L’Inde est un beau pays, mais si sale. Les Indiens n’ont aucune notion d’hygiène ou d’écologie.
C’est la chance des hommes, de pouvoir attirer des femmes beaucoup plus jeunes. Pour moi une femme n’en est plus une après quarante ans.
En Inde on n’attend pas d’un mariage arrangé des flots d’amour brûlant. C’était un homme très bien, un vrai ami. Il me respectait. Je le respectais.
Quand la roue du destin pointait dans une direction, il fallait la suivre.
La pitié est le contraire du désir.
Le bébé était une drogue dont il fallait ensuite se sevrer. Si les femmes avaient plusieurs enfants, c’était par désir de reproduire ce moment magique où elles avaient un bébé.
Dans la vie d’une femme, il y avait un moment où elle désirait un enfant très fort : entre trente-cinq et quarante ans, quand son horloge biologique approchait du point de non-retour. Une histoire d’hormones. Même les féministes les plus indépendantes se laissaient piéger à ce moment précis de leur vie.
La vie est ce qu’elle est. Elle est triste parfois, mais belle aussi. Il faut voir le positif.
Même en France les femmes étaient souvent moins payées que les hommes pour un travail identique. Dans tous les domaines, l’inégalité était encore criante.
Cet amour d’enfance était un fantasme qui, au contact du réel , se dégonflerait comme un ballon crevé.