AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,55

sur 48 notes
5
7 avis
4
5 avis
3
5 avis
2
0 avis
1
2 avis
Ce roman accumule pléthore de mystères, qui nous pousse aux interrogations: « que se passe-t-il, qu'est-ce que c'est, pourquoi et surtout le comment vont-ils se sortir de cet Enfer ? » Car c'est un véritable Enfer que vivent ses adolescents sur cette autoroute. Cela débute avec des oiseaux figés en position de vol, comme si les personnages roulaient à l'intérieur d'une photographie… Puis des cadavres de vaches. On assiste ensuite à une frénésie meurtrière des adultes envers les enfants, pire encore lorsqu'ils s'acharnent sur leurs progénitures (rappelant au passage le film Mom and Dad de Brian Taylor avec un Nicolas Cage qui fait du Nicolas Cage – d'ailleurs double parenthèse, à quand le prix Nicolas Cage ? Sérieux sa façon de jouer mérite sa propre statuette -), lorsque les survivants parviennent à échapper à la folie des adultes à bord d'un minibus, s'en suivent différentes « phases » représentant un cauchemar où perdre un camarade devient presque inévitable… Et tout cela sans pouvoir fuir cette autoroute de l'horreur, mystérieusement barricadée de l'extérieur.

Mais ce n'est pas tout, on y croise des stations essence d'une autre époque pourtant flambant neuf, comme si on assistait à une coupure de l'espace-temps, sans compter certains personnages qui ne semblent pas toujours venir du présent, et d'autres qui sont vêtus comme en hiver alors que certains sont habillés en tenue d'été, des poulpes qui volent, des protagonistes qui changent d'identités et de langues après un black-out, des drones qui tirent sur des véhicules arrêtés, des objets qui se désintègrent, des poissons qui se dévorent, des types en combinaison Biohasard, des murs de plantes, et du sable, beaucoup de sable, du sable bizarre, du sable, du sable… Sur une autoroute sans sortie.

Bien que la cible de lecture soit les adolescents, il y a une effervescence de scènes gores et tragiques, qui me permet de conseiller ce roman à partir de 15/16 ans. D'autre part, faudra ouvrir à fond les chakras métaphysiques et biologique car ce ne sera pas du goût de tout le monde lorsque nous obtenons les réponses à tous ses mystères….


Commenter  J’apprécie          714
*** Dans le sable doré ... coquillages et crustacés ♫♪♫♪***


Tout d'abord, c'est la première de couverture du roman qui a guidé mon choix lors de la Masse Critique de novembre 2019.
Je remercie donc Les Editions Rouergue ainsi que Babelio.

J'avoue être un peu dans la panade pour faire cette critique, car cette lecture est complètement déjantée, rapide, puissante, destructrice et on s'enlise rapidement dans ... les sables mouvants de l'histoire !

On se retrouve sur l'autoroute qui part de Paris vers l'A7, l'autoroute du soleil, puis l'A9 vers l'Espagne. Un car de joueuses de basket, au caractère bien trempé, puis une Camaro avec des garçons au caractère fragile. Ils ne se connaissent pas et se retrouvent tous sur cette autoroute où des phénomènes étranges vont commencer : des oiseaux figés dans leur vol, un compte à rebours sur les panneaux d'informations, toutes les sorties fermées et gardées par des militaires, des gens sur les aires de repos qui deviennent de fous assassins sans compter les poulpes, les poissons, les fourmis, les fourchettes, les os qui craquent, les morts .... Vous comprenez rien ? C'est normal !

Tout le monde est prisonnier de l'autoroute, qui est devenue l'actrice principale de leur cauchemar.
Une autoroute démoniaque qui oblige filles et garçons à s'unir pour faire face ... mais à quoi ? A qui ?

A ce niveau l'addiction de la lecture est à son comble ! Déjà j' imagine les scénarios, tentant de court-circuiter l'auteur Antonio Da Silva qui me parait complètement halluciné. S'agit-il d'un rêve ? S'agit-il d'une quatrième dimension ? S'agit-il d'une épidémie ? ....

Puis à la page 230, le roman bascule et c'est là que je perd le fil conducteur de l'histoire ... où mon addiction tombe car un autre scénario se profile et où je n'ai pas totalement saisie le fin mot du drame cauchemardesque. Les explications sont embrouillées et nous mettent dans une situation confuse.
En finalité, je n'ai pas vraiment de théorie sur l'histoire et surtout pas sur la fin ... Mais est-ce vraiment la fin ? ... où y a-t-il une suite ? Ce qui me parait logique puisque Aaron - Antoine et Lucille sont censés rencontrer un scientifique à New-York sur les conseils d'Eicher ... Sinon pourquoi avoir fait allusion à ceci ?
Bref, j'ai beaucoup de questions restées sans réponse et en tournant la dernière page je me suis sentie quelque peu frustrée avec du "sable plein les yeux".

Si le roman devait se terminer comme ça, il se terminerait en queue de poulpe ... euh pardon, poisson ...

Quoi qu'il en soit, Antonio Da Silva est un auteur à suivre, pour son premier roman dans le genre fantastique, c'est bien parti ... mais juste sur la première partie.
Commenter  J’apprécie          223
Comme son titre le laisse supposer, « Sortie 32.b » emmène son lecteur dans un long voyage autoroutier, un road trip aussi pêchu et survitaminé que la Camaro qui figure sur sa couverture. Toute l'histoire se déroule en effet le long d'une autoroute avec tout juste quelques haltes dans les stations essences ou sur les aires de repos. Impossible de quitter le long ruban d'asphalte. Les sorties sont bloquées par la police ou des barrages d'une nature inconnue et les automobilistes sont contraint de tracer leur route. Lucille et son équipe de basket, Aaron et ses frères se retrouvent lancés dans ce qui ressemble à un jeu vidéo grandeur nature où il faut triompher d'obstacles qu'on dirait inventés par un geek morbide, pour passer au « next level » et conserver une chance de survie.
On sent tout de suite les emprunts à la littérature de genre et notamment à l'univers de Stephen King auquel il fait d'ailleurs un petit clin d'oeil. L'atmosphère inquiétante de son roman m'a un peu rappelé celle des Langoliers puisqu'il est là aussi question d'un groupe d'individus d'origines diverses confrontés à un évènement incompréhensible et contre lequel ils n'ont aucune prise. Une grosse différence toutefois : le roman de Da Silva est bourré d'action. Passés quelques chapitres introductifs qui servent à nous présenter les différents protagonistes de l'histoire et les premières manifestations du phénomène contre lequel ils devront lutter, le récit prend un rythme redoutablement vif. En un crescendo presque exténuant, les personnages sont soumis à une succession d'épreuves aussi folles que dangereusement mortelles et doivent faire preuve d'imagination et de volonté pour rester en vie. Il leur faudra tour à tour affronter des adultes transformés en meurtriers psychopathes, des poulpes volants, des drones canardeurs et bien d'autres mauvaises surprises. C'est intriguant et haletant. On ne sait rien de ce qui se passe, on a quelques idées, on formule des hypothèses mais l'enchainement des évènements les rend vite obsolètes. On finit alors par se laisser porter par le rythme étourdissant du récit en se contentant de frémir et d'espérer pour nos jeunes héros.
La plume d'Antonio Da Silva est idéale pour le public « young adult » auquel son roman est a priori destiné. D'une lecture aisée, sans termes ou concepts trop compliqués (exception faite de certaines explications sur la nature du phénomène dont je ne dirai rien pour ne pas déflorer l'intrigue), son écriture coule facilement et permet d'enquiller les chapitres sans s'en rendre compte. Pour autant l'auteur ne se censure nullement et ses descriptions sonnent justes avec des images parfois dures mais jamais choquantes. En fait, le côté « littérature jeunesse » est surtout palpable au niveau des personnages. Nous suivons en effet des ados de 15-17 ans, un groupe de filles et un autre de garçons, avec toutes les histoires de coeur, les petites rivalités et les clashs auxquels on peut s'attendre de la part de jeunes de cet âge. Les individualités sont bien marquées et les personnalités fouillées. L'auteur parvient à nous les rendre proches grâce à un important travail sur les caractères, nous dévoilant peu à peu leurs qualités et leurs faiblesses, leurs fêlures et leurs espoirs et toute leur histoire intime. Un joli travail sur la psychologie de chacun qui constitue sans conteste l'une des réussites de ce roman.
On est donc d'autant plus surpris du changement radical (dont je ne dirai rien pour ne pas déflorer l'intrigue) qui s'opère chez eux en cours de route. Un bouleversement déstabilisant pour le lecteur, dangereux pour la cohésion du roman et qui, tout compte fait – n'apporte pas de réelle plus-value à l'intrigue. L'auteur s'en sort heureusement bien en conservant l'essentiel, c'est-à-dire l'esprit de corps qui nait des épreuves, l'amitié forgée dans l'adversité et l'amour triomphant des difficultés ! La conclusion m'a en revanche laissé un peu sceptique par son côté un peu trop ouvert. A moins qu'une suite ne soit prévue ?

Lien : http://sfemoi.canalblog.com/..
Commenter  J’apprécie          172
Et bien ... chouette lecture ! Je l'ai dévoré

J'ai une préférence pour la première partie où le côté anxiogène avait une grande place mais le tout est une lecture très sympa

Dès les premières pages nous sommes immergés dans un univers assez flippant où l'on subi l'aventure, tout comme les personnages qui ne savent pas ce qui leur arrive

Peu à peu on essaie de s'imaginer une raison à ce qu'il se passe, mais on est loin d'imaginer la suite que va donner l'auteur.

Dans la 2ème partie, l'histoire prend une autre tournure qui m'a un peu déstabilisée mais qui au final m'a énormément plu

Quant à la fin ..... espoir ou désespoir ? Je vous laisse le découvrir
Commenter  J’apprécie          150
Un livre plein de meurtres et de surprises étonnantes et farfelues. Ne pas lire avant de dormir sauf pour les intrépides...
Tres bonne lecture
Commenter  J’apprécie          110
Une lecture totalement hors normes, complètement folle. Je ne m'attendais pas du tout à ce genre d'histoire en découvrant ce livre. J'ai d'abord été attirée par cette couverture, proche de «Christine » de Stephen King et par ce genre de résumé mystérieux dont je suis friande. Par contre, ce roman est classé jeunesse mais certains scènes sont vraiment horrifiques même si les personnages sont principalement des ados.
Tout commence sur l'autoroute, à bord d'une Camaro rouge en compagnie de 4 garçons. Des événements étranges vont avoir lieu tout au long du chemin. D'abord des oiseaux figés sur place, les sorties fermées, les militaires armés et des événements complètement invraisemblables à chaque arrêt. L'idée de départ est bonne mais je dois dire que certains événements sont un peu trop farfelus et embrouillés, du moins de mon point de vue. Cependant, j'ai trouvé ce roman très surprenant, bourré d'action et de rebondissements. Les personnages doivent faire preuve d'imagination pour rester en vie. Quant à la fin, un peu trop ouverte à mon goût. On ne sait pas quoi en penser. A moins qu'une suite se profile..
Merci de m'avoir sélectionnée pour cette masse critique.
Commenter  J’apprécie          91
Sortie 32b: un grand roman.
Sortie 32.b, c'est d'abord un roman dense, car l'histoire fait penser à ces labyrinthes où l'on se perd, où l'on court essoufflé pour trouver une sortie, entravé par des pièges cruels nés d'une imagination sans limites, entraîné à toute allure vers une issue inattendue. L'ambiance est surprenante, d'abord ancrée dans un univers horrifique et fantastique puis dans celui de la SF. L'intrigue est savamment menée, construite et aboutie. le rythme est vif et rapide: les chapitres s'enchaînent à toute volée, ne laissant pas de répit à un lecteur captivé, embarqué avec les personnages dans une incroyable aventure.
C'est aussi un roman d'une incroyable fluidité, écrit dans un style efficace, presque cinématographique, comme si le film se déroulait devant nos yeux, mais aussi très poétique, même (et surtout) dans les passages les plus sombres... et c'est pour cela qu'on en redemande.
C'est un roman qui fait sens, parce que les personnages, face à la douleur, la violence et la mort, se battent inlassablement, s'unissent et s'aiment. Et on les aime!
Sortie 32.b, c'est donc un texte qui ne nous laisse pas indemne, jouant avec le registre de nos émotions jusqu'à la catharsis.
Commenter  J’apprécie          90
Le roman de Antonio Da Silva n'a absolument rien à envier à ceux des auteurs plus chevronnés. C'est une petite bombe, puissante, destructrice, qui m'a légèrement retourné le cerveau. Pourtant entre la page 1 et la page 230, tout se passe plutôt comme sur des roulettes, enfin…des roues quoi.

Oui parce que soyez certain.e.s, que tout va partir en c*****e. Vraiment. du genre American Nightmare mélangé à Duel de Spielberg…Et ça n'est que le début. Il y a des morts au ciseau, des petites lapidations involontaires, des coups de fourchette bien placés, des désarticulations, des brisures d'os, des chutes malencontreuses, des suicides, des morts, des morts, des morts. Et au milieu de tout ça des gens qui n'ont absolument rien demandé, obligés de s'unir face à… à quoi au juste ? au monde ?

Mais arrive la page 235. Les cartes sont rebattues. Toute cette première partie existante et inexistante à la fois, comme nos personnages, nous nous réveillons totalement désorientés. Qu'est ce qui tient du rêve ? de la réalité ? Quel est ce monde de sable ? Qui tire les ficelles ? J'aurais pu avoir mal à la tête tellement les questions se bousculaient au portillon. Avec un grosse, en lettres capitales : qu'est ce que l'auteur est allé nous inventer ? Alors commencent les explications, à grands renforts de multidimension, d'altérité, de créature, de divinité, de peur, de solitude, de survivants. On comprend que se cache ici peut-être la clé de tout le roman sans que l'on arrive à la saisir vraiment.

EN RESUME

Sortie 32B est un roman qui, j'en suis sûre, n'a pas encore fini de m'étonner. Passionnant, haletant, explosif, il se lit d'une traite, une grande lancée à 120km/h sur l'autoroute de l'horreur, du gore, de la science fiction et du thriller. On aime ou on aime pas mais on ne peut pas manquer de saluer le tour de force d'avoir écrit un roman aussi surprenant et addictif dès les premières pages, jusqu'aux dernières.

Bon en résumé du résumé : ce roman, avouons le, c'était complètement what the fuck, mais franchement, j'ai bien kiffé.
Oui moi aussi ça m'étonne quand je parle comme ça.

Mon avis complet sur : (oui parce que là il n'est pas complet du tout)
Lien : https://lesdreamdreamdunebou..
Commenter  J’apprécie          63
Ce n'est pas une série noire, c'est une série rouge.
N'étant pas particulièrement amatrice d'horreur, de violence et de sang, j'ai rarement l'occasion de lire des romans qui en usent. Entre la saga "Half Bad" (que je n'ai pas pu terminer) et "Sortie 32.b" j'ai mon quota pour l'année.

Pour étayer mon avis, je dois dévoiler certains éléments de l'intrigue. N'allez pas plus loin si vous souhaitez lire ce livre.

Dans son premier roman, on sent nettement l'influence de Stephen King sur Antonio Da Silva. Voitures américaines lancées sur l'autoroute (française), animaux (morts) qui tombent du ciel, adultes en mode zombie qui attaquent les enfants dans les stations services... l'ombre de King plane, imposante.
Mais cela ne suffit pas à l'auteur, qui n'a visiblement pas peur d'en faire trop. Il ajoute un mystère lié au triangle des Bermudes, une limite de vitesse minimum à respecter pour ne pas se faire attaquer - façon "Speed", et une intelligence supérieure ayant remplacé le monde réel remplacé par des éléments imprimés en 3D - façon "Matrix".
Oui, carrément.

Croatoan, la fameuse intelligence supérieure, a d'abord utilisé ses "comédons" pour construire le musée des Confluences de Lyon (ce qui est censé justifier son architecture alambiquée ?), structure qui semble particulièrement intéresser l'auteur qui l'a mis au centre de son intrigue.
Le musée devient un centre d'expérimentation, exposant les premières tentatives de Croatoan pour manipuler l'ADN humain dans des bocaux de formol. Il ne manquait plus que cela.

Ce gros gloubi-boulga sanguinolent m'a rapidement lassée. J'ai sauté de nombreuses pages pour avoir une idée de la suite des péripéties, et chacune d'entre elle m'a agacée. J'espère que "Sortie 32.b" marquera la fin de cette série rouge.
Commenter  J’apprécie          50
Ooh la la ! Il y aurait tellement de choses à dire à propos de ce livre qui nous plonge sur une autoroute française, aux environs de Lyon et qui va finir par réunir deux groupes de jeunes gens (une équipe de jeunes basketteuses, dans un minibus, en route pour une compétition d'un côté, et de l'autre, une fratrie de trois franco-américains et leur ami d'enfance, en Chevrolet rouge, qui se rendent à l'enterrement de leur mère).

Tout d'abord, il faut que je vous dise que je suis passée pas très loin du coup de coeur....La raison pour laquelle je ne peux pas le classifier en coup de coeur c'est la fin...Qui est un peu trop ouverte à mon goût....Peut-être qu'il est envisageable pour l'auteur, Antonio Da Silva, d'écrire un 2ème tome car c'est vraiment frustrant de terminer un livre comme cela.....Malgré tout, ne vous laissez pas influencer par ce bémol car à part les dernières pages de ce livre, tout le reste a été incroyable en suspens, en révélations, en intelligence par rapport à des références culturelles (bravo à l'auteur, à ce niveau-là !!!!) qui m'ont toujours intéressée et fascinée....Et en scènes totalement improbables et WTF !

Je vais vous dire, à partir du moment où l'on commence à lire les premières lignes de "Sortie 32b", on est obligé de continuer pour connaitre le fin mot de l'histoire tellement le récit est prenant. L'histoire se déroule pourtant sur une seule journée (à priori, en tout cas, c'est comme cela que je l'ai perçu....Mais comme la notion de "temporalité" est assez complexe dans ce livre bourré d'éléments fantastiques, va savoir...).

Nous suivons les pensées de l'une des filles de l'équipe de basket, Lucille. A travers ses yeux, nous voyons se dérouler tout un monde improbable entre les scènes banales d'une autoroute (les aires de repos, les stations services, les péages) qui se percutent avec des scènes totalement folles où règnent la violence, l'injustice, la loi du plus fort et également où la nature (dans son sens large du terme), la biologie des êtres vivants deviennent complètement incohérents....On peut comprendre l'effroi de notre petit groupe de jeunes qui ne comprennent rien à ce qui leur arrive mais qui ont juste pigé qu'il allait falloir la jouer fine pour survivre.....

Je vous recommande donc totalement cette lecture, notamment au niveau de sa qualité "culturelle" car l'auteur a l'air d'être un sacré puits de sciences, notamment au niveau des sujets les plus "dingues"....Etant moi-même une grande curieuse, je peux vous dire que j'ai été ravie de lire autant d'éléments et de clins d'oeil à certains mystères encore non résolus dans notre monde....Alors oui, il faut absolument que vous lisiez "Sortie 32b, en plus, cela tombe bien, nous arrivons bientôt aux vacances d'été, période propice aux grands départs... Et je suis sûre et certaine qu'après avoir lu "Sortie 32b" vous ne regarderez plus les autoroutes de la même manière.....

Ma note : 17,5/20
Lien : https://lespassionsdeviedefu..
Commenter  J’apprécie          51




Lecteurs (90) Voir plus



Quiz Voir plus

Les plus grands classiques de la science-fiction

Qui a écrit 1984

George Orwell
Aldous Huxley
H.G. Wells
Pierre Boulle

10 questions
4874 lecteurs ont répondu
Thèmes : science-fictionCréer un quiz sur ce livre

{* *}