J'enchaîne après Mon ami Pierrot sur cette BD encore pleine de couleurs et pour laquelle je ressors dans le même état : dubitative. Les couleurs sont superbes avec du pep's et explosent aux yeux à chaque page tournée. L'histoire est vraiment simple et le graphisme enfantin alors que c'est basé sur des questions importantes : partage de pouvoir entre la royauté et le peuple ? bien ou mal ? trahison et confiance ? le postulat est intéressant mais je ne vais absolument pas en garder grands souvenirs malheureusement...
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Ce qui m'a attirée dans cette oeuvre c'est sa très belle couverture et son résumé assez intrigant. Il ne m'en fallait pas plus pour acquérir ce roman graphique.
Tout d'abord le graphisme m'a un peu déçu à la lecture. Il est assez enfantin, semble peu travaillé et manque de profondeur. Paradoxalement j'ai trouvé plusieurs planches très belles, à l'image de la première de couverture, notamment par le choix des couleurs.
Ces deux ressentis contradictoires font que je ressors mitigée de cette lecture.
L'histoire quand à elle est intéressante. Il est question du pouvoir, du bien fondé de s'en servir et de le rendre accessible à tous et de liberté. Il y a un parti pris féministe bien venu et rafraîchissant dans le fait que la princesse, qui est l'heroïne et sa mère, la reine soient détentrices d'un pouvoir qu'elles seules possèdent et qu'elles dirigent le peuple.
Les points forts de ce romans graphiques sont les thèmes abordés. Je le conseille vivement aux ados et pré-ados!
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Ce roman graphique de fantasy sort de l'ordinaire, et se distingue notamment par ses illustrations. Ania, princesse héritière, ne se formalise pas des codes traditionnels que l'on peut assigner dans les contes de fées. Interrogée sur les origines de son peuple, notamment sur les questions magiques, elle va se demander si les légendes qu'on lui a racontées s'avèrent véridiques. On se questionne sur les notions de pouvoir magique : que ferions-nous de la magie ? Tout le monde est-il prêt à la recevoir et à s'en servir positivement ? Mais également sur la notion de pouvoir, au sens de la gouvernance, et de ce qu'il peut entraîner. Cette histoire est principalement menée par des héroïnes, et cela fait du bien d'avoir des exemples de femmes qui gouvernent, qui sont fortes et qui sont prêtes à se battre et se questionner. Et qui sont mises en avant du début à la fin d'une bande dessinée.
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Je dirai 3.5. L'histoire n'est pas mauvaise mais je l'ai trouvée pas assez expliquée, les bases sont posées hâtivement et on a du mal après à tout suivre (ou alors c'est moi) ! J'ai bien apprécié la représentation LGBTQIA et j'ai ADORÉ les dessins, les couleurs, c'est un univers magnifique à regarder. Je la relirai peut-être pour voir si j'arrive à mieux comprendre ....
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Album de fantasy qui emprunte beaucoup au conte, L’épée s’adresse à la fois aux enfants et aux adultes. Les premiers trouveront leur conte avec un récit à rebondissements quand les seconds seront intéressés par le message politique.
Lire la critique sur le site : Bedeo
Un album au parti-pris audacieux, pas vraiment abouti ni convaincant, mais la confirmation d’une autrice à suivre, car elle a des choses à dire et ne choisit pas la facilité.
Lire la critique sur le site : BoDoi
L’Épée, c’est d’abord un très beau petit livre, superbement édité, de 180 pages. On y découvre un récit porté par un dessin souple et des couleurs franches, parfois étincelantes. Si l’autrice n’oublie aucuns poncifs du genre, ni démons ou armes magiques ni magie blanche ou noire, elle aborde dans son récit de manière légère des thèmes plus sérieux.
Lire la critique sur le site : BDZoom
La brillantez que genera la obra de los grandes artistas los aísla en una genialidad aparentemente solitaria. Pero esto no es así. Todos ellos llegaron a su arte admirando, a veces copiando, la obra de sus predecesores antes de emprender su propio camino. Escuchar a los artistas hablar de sus predecesores, que han tenido un profundo impacto en ellos, es una buena manera de hacerse una idea de su cultura gráfica. Aquí proponemos descubrir una generación de artistas a través de los ojos de la siguiente. Tomando prestado el título de uno de los primeros libros de PLG, Anabel Colazo, Kim y Paco Roca nos hablarán cada uno de los autores que les iniciaron en el cómic, y que les han acompañado. Y nos mostrarán las imágenes.
Nos cruzaremos con Dan Barry (más que con Alex Raymond), Harold Foster, Frank Robbins, los ilustradores de Mad, Richard Corben, la pandilla de El Juves, Tardi, Peyo, Kasumi Yasuda, Vittorio Giardino, Ambros, Francisco Ibáñez, Albert Uderzo, Jack Kirby, Moebius, Bruce Tim, Jaime Hernández, Hayao Miyazaki, además de películas, series, novelas y videojuegos...
Los tres artistas pertenecen a generaciones diferentes, pero, por supuesto, tienen distintas fuentes de inspiración, lo que da lugar a una interesante confrontación. La conversación, iniciada durante las mesas redondas de SoBD 2023, está dirigida por Manuel Barrero.
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