Etienne n'a pas besoin d'être visionnaire, de lire dans le marc de café ou les doigts de pied pour constater que, s'il y a un sport aujourd'hui en dégringolade, c'est bien le lancer de disque. Il observe le métier avec un œil de gros chat et le trouve trop gouverné par des boutonneux sortis des écoles de commerce, constatant que l'on y pousse souvent les artistes dans les escaliers sans tenir compte de leur passé et en leur refusant tout avenir.