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Est-ce le résultat d'une culture trop ancienne ou la faute de trop de bateaux et d'oseille ? Toujours est-il que la vie des filles du patriarche des armateurs grecs, Stavros Livanos (1891-1963), Eugenia, née en 1926, et Athina "Tina", née en 1929 n'a pas été des plus simples. Leur père avait l'habitude de ne prendre jamais du crédit à la banque et de payer ses bateaux rubis sur l'ongle. Lorsqu'un beau jour quelqu'un s'en étonna et lui en fit la remarque, le père Livanos répondit : "Je n'ai pas d'argent, j'ai des bateaux".

Une façon de voir bien sûr, car dans plusieurs langues l'expression "riche comme" se termine souvent par un renvoi à ces armateurs grecs, au lieu du classique comme Crésus (115-53 av. J.C.). Et les fortunes de lui, Stavros Niarchos (1909-1996) et Aristote Onassis (1906-1975), que nous allons rencontrer plus loin à côté d'Eugenia et Tina, ont été proprement colossales.

Il est évidemment logique de se marier dans son entourage, mais lorsque ce cercle devient si restreint qu'un homme décide de marier les 2 filles de son collègue et rival comme Stavros Niarchos, d'abord Eugenia en 1946, ensuite Tina en 1971, cela devient un peu compliqué, surtout si la dernière nommée avait déjà épousé l'autre du trio, Onassis.

C'est comme si les soeurs Livanos ont voulu illustrer de façon dramatique que l'argent ne fait pas le bonheur. En dépit du fric et des facilités qu'il permet, elles sont mortes toutes les 2 jeunes : Eugenia à 44 ans, en 1970 d'une overdose de barbituriques et Tina à 45 ans, en 1974, officiellement d'un oedème des poumons, mais il y a été également question d'une overdose de drogues.

Ce n'est pas absolument indispensable, mais si vous aimez les mondanités, cela vous aidera sûrement à apprécier cet ouvrage, car l'auteure vous emmène aux endroits exclusifs fréquentés par la jet-set : l'hippodrome d'Ascot, les bals de l'Aga Khan, la station de ski de Courchevel etc.

Le récit démarre avec le mariage d'Aristote Onassis, qui a 40 ans, avec la cadette des Livanos, Tina, qui en a 17. Ils auront 2 enfants ensemble, tous 2 décédés : Alexandre (1948-1973) mort à 25 ans dans un accident d'avion et Christina Onassis (1950-1988) à 37 ans d'une crise cardiaque. Christina s'est mariée 4 fois, avec Joseph Bolker en 1971, Alexandre Andreadis en 1975, Sergueï Kauzov en 1978 et Thierry Roussel en 1984. Avec ce dernier elle a eu une fille, Athina Onassis, née en 1985 et prénommée ainsi en honneur à sa grand-mère.

Tout le monde se souvient certainement de la liaison d'Aristote Onassis avec la diva Maria Calas (1923-1977), commencée en 1959. La "Bible de l'opéra" (son surnom) restera fidèle à son Aristote jusqu'à la fin, malgré son affaire avec Caroline Lee Bouvier-Radziwill (née en 1933), la jeune soeur de Jacqueline Kennedy-Bouvier (1929-1994) et son mariage avec la veuve du Président John Fitzgerald Kennedy, en 1968. La grande cantatrice sera la seule à aller visiter l'armateur grec à l'hôpital américain de Neuilly, où il est mort d'une pneumonie en 1975.

Si j'ai dressé ce petit aperçu plutôt fastidieux de liaisons, mariages et rejetons c'est dans le but de vous offrir quelques points de repères utiles, si vous vous lancez dans la lecture des aléas de la vie mouvementée des soeurs Livanos et consorts parmi les "happy few" (ou supposés tels), que je ne vais pas résumer ici. Pas plus, par ailleurs, que les nombreuses affaires d'héritage et de procès retentissants.

Appartenir à cette élite fortunée n'est, en tout cas, pas de tout repos. Non pas que j'en sois envieux. Comme vous allez constater - si vous ne vous en doutiez pas déjà - il y a pas mal de ragots, jalousies, rivalités et médisances parmi la crème de la crème. Feuilleter leurs prouesses dans les magazines "people", chez mon coiffeur de temps en temps, me comble largement.

Il s'agit du premier livre que j'aie lu de Stéphanie des Horts, romancière et critique littéraire, née de Courmon en 1965 à Tours. "Les soeurs Livanos", paru en octobre dernier, est sa 8ème oeuvre littéraire en 10 ans. Son début concernait une biographie intitulée "Pamela" de Pamela Beryl Digby (1920-1997), épouse du fils de Winston Churchill, Randolph ; Leland Hayward (un agent artistique américain) et Averell Harriman, gouverneur, secrétaire d'État au commerce et ambassadeur américain à Londres et à Moscou. Bill Clinton a nommé "Pam" ambassadrice US à Paris (1993-1997). J'avais déjà lu sur cette dame la biographie écrite par Sally Bedell-Smith "Reflected Glory : Life of Pamela Churchill Harriman", paru l'année de sa mort. Sinon, je me serais peut-être attaqué à l'ouvrage de Stéphanie des Horts.
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Elles ont défrayé la chronique des années 50 à 70, étalé le faste et leurs frasques, l'argent, l'indécence, la démesure.

Elles, petites filles richissimes et gâtées, jeunes femmes avides et formatées à l'idée du mariage avec de riches partis. Evidemment. Elles ont trouvé hommes à leur mesure, l'une choisit Onassis, l'autre prendra Niarchos. Deux redoutables rivaux.

L'argent coule à flot dans les somptueuses villas ou à bord du Cristina O, les fêtes sont grandioses, arrosées de champagne et nourries au caviar. le gotha est présent, les stars, les politiciens, les financiers, les robes scintillent, les diamants s'étalent en rivière.

Le bonheur ? Une façade. Les coups pleuvent, les hommes sont volages, les pilules et l'alcool sont le lit de l'oubli.

Très documenté, truffé d'anecdotes tirées des journaux de l'époque, les faits sont épluchés et livrés sans chichi, de la belle apparence aux alcôves malheureuses. Tina et Eugénie souffrent. Des tragédies de femmes soumises aux hommes pour des richesses et la célébrité, une façon d'exister au-delà des violences et des couleuvres avalées. L'amour, les illusions, elles en mourront. Jeunes et brisées.

Stéphanie des Horts ressuscite les soeurs Livanos pour quelques pages captivantes d'une écriture vive et percutante au rythme de la vie qui file, du bonheur aux larmes, de la folie à la chute. Elle nous raconte ces femmes et leurs souffrances, des étoiles oubliées qui ont cru au bonheur dans un monde d'apparences et d'hypocrisie.

Des destins qu'on lit à la fois subjugué et écoeuré. L'argent fait-il le bonheur ?


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Voici la vie romancée de ces 2 soeurs Livanos, Eugénie et Tina, filles du grand armateur grec.
Eugénie épouse Stavros Niarchos et Tina épouse Aristote Onassis: le début d'une lutte entre deux femmes que tout sépare et deux soeurs que tout unit dans un monde de milliardaires fait d'excès, de luxe et de mondanités.
Stéphanie Des Horts n'a pas son pareil pour retranscrire avec brio les destins de personnages célèbres et fascinants.
Elle parvient sans mal à nous passionner dès les premières pages, de sa plume alerte et fine. On ne peut s'empêcher de penser à toutes ces recherches qu'elle a dû faire pour obtenir ces détails extraordinaires.
On adore croiser Churchill, Agnelli, la Callas, Jackie Kennedy (future Jackie O.) et sa soeur Lee Radziwill.
De véritables destins de tragédie grecque.
Je me suis régalée.
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Deux soeurs, deux destins identiques, deux amoureuses d'hommes aux caractères forts voire violents. Plongée au coeur d'un monde où l'argent fait tout sauf le bonheur. J'ai été touchée par ces deux femmes mal aimées et en recherche d'amour.
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Et voilà! J'en étais sûre! Encore un roman de Stéphanie Des Horts que j'ai dévoré!
Que voulez-vous, je suis complètement admiratrice des personnages qu'elle choisit de mettre en valeur ainsi que de la plume de l'auteure. On ne me refera pas! &#xNaN;
Les détails du récit subjuguent un peu plus à chaque nouvelle page!
Un délice de livre dans lequel j'ai découvert les soeurs Livanos, Niarchos et redécouvert Onassis. Ce que j'aime, c'est le fait qu'ils croisent toujours les protagonistes des autres romans de l'auteure : Jackie Kennedy, Lee Radziwill, PamelaChurchill,… Cela permet vraiment de visualiser de différentes manières tout ce « beau » monde. Malheureusement, « beau » n'est vraiment pas le terme adapté : drames, alcool, violence, drogues. J'ai été choquée par le destin de Tina et Eugénie.
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Ennemi : (nom masculin) personne qui s'oppose à un autre. Et lui nuit. Deux soeurs, amies par essence peuvent elles se retrouver dresser l'une contre l'autre par une haine qui a consumé cet amour familial ? Deux hommes que tout opposent sont ils assez puissants pour mener ce tour de force ? Ou suffit il que la mauvaise fortune s'en mêle ?

La Grèce Antique. Berceau de la tragédie. de cette fortune qui s'abat sur soi, si tant est que l'on ait offensé les Dieux, qu'on se soit joué d'eux ou pis, qu'on se soit pris pour l'un deux. La Grèce. Berceau de la tragédie contemporaine que fut le destin des soeurs Livanos, qui se sont ôtées la vie à force d'amour. Berceau de la guerre des nerfs entre deux manias des mers. Bâtissant leur fortune au gré des flots et de la jalousie qu'il attisent l'un envers l'autre.

La Grèce comme héritage. Deux soeurs qui avaient tout pour être érigées au statut de déesses, mais qui ont sombrées dans leurs vies de paraître. Des maris absents et volages, à la main lourde et aux présents fastueux, qui n'ont eu de cesse de vouloir briller plus haut, plus fort, plus vite. Quitte à s'en brûler les ailes.

« Elles avaient tout : la beauté, l'intelligence, l'élégance, la fortune. En épousant les richissimes Onassis et Niarchos, elles ont cru atteindre leur idéal. Elles ignoraient que ces séducteurs, hommes d'affaires redoutables et ennemis jurés, ne vénéraient qu'un dieu : l'argent. L'amour n'était qu'une arme de plus au service de leur pouvoir. de New York et Paris aux somptueuses villas de la mer Egée en passant par Saint-Moritz, les soeurs Livanos illuminent les soirées de la jet-set. Elles se jalousent, s'adorent, se détestent tandis que leurs maris s'affrontent à coups de pétroliers, de palais, d'oeuvres d'art, de manipulations politiques ou mondaines. Mais derrière les flashes des paparazzis et les sourires envoûtants de Jackie Kennedy, Maria Callas, Gianni Agnelli ou Marilyn Monroe, un drame se joue. Quatre fauves ont lié leur destin pour mieux se déchirer.«

Ce n'est pas tant les soeurs Livanos qui nous sont comptés, qu'une époque fastueuse, où l'on croise des personnalité en mal de notoriété, d'argent, de paraître, de renommé. Où les sourires ne sont que de façades, quand des couteaux vous sont plantés dans le dos. Enfant, je regardais Dallas (en rediffusion) puis plus tard Gossip Girl. Je me dis alors que rien n'a été inventé. Que cette hallucinante vacuité ne pouvait être qu'exagérer. Il semblerait que mon innocence et moi-même étions bien loin du compte.

J'avais aimé découvrir la plume précise et documentée de Stéphanie des Horts en mars dernier avec la vie mouvementée – à l'amour, à la haine – des soeurs Bouvier. Il me tardait de la retrouver et c'est avec un plaisir non feint que je me suis délectée des courtes trajectoires abyssales des vies des Soeurs Livanos.

Bonne lecture à vous !
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Première chronique de 2021 mais sur une lecture de 2020, donc ça ne compte pas vraiment. Je vous souhaite néanmoins une excellente année 2021, pleine de livres et d𠆚ventures à vivre de son canapé, parce que ça, au moins, on ne peut pas nous le voler…

Aujourd’hui, je vous parle du court roman de Stéphanie Des Horts, Les Sœurs Livanos. Je ne connaissais pas du tout l’histoire de Tina et Eugénie, deux sœurs grecques, aux prises avec une tragique destinée, flirtant constamment avec la démesure et jouant un jeu dangereux avec Eros et Thanatos. Tout le roman s’organise autour de cette idée de la tragédie, se découpe même en partie qui ont pour titres les noms des principaux héros tragiques grecs et des dieux de la mythologie.

C𠆞st un roman fascinant sur bien des points. J𠆚i été subjuguée par ces vies, que je n𠆞nvie pas pour autant. Dans les villas, sur les bateaux de Niarchos et Onassis, on croise Marylin, Kennedy, Churchill, Sinatra, Maria Callas et tellement d𠆚utres qu’on en a le tournis. Ne cherchant que l𠆚mour, en plus de la richesse, les deux sœurs tentent d𠆚pprocher deux hommes qu𠆞lles voient comme des soleils, tout simplement, mais elles doivent donc en payer le prix et se brûler les ailes.

L𠆚mour n𠆞st pas plus fort que l𠆚rgent ici, c𠆞st la passion, l𠆞xubérance, la concurrence qui régissent tout : le couple, la famille, l𠆚mitié.

Le style suit le rythme des vies trépidantes de ces personnages si époustouflants qu’on en oublie parfois qu’ils sont bien réels. La tension ne s𠆚paise jamais, on passe d’une sœur à l𠆚utre, d’une prémonition à une autre et l’on sent bien, surtout pour Tina, que l’innocence ne triomphera pas. A force de fréquenter un univers dépourvu de morale, nos deux jeunes femmes perdront beaucoup de la leur. Amour, jalousie, égoïsme et désamour, tout va et vient à un rythme effréné. J𠆚voue avoir même eu du mal à suivre parfois. Trop de noms, trop de relations, trop d�ultères… Mais c𠆞st le jeu ! J𠆚i aussi eu du mal à accepter de ne pas pouvoir apprécier Tina, en tant que femme, mais surtout en tant que sœur et tant que mère. Pour le coup, si Eugénie m𠆞st apparue comme la victime de tout cela, Tina m𠆚 semblé plus en accord avec la vie qu𠆞lle menait, même si elle finit par s’y perdre.

En bref, c𠆞st une lecture que j𠆚i trouvée foisonnante et très enrichissante, je ne m𠆞n suis pas lassée une seconde, mais c𠆞st un univers jet-set dont je suis trop éloignée et trop peu éprise pour avoir complètement adoré. Et vous, vous connaissez ? Savez-vous déjà qui sont ces Niarchos, Onassis (amant de la Callas et second époux de Jackie Kennedy quand même), Tina et Eugénie ?

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POINT DE VUE IMAGE DU MONDE

📖Elles ont tout pour elles!, belles, intelligentes, riches et gâtées, elles rêvent toutes deux de faire un beau mariage...
📖Athina, 17 ans, épouse Onassis ; Eugénie, 20 ans, convole avec Niarchos - tous deux grecs, armateurs richissimes et ennemis jurés....
📖Tina, ambitieuse, jalouse et perfide, ne pense qu'à la célébrité - être traitée en princesse... Eugenie, bourgeoise hautaine et futile est plus conventionnelle en quelque sorte ; elle croit au grand Amour ; toutes les deux déchanteront ...
📖Au delà du récit biographique des soeurs Livanos, c'est aussi le portrait en creux des deux armateurs grecs ; Onassis, tout en outrance et en démesure, vulgaire, violent, qui se comporte comme un pirate international - un homme abject! Niarchos, "l'homme suprême", féru d'art et grand collectionneur est aussi et surtout un homme dur et cruel - un squale!...
📖New-York, Ascot, Paris, St Moritz, les deux soeurs conjurent l'ennui et le vide de leur existence dans un luxe outrancier et indécent fait d'alcool, de bijoux et de barbituriques - cocktail redoutable, tout ça finira mal....
📖Un roman biographique drôle et féroce, très documenté - on y découvre les rites et les caprices des ultra-riches et on lit certains passages avec un sentiment d'effroi devant autant de vacuité et d'indécence, et d'amusement aussi tant certaines scènes paraissent...décalées, surréalistes, impensables....
📖Un style enlevé qui rythme le récit - un roman qui se lit d'une traite avec un réel plaisir...
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"Les soeurs Livanos" " de Stéphanie Des Horts (256P)
Ed. Albin Michel
Bonjour les fous de lectures….
Vous cherchiez un livre sur les armateurs grecs, passez votre chemin...
Vous cherchez un livre "people", celui-ci est pour vous !!!
Quelle vie superficielle et sans aucun intérêt que celle de ces deux soeurs qui ne cherchent que faste et opulence quel qu'en soit le prix à payer.
Elles ont eu tout, connu la jet-set, jalousent tout le mode, vénèrent les billets verts et se damneraient pour le pouvoir.
Le bonnheur ? elles s'en foutent.. seul compte la puissance et la gloire.
Les cops pleuvent.. peu importe
Les enfants ? pas leur problème
L'alcool et les petites pilules de couleur apportent l'oubli et noient une certaine lucidité qui pourrait parfois les habiter.
L'écriture est certes fluide et l'auteur a fait un long travail de recherche mais cela ne suffit pas à rendre la lecture addictive.
Malgré quelques passages intéressants, je me suis franchement ennuyée avec cette biographie de ces deux soeurs superficielles à souhait.
Je referme le livre au bord de la nausée
je recommande cependant chaudement ce livre pour les amateurs de "people" et presse a scandale
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Un récit fascinant sur deux soeurs qui épousent deux magnats grecs du transport maritime. J'ai adoré suivre leur histoire, connaître leur amitiés, leurs passions démesurées mais aussi leurs difficultés de vivre, d'aimer et d'être aimé. Beaucoup de destins liés à ces deux soeurs, Monaco, Churchill ou encore Jacky Kennedy.
Je découvre Stéphanie des Horts et je vais poursuivre l'exploration de son oeuvre.
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