Avec
Il voulait qu'on l'appelle Guignol,
Olivier Desvaux signe son deuxième album destiné aux jeunes. Un album qui m'a laissée perplexe, pas certaine d'avoir saisi la portée et le sens de cette histoire où se voit entraîné un jeune marionnettiste transformé en marionnette, ce qui l'amène à vivre des situations hors du commun et à constamment repartir à zéro. Jusqu'à ce qu'il comprenne qui tient les ficelles et constate à quel point il n'a aucun pouvoir sur sa propre vie.
Est-ce ce message que j'ai envie de transmettre aux jeunes? Ai-je le goût de leur dire qu'ils ne peuvent rien faire pour changer le cours des choses? Non. C'est pourtant ce qui se dégage de cet album qui, visuellement, est une totale réussite mais qui, à cause du message qu'il sous-tend, m'empêche de le recommander.
Dommage.
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