman stupéfiant. Texte bref et qui va droit au but, mais dont chaque rebondissement peut générer des heures de divagations. En ces quelques pages, sur une période d'environ 150 ans, le lecteur est transporté des agitations terrestres vers des centres de recherche au fond des océans, avec quelques balades dans la Voie lactée. Au final, un atterrissage inattendu au crépuscule de l'humanité, offrant une nouvelle perspective de l'immensément grand.

Une citation soulignée...
« La race humaine s'employait trop intensément à savourer sa toute jeune liberté pour porter son regard au-delà des délices du présent. On vivait enfin en Utopie et la nouveauté de cette situation n'était pas encore en butte aux assauts de l'ennemi suprême de toutes les utopies : l'ennui ».

Autour du roman…
L'oeuvre, dont le titre original est Childhood's end, a manifestement inspiré, au moins partiellement, le groupe Pink Floyd pour leur excellent titre du même nom. Plusieurs éléments de la chanson et de son clip (https://www.youtube.com/watch?v=SnTz09-nk9c) rappellent l'univers du roman. Par ailleurs, en 2015, le roman a été adapté en mini-série (Childhood's End : Les Enfants d'Icare). le titre de la traduction française fait manifestement référence, quant à lui, à Icare de la mythologie grecque.
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Des astronefs extraterrestres se posent sur terre et les « suzerains » mettent les humains sous tutelle. Ils imposent le désarmement général et la fin des nations. Autrement ils n'interviennent que très peu dans les affaires humaines, si ce n'est l'interdiction de l'exploration spatiale. Après quelques résistances vites avortées, l'humanité vit dans la paix et l'abondance. Mais les objectifs des Suzerains restent inconnus de même que leur apparence.
L'originalité du livre réside dans le traitement de ce thème (impact de l'arrivée d'extraterrestres bien plus avancés que les humains) sur plusieurs générations d'humains et des conséquences de cette tutelle sur l'évolution de la société vers une société de loisirs. Avec parfois des évolutions qui font sourire (ou pleurer) aujourd'hui : « il y a trop de distractions et d'occasions de divertissement. Vous rendez-vous compte que les radios et les télévisions fournissent plus de cinq cents heures d'écoute quotidienne ? Saviez-vous que chaque personne passe désormais en moyenne trois heures par jour devant le petit écran? ».
Un très bon livre du niveau de « rendez-vous avec Rama ». Seule la fin est un peu décevante, voire « facile »pour dénouer l'intrigue.
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