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EAN : 9782956469421
254 pages
Aurélie Depraz (30/09/2018)
4.4/5   41 notes
Résumé :
Côtes danoises, hiver 865
Sven aime la mer. Il aime les raids, il aime les femmes, il aime son peuple et l’aventure mais... depuis peu, il se prend à rêver de semailles et de moissons, de terres et de cultures et, pourquoi pas, d'une femme, d’un foyer, d’une famille.
Une grande expédition est prévue au printemps. Les rives anglo-saxonnes. Cela tombe bien ! Il paraît que leurs femmes sont belles et leurs terres fertiles. C’est décidé : il en sera. Une é... >Voir plus
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J'ai découvert Aurélie Depraz avec son premier roman Pour l'amour d'une Sasunnach où j'avais pu vivre une belle aventure en Écosse dans la lignée de la série Outlander de Diana Gabaldon. Ici, je la retrouve dans un autre univers puisqu'il va s'agir des Vikings. J'ai d'ailleurs découvert assez récemment la série du même nom, Vikings, qui je l'avoue, m'a totalement passionnée. C'est un peuple qui fascine et dont on parle peu, et le retrouver dans un film ou dans un livre est très intéressant. J'ai pu une nouvelle fois apprécier les connaissances historiques de Aurélie Depraz qui reste au plus près de la grande Histoire pour faire vivre à ses personnages des aventures passionnantes.

Du fait d'avoir regardé la série télévisée, j'ai été contente de retrouver certains de ses personnages, tels Ivarr ou Ube, les fils de Ragnar. L'histoire de ce roman se passe en 865, un an après la mort de Ragnar. Leurs fils mènent une croisade de vengeance contre les Saxons qui ont tué leur père. Dans les hommes qui vivent autour de Ivarr, se trouvent deux frères, Sven et Leif. Sven veut plus, il en a marre des raids, des traversées sur l'océan. Il veut cultiver des terres, il veut se poser, avoir une femme, et non plus des maitresses, il veut une descendance. Ce qui ne correspond pas avec le grand guerrier qu'il est qui a mené des raids contre les Saxons. Il va justement profité qu'Ivarr et ses hommes partent pour mener sa vengeance contre les anglo-saxons pour embarquer avec eux et se rendre sur ces terres. Là-bas, il va rencontrer Aalissia, une jeune saxonne qui vit seule avec ses frères. Les Vikings lui font peur, ils ont causé la mort de tellement de gens qu'elle connait. Elle ne comprend pas l'attirance qu'elle a face à ce géant venu des pays froids. Mais pour Sven, tout ne va pas être aussi facile qu'il le pensait, il doit faire face à une ancienne maitresse jalouse, et à un roi qui aimerait bien l'avoir parmi ses guerriers pour mener sa vengeance. L'amour sera-t-il le plus fort...ça, vous le saurez en lisant ce roman...

Je me suis très vite attachée à ces personnages, aussi bien Sven que Aalissia. le fait d'avoir regardé la série télévisée y a fait aussi, mais même si je ne l'avais pas vue, je pense que j'aurais autant aimé. Aurélie Depraz a le don pour raconter une histoire, pour la situer dans les lieux, dans son contexte historique sans pour autant alourdir son récit par des descriptions trop lourdes. Elle emploie également le vocabulaire correspondant à l'époque et au peuple Viking, ce qui apporte une touche complémentaire de réalisme. J'ai vraiment eu l'impression de les voir évoluer devant moi. J'ai beaucoup aimé que cette romance entre deux personnages fictifs rejoigne la véritable histoire de ce peuple qui a, à un moment donné de leur vie, cherché à étendre leurs terres en allant coloniser d'autres pays. Ce genre de roman rend les Vikings plus humains, moins sanguinaires et moins monstrueux que ce que les légendes nous imposaient à l'esprit. On se rend compte qu'eux aussi ont un coeur qui bat dans leur poitrine et qu'ils pouvaient eux aussi avoir des sentiments.

La lecture s'est faite rapidement et surtout avec avidité, j'avais envie de savoir ce qui allait arriver à ces personnages, j'avais parfois l'impression que mes yeux ne lisaient pas assez vite. J'ai parlé de la série Vikings au-dessus, mais même si vous ne l'avez pas regardée, vous arriverez facilement à vous imaginer ces hommes et leurs rites grâce aux précisions que l'auteure apporte dans son récit. On sent qu'elle a travaillé le sujet en amont, qu'elle a dû elle aussi lire des choses, elle a su appliquer toutes ses connaissances dans ce roman, et ce, toute en finesse. On apprend tout en se divertissant, sans s'en rendre compte. Bien sûr, la romance est présente et prédomine sur le reste, mais le contexte et les faits historiques sont là pour étayer le récit et apporter encore plus de réalité à l'histoire. le style est toujours très bon, Aurélie Depraz est une romancière de talent. Je l'ai découverte un peu plus avec ce second roman, qui est pour moi une aussi belle réussite que le premier. Il traite d'un contexte historique différent, mais il est tout aussi passionnant, aussi bien écrit. On ressort grandi de ce genre de lecture, avec l'envie de pousser plus loin les connaissances en lisant d'autres livres sur le même thème.

Je suis très contente de continuer de découvrir Aurélie Depraz. En parcourant sa bibliographie, j'ai vu qu'elle avait écrit également écrit sur le Moyen-Âge en France. Je suis impatiente de voir quelle histoire elle a bien pu créer sur cette base. Je suis admirative à chaque fois des couvertures qui sont toujours très belles, et du choix des titres. Ici, dans L'amour, le fer, la mer et le sang, on retrouve trois éléments sur quatre importants dans la vie des Vikings. le fer des armes, la mer qui est leur seconde mère et le sang qu'ils font couler. Pour ce qui est de l'amour, c'est un sentiment que tout homme ressent, qui qu'il soit, d'où qu'il soit...

Je vous recommande sincèrement cette lecture. Je suis persuadée que vous passerez un bon moment en compagnie de Sven et Aalissia. Moi, elle m'a donné envie de regarder à nouveau la série, il me reste la sixième saison à voir, je crois que je vais vite me replonger dedans. Ce roman m'a ravie rien qu'avec les bons souvenirs du visionnage de la série. Et j'ai hâte également de lire à nouveau un roman de Aurélie Depraz...à suivre donc...
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Encore une fois, j'ai passé un agréable moment en lisant cette histoire.
L'auteure prend le temps d'installer l'intrigue, les personnages et le décor.
Je me suis attaché aux personnages de Sven et Aalissia qui sont très différents par leurs cultures. Ils sont courageux, simples, forts et charismatiques.
Je me suis beaucoup intéressé à l'histoire Viking et de la Grande-Bretagne dans cette période moyenâgeuse. Cette histoire ne manque pas de rebondissements et qui donnent des frissons.
Le style de l'écriture est tellement rythmé que l'on ne voit pas les pages défilées.
Ne passez pas à côté de cette belle romance historique.
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Après avoir découvert « Pour l'Amour d'une Sassunach », j'avais hâte de commencer ce deuxième livre d'Aurélie Depraz. Il faut dire que le premier m'avait fait voyager avec facilité et que sa plume est vraiment très agréable à lire.

Une nouvelle fois, elle utilise sa formule magique qui a si bien fonctionné dans sa première histoire : un homme fort, une femme qui semble être son opposé, deux cultures qui s'affrontent pour finir par se comprendre… et une nouvelle fois, la formule fonctionne à merveille !

Fini les paysages abruptes de l'Ecosse, nous plongeons dans l'univers froid et rude des Vikings. Pour celles et ceux qui connaissent la série, on y retrouve de nombreux personnages historique. Mais même sans avoir vu la célèbre série, on s'y retrouve facilement, car l'auteur manie la trame de l'histoire avec brio. Une nouvelle fois, elle nous offre une belle histoire tout en nous donnant un beau cours d'histoire sur un peuple assez méconnu au final (car à part les clichés, peu de gens en savent beaucoup sur les vikings). Il n'y a pas à dire, on assiste à un nouveau saut dans le temps. Cette fois-ci, ce sont les embruns de la mer et les vents froids du nord qui viennent nous fouetter le visage.

Pour porter cette romance historique, un nouveau couple est mis en lumière : Sven et Aalissia, le Viking et l'Anglo-Saxonne… deux êtres, deux cultures, et une alchimie flamboyante !

Là où Ian avait un côté frustre, Sven a un côté brut. Il est comme un diamant non taillé, sorti comme ça de terre, avec ses forces et ses faiblesses. Il y a de la simplicité chez lui, une simplicité qui nous fait nous attacher très rapidement à e personnage. Il ne demande pas de grands honneurs, il désire juste vivre finalement. Il est également une belle facette de l'esprit Viking. Il est défend les valeurs, et j'adore la façon qu'il a de les expliquer à Aalissia (ce qui nous offre de beaux chocs des cultures).

Aalissia a tout de la femme douce, que l'on ne demande qu'à protéger. Ayant perdu ses parents, elle porte sur ses épaules le poids de la ferme familiale et l'éducation de ses jeunes frères. Mais sous cette apparence de femme fragile se cache une force dont elle-même ne semble pas forcément avoir conscience. Elle a un sens profond du sacrifice et est prête à souffrir à la place des autres. C'est son arme, et c'est ce qui la rend plus forte que la plupart.

Les pages défilent à une vitesse folle et, sans qu'on s'en rende vraiment compte, on arrive à la fin de l'histoire. Notre coeur bat au rythme des aventures des personnages, et même si le début prend un peu de temps (il faut bien placer tous les pions sur l'échiquier), on est embarquer sur le drakkar de l'aventure, poussés par le vent fort de cette romance.

Un livre à lire, qu'on soit adepte de romance ou de Vikings !
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Dans ce roman, Aurélie Depraz nous transporte au Moyen-Age, lors de la colonisation de certains territoires, pas encore unis, qui deviendront plus tard la Grande-Bretagne.
Tous les codes de la romance historique sont respectés, n'en déplaise à ceux qui trouve le volet historique trop développé.
Une fois de plus l'auteure plante consciencieusement son décor sur des bases documentaires sérieuses et offre ainsi, aux amoureux d'Histoire, une approche ludique. Elle présente le contexte social, apporte des raisons logiques aux errances des Vikings.
Coté romance, rien de bien nouveau, je vous l'accorde, mais c'est un peu le soucis avec ce genre littéraire à moins de l'appréhender, tout simplement, comme une histoire d'amour dans un contexte historique et de n'en attendre plus que ce qu'elle est prévue d'offrir : un agréable moment de lecture.
Je m'étais plainte dans ma chronique de Pour l'amour d' une Sasunnach, de trouver les personnages trop lisses, du manque de réparties, tant j'aime que ça "pète". Eh bien, le couple Sven/ Aalissia se frite davantage, mais, (oui, je sais, je suis du genre pénible), ce n'est pas encore assez explosif à mon goût. Cette relation me rappelle celle d'une saga que nous avions lu avec ma binôme de lecture : Terre des Vikings dont nous étions ressorties déçues, tant le volet historique s'avérait négligé et la romance très fleur bleue.
Néanmoins, ici, les liens se nouent sur des bases cohérentes, et débouchent, bien évidement, sur une fin évidente et bienvenue. Conforme à l'issue attendue d'une romance avec ses rebondissements, ses chutes à point nommées conformes au genre. S'en plaindre serait illogique, tant le happy-end est la conclusion "obligatoire" va-t-on dire dans ce genre littéraire.
Coté style, je le trouve bonifié, j'imagine que le texte de Pour l'amour d'une Sasunnach est antérieur à celui ci. La plume est plus fluide, plaisante, les phrases travaillées, le vocabulaire recherché, adapté au contexte moyenâgeux avec des renvois au lexique pour la compréhension de termes spécifique. Encore une fois, c'est cohérent avec la romance historique. Pour ceux que la profusion de références, de descriptions rebutent, je conseille de passer leur chemin et laisser les fans du genre apprécier, quant à eux ce genre. Pour moi, une romance historique sans le vocabulaire approprié n'aurait aucun intérêt. C'est mon point de vue et je l'assume.
Une fois de plus je remercie Aurelie Depraz pour m'avoir instruit de manière ludique sur tout un pan d'histoire que l'on n'étudiait pas à l'époque, et permis de passer un plaisant moment de lecture avec une aventure qui respecte tous les codes de la romance pour qui veut se cultiver, tout en rêvant de belles histoires d'amour
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Le voyage historique et amoureux de “L'Amour, la mer, le fer et le sang” fut appréciable, mais comporte toutefois des petits bémols à mes yeux…

Je pensais m'être habituée à l'afflux d'informations historiques de l'auteure. Au fil de mes lectures, je m'y suis faite… Jusqu'à cette dernière romance.
Dans “Le feu, la mer, le fer et le sang” c'est trop d'un coup. Sur les trois premiers chapitres, les descriptions des lieux ont du mal à se frayer un chemin parmi les descriptions géopolitiques de l'époque, les descriptions historiques et tous les mots de vocabulaire en notes de bas de page (plus de 30 en seulement 50 pages !).
Pourtant, toutes ces informations sont très bien amenées dans le récit. Elle apparaissent au détour d'une conversation, d'un regard porté sur le paysage, mais pour un début de récit, même historique, je les ai trouvées envahissantes et j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire.

Puis arrive la rencontre entre les héros… Et quelle rencontre !
Si j'ai rencontré quelques difficultés à me retrouver parmi le quota d'informations historiques, c'est tout l'inverse lorsque la romance a pris la relève.

Nos héros vivent un véritable choc des cultures et l'idée que la romance y puise sa source et son attraction était très bien trouvée !
Aalissia et Sven ne partagent pas la même culture, ni les mêmes moeurs, encore moins la même religion et c'est en discutant, en se côtoyant, en se cherchant et se confrontant qu'ils vont le découvrir… Et une crépitante étincelle va naître entre les deux.
C'était très instructif, mine de rien (là j'avoue, les informations passaient crème !) drôle parfois, et a permis de nouer une relation “enemies to lovers” bien recherchée et narrée. Je n'ai rien à redire sur la romance, elle était vraiment chouette, passionnante et haletante comme je les aime.

Mais il y a encore d'autres petits couacs, à mon goût, qui apparaissent au fil de ma lecture… Des informations données et répétées et surtout, un petit soucis avec la langue anglaise. C'est bien précisé que les héros parlent entre eux en anglais. Pas de problème jusque là sauf lors d'une scène : Nos héros partagent une conversation où soudainement, Aalissia tutoie Sven. Ce dernier relève avec un “Tu ?” , elle bredouille “enfin je voulais dire vous” et il lui répond “non, tu, ça me va”.
Comment est-ce possible alors que la langue anglaise n'utilise pas “tu / vous” ?! (Ou alors peut-être était-ce le cas à l'époque ?). Je peux comprendre le trouble que jette ce genre de rapprochement au sein d'un couple à en devenir, mais je n'y trouve pas de logique ici, c'est trop “franco-français”.

Au final, j'ai vraiment beaucoup apprécié la romance mais les petits bémols qui dansent autour ont alourdi mon ressenti global.
Néanmoins, Aurélie sait écrire de belles histoires d'amour et prend à coeur de partager ses connaissances historiques. On sent qu'elle vibre avec ses époques et ses personnages, et c'est qui fait que, malgré tout, on passe un bon moment de lecture.
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Un instant, haletant, il la dévisagea. Ses lèvres étaient gonflées, ses pupilles dilatées, son souffle court, les pointes de ses seins dressées sous sa robe encore humide. Elle avait envie de lui, nul doute possible. Mais elle était vierge aucun doute possible là non plus : les réactions candides de son jeune corps en émoi parlaient d'elles-mêmes.
La plupart des siens avait été massacrés quelques jours plus tôt. Et elle est épuisée.
Sven prit le parti de tempérer ses ardeurs quelques jours encore. Après tout, mise à part l'intensité croissante de ses instincts virils, rien ne le pressait. S'il savait se montrer patient - quoique cela lui coûta fort d'attendre - elle finira par se donner d'elle-même à lui pleinement et complètement. Sa victoire et son plaisir n'en seraient que meilleurs. Il la pris dans ses bras, la souleva, se redressa et prit la direction du village.
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On dit de leurs bateaux qu’ils écument aussi bien les fleuves que les lacs et la haute mer. Qu’ils peuvent naviguer par vent contraire. Qu’ils glissent sur les vagues au lieu de les heurter. Qu’ils ne se perdent jamais. De leurs épées, on sait que le Vilain les a rendues plus solides, plus acérées et plus tranchantes que les nôtres. Que jamais elles ne se cassent, jamais elles ne se coincent. Qu’elles pénètrent dans les hauberts et s’extraient sans peine du bouclier de l’adversaire. Qu’enfin, elles confèrent aux grands chefs qui les portent une meilleure force de frappe et une plus grande mobilité.
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Aalissia ouvrit de grands yeux. Ces hommes, en plus de leur réputation de farouche combattants et d'excellents navigateurs, s'avéraient être des bâtisseurs rapides, efficaces et expérimentés ainsi que d'habiles gestionnaires. En seulement 4 jours, ils avaient érigé un fort circulaire, protégé de hautes palissades et d'une forêt d'ouvrages défensifs, établi un immense campement et prévu le ravitaillement de toute leur armée - au détriment de la population locale, bien sûr. Sous ses yeux s'élevaient les plus hauts murs du fortin, qui semblaient avoir surgi de terre comme par magie. De la haute rangée de pieux taillés en pointe, plusieurs volutes de fumée noire émergeaient, ainsi que les toits de chaume, incurvés, en coque, d'un long bâtiment rectangulaire.
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