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sur 29217 notes
Ce roman est une imposture. Sympathique, certes, et que je n'ai pas pu lâcher avant la fin (663 pages quand même !), re-certes, mais une imposture !

Pourquoi ?

D'abord parce qu'il parle de la création littéraire, qu'il évoque les difficultés de l'écrivain à créer, les affres de la page blanche, alors qu'en fait, les personnages ne sont pas des écrivains, ce sont des opportunistes ! Ils ne veulent pas écrire, ils veulent publier un best-seller ! Quel auteur talentueux peut se retrouver dans ces personnages ?

Le premier, Harry Quebert, a soi-disant écrit un chef-d'oeuvre, qui n'est en fait que la transcription de sa propre histoire. Elle aurait pu être géniale, le style aurait pu être formidable, mais non, les extraits cités sont malheureusement d'une mièvrerie incroyable, affligeante. Une histoire d'amour au ton mielleux et au goût de bonbon rose. C'est ça, le roman du siècle ?

Quant au second, Marcus Goldman, il n'est pas plus écrivain que vous ou moi, il ne fait que raconter des faits, résoudre une énigme policière dans un style, là encore, d'une fadeur à faire pleurer.

En revanche, la construction du roman est intéressante, et même remarquable, et c'est par ce biais que l'auteur accroche son lecteur. Les multiples allers-retours dans le temps, les extraits des différents écrits des soi-disant écrivains de génie, les extraits de journaux intimes, de coupures de presse, les lettres et enfin les multiples rebondissements créent un dynamisme qui oblige le lecteur, malgré lui, à tourner les pages avec frénésie. Mais trop c'est trop ! Trop de fausses pistes, trop de rebondissements de dernière minute. Trop de rebondissements tuent le suspense et fatiguent !!! D'autant plus que la dernière révélation est tirée par les cheveux…

Oui, j'ai lu ce roman dès que j'avais un moment de libre, oui, je l'ai avalé avec rapidité, oui, j'avais envie de connaître l'identité du tueur, oui, j'avais envie de connaître l'issue de l'histoire, oui, cent fois oui !

Cela en fait-il un bon roman ?

Non.

Ce livre n'est pas particulièrement bien écrit, le style n'a pas d'intérêt, seule l'histoire m'a embarquée. Et tout au long du livre, je me suis demandée comment on pouvait évoquer la création littéraire et ne pas appliquer les conseils prodigués par ce pseudo auteur…

"Un bon livre, Marcus, est un livre que l'on regrette d'avoir terminé." Et bien, voilà, tout est dit et je suis d'accord !

Lorsque j'ai reposé ce roman, nul regret… plutôt un soulagement ! Enfin terminé !




Lien : http://krolfranca.wordpress...
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Beaucoup se sont déjà prononcés sur ce roman, certains ont adoré, d'autres détesté, tous les goûts sont dans la nature. Pour ma part, je suis juste un peu déçue, de bons ingrédients, mais un ensemble surchargé et un arrière-goût navrant.

J'aime bien les romans qui traitent des livres et du processus d'écriture. J'aime aussi les formats ingénieux, l'histoire dans l'histoire et les chapitres numérotés à l'envers. Mais j'aime moins les répétitions et les leçons sentencieuses.

Je ne déteste pas les polars un peu compliqués et on est bien servi ici, de multiples rebondissements, des fausses pistes qui s'entrecroisent. Les acteurs sont nombreux, mais pas vraiment sympathiques comme le héros, cet auteur asocial et pédant. Certains personnages sont cependant franchement ridicules comme la mère de Marcus. À moins que l'ensemble se veuille humoristique ? Un Harry de 35 ans qui, comme une écolière, écrit cent fois le nom de son amour, c'est peut-être aussi de l'humour ? Ou bien du ridicule ?
Je trouve aussi de mauvais goût le choix d'une héroïne de quinze ans. Est-ce que la pédophilie se justifie par l'amour bébête ?

Trop d'ingrédients gâtent parfois une recette et certains assaisonnements douteux peuvent la rendre indigeste.

Mais voilà, ce n'était que mon grain de sel…
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Si la vérité sur l'affaire Harry Quebert n'a pas encore atteint le nombre de 21302 lecteurs d'un Da Vinci Code, il a suscité, en revanche, un nombre plus important de critiques des plus variées.
Ce roman est resté un long moment dans ma PAL et c'est à l'occasion de quelques jours de vacances que je me suis attaqué à la lecture de ce pavé de 660 pages.
Je me suis immédiatement passionné pour cette histoire à la fois roman policier et étude de société.
Marcus Goldman, jeune écrivain américain, connaît la renommée grâce à un premier roman. Après ce succès retentissant, la gloire, l'argent l'ont peu à peu éloigné de l'écriture. Mais son éditeur, avec qui il a signé un contrat juteux, ne l'entend pas de cette oreille et lui fixe un dernier délai pour écrire un second livre. Mais depuis, Marcus connaît le syndrome de la page blanche. Il appelle à l'aide son mentor, Harry Quebert, grand romancier américain qui fut son professeur de lettres et qui lui a tout appris du métier d'écrivain. Mais Quebert est accusé du meurtre d'une adolescente, Nola Kellergan, disparue trente ans plus tôt et retrouvée enterrée dans sa propriété. La police découvre alors qu'il entretenait une liaison secrète avec la jeune fille et que le roman qui a fait sa gloire lui était dédié.
Malgré le scandale, Goldman se rend sur place pour soutenir et faire innocenter son ami. Son éditeur, sentant venir la bonne affaire, l'oblige à écrire sur cette scandaleuse histoire promise au succès.
Au fil des pages, l'Affaire Harry Quebert prend forme sous nos yeux. Une enquête qui va mener Marcus à la recherche d'une vérité enfouie depuis trente ans et qu'il va conduire contre vents et marées quitte à perdre son ami Harry. Menacé par un habitant d'Aurora (New Hampshire) où le drame s'est déroulé en 1975, il devra faire face au silence des habitants pour tenter de rétablir la vérité.
Qui a intérêt à ce que la vérité reste cachée ? Et, quelle est cette vérité ?
Le roman alterne, avec brio, entre la vie à Aurora en 2008, au coeur de l'enquête, et trente ans plus tôt, dans une Amérique profonde ancrée dans les traditions, en revenant sur la genèse de la tragique disparition d'une adolescente qui a bouleversé la vie paisible de cette bourgade de bord de mer. On suit avec passion cette enquête aux nombreux rebondissements qui va mener le lecteur vers une chute plus qu'inattendue.
La vérité sur l'affaire Harry Quebert est d'abord une histoire d'écrivains, leur solitude, leurs doutes, leurs sentiments face aux affres de la création. L'enquête, bien que passionnante, est parfois caricaturale, elle n'est que prétexte à mettre en valeur les aspect psychologiques des différents personnages finement décrits, les dialogues de la mère de Marcus sont des morceaux d'anthologie. le flic bougon au grand coeur, l'écrivain qui fait des découvertes inattendues où la police a échoué et les histoires d'amour un peu gnangnan m'ont un peu gêné : Nola chérie. Harry chéri. Je t'aime Nola chérie. Je vous aime Harry chéri.
Mais outre ces quelques défauts, ce roman se lit avec plaisir. Un bon livre pour les vacances.
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A 28 ans, Marcus Goldberg a connu la gloire grâce au succès de son premier livre. Riche, célèbre et courtisé par tous, il a vécu sur ses lauriers sans se soucier du lendemain. Deux ans plus tard, le jeune écrivain est au pied du mur. Son éditeur réclame un deuxième livre et Marcus est incapable de produire une ligne. Tout naturellement, il se tourne vers celui qui a été son mentor: le grand écrivain Harry Quebert, qui l'invite chez lui à Aurora. Une grande maison au bord de l'océan, un charmant village du New-Hampshire et les conseils d'un vieil ami, toutes les conditions devraient être réunies pour relancer l'inspiration de Marcus. Pourtant sa plume reste sèche et il se résigne à affronter son échec et le procès dont le menace son éditeur. de retour à New-York, il est recontacté par Harry qui l'appelle depuis un poste de police. Des jardiniers ont trouvé le cadavre de Nola Kellergan sur sa propriété, une adolescente disparue en août 1975 et il est accusé de meurtre. Convaincu de l'innocence de son ami, Marcus revient à Aurora, bien décidé à faire toute la lumière sur ce crime.


Il y a des livres dont on sait dès les premières lignes qu'on ne pourra pas les lâcher jusqu'à leur dénouement et La vérité sur l'affaire Harry Quebert est de ceux-là.
Une enquête pleine de rebondissements, l'histoire d'un grand amour, une peinture de certaines dérives de la société américaine, un humour salvateur quand la situation devient trop sombre, le ping-pong entre un écrivain reconnu et son jeune apprenti, la difficulté d'écrire, le tout porté par une écriture fluide, facile, entraînante, voilà les secrets d'un livre parfaitement réussi. C'est d'ailleurs tellement parfait que parfois on a l'impression que Joël DICKER a respecté un cahier des charges ou qu'il a suivi scrupuleusement "Le Guide pour réussir un best-seller en 10 leçons". Mais après tout, si ça marche.... Car le fait est là, on veut savoir ce qu'il s'est passé en 1975, on veut savoir qui a tué Nola, on veut savoir si Marcus pourra écrire à nouveau, bref on veut tout savoir et on lit avidement même si parfois les ficelles sont un peu grosses.
Un roman exemplaire, maîtrisé et efficace qui fera hurler les lecteurs exigeants mais ravira ceux qui souhaitent juste passer un bon moment de détente avec une histoire qui tient la route, un suspense habilement mené et en prime la description des tourments de l'écrivain.
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"Un bon livre, Marcus, ne se mesure pas à ses derniers mots uniquement, mais à l'effet collectif de tous les mots qui les ont précédés." Ultime leçon du sage Harry Quebert à Petit Scarabée Marcus Goldman...

Et là, je me retiens très fort d'ajouter :
"Et un mauvais, Harry ?"
Trop tard, c'est fait.

OMG, plus de six cents pages cette fois-ci, et j'ai souffert. Je me suis demandé si l'auteur avait fait son moteur de la citation de Satie "Moi, pour la modestie, je ne crains personne" dès les premières pages.

Ensuite, j'ai cru comprendre qu'il cherchait à me convaincre que je lisais un chef d'oeuvre extraordinaire à force de voir portés au nues en termes dithyrambiques, toutes les dix pages, les livres et le talent, tantôt d'Harry Quebert, tantôt de Marcus Goldman. Et je ne parle pas de leurs personnalités si remarquables, exceptionnelles et attachantes.

Rien dans l'ouvrage ne justifie cependant un enthousiasme pareil, les extraits littéraires de ces génies étant d'une affolante platitude, leurs admirables personnalités cachant trop bien leur jeu pour qu'on découvre leurs qualités.

J'ai sûrement raté l'occasion de deviner dans lequel de ses deux personnages principaux l'auteur se projetait.

J'ai trouvé l'histoire d'amour, éminemment contestable, entre une gamine de quinze ans et un tout jeune homme ( j'ironise...) de trente-quatre ans, glauque et très improbable.
Passons sur le fait que, dans un certain nombre de pays, une relation comme celle-ci serait réprimée par la loi. Une enfant de quinze ans doit être protégée. Elle n'est pas une adulte, contrairement à la façon dont elle est présentée dans ces pages.
Et, dans un contexte ordinaire sans problèmes spécifiques, elle pourrait difficilement avoir la perversion d'une adulte malfaisante non plus, n'en déplaise à l'auteur.

Mais foin de tout cela ! La fiction permet tout...

Pour convaincre de la force des sentiments qui uniraient ces tourtereaux, il ne suffit pas non plus d'écrire à tour de bras "Oh, Harry chéri !", "Oh, Nola chérie !". Spoiler : il y en a des pages et des pages !
Sans parler de ce que semble être la perfection de la passion amoureuse pour l'auteur : lui, écrivain, peut se consacrer à son art et passer son temps à écrire, grâce à elle, fée du logis et dactylo hors pair, qui fait les courses, le ménage, prépare les repas du grand homme et relit son manuscrit en se pâmant avant de le taper sur sa machine à écrire... je n'exagère pas, j'ai failli abandonner à ce moment-là.

L'auteur s'est pourtant cassé la tête à établir un plan du récit nous trimballant d'une époque à l'autre, nous envoyant comme des munitions toutes sortes de personnages dont on ne doute pas un seul instant qu'ils sont tous d'une importance capitale pour démasquer enfin le meurtrier. C'est qu'après tout, on est là pour ça !
Et puis il a su ménager pléthore de fausses pistes, qui se multiplient encore à la fin du livre à tel point qu'on se sent bringuebalé de l'une à l'autre comme sur des montagnes russes...

Bref, peut-être devrais-je me résigner à laisser tomber et à cocher la case "Abandonné" plutôt que de m'acharner à lire jusqu'au bout les bouquins qui me tombent des mains. Je vais y réfléchir...
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Après un premier roman très réussi, Marcus Goldman, ne trouve plus à New York l'inspiration pour écrire un nouveau bestseller.

Il décide alors de rappeler son mentor et grand écrivain reconnu, qui l'avait aidé à devenir un auteur à succès, mais qu'il n'a plus contacté depuis un an.

Celui-ci lui propose de s'installer dans sa maison de Goose Cove dans le New Hampshire.
Sur place, Marcus découvre fortuitement qu'Harry, à 34 ans, entretenait une liaison avec une jeune fille de 15 ans : Nola, disparue 33 ans plus tôt, le 30 août 1975.

Quelques mois plus tard, des ossements sont mis à jour dans la propriété de Goose Cove... ceux de Nola, enterrée avec un manuscrit écrit par Harry.

Tout laisse ainsi penser qu'Harry est impliqué dans ce meurtre, mais Marcus, est convaincu du contraire. Il lui faudra le prouver, par conviction mais aussi par amitié.

A mon avis :
En parcourant la blogosphère, on trouve concernant ce livre des avis très différents. Certains en font un chef d'oeuvre, d'autres un nanar niais et sans intérêt.

Par bien des aspects, il est vrai que ce roman peut paraître agaçant tant certains personnages sont mal dégrossis.
Ainsi, la mère du héros est une caricature de la mama juive à la Marthe Villalonga (on se croirait dans "un éléphant ça trompe énormément". Ça peut en faire rire certains mais il faut reconnaître que c'est du réchauffé), le sergent Perry Gahalowood, flic bourru mais qui finalement est un bon bougre, l'éditeur Roy Barnaski, prêt à toutes les bassesses pour faire de l'argent et qui passe de la menace d'un procès au contrat d'un million de dollars dans la minute et j'en oublie...

C'est vrai aussi que la relation amoureuse entre cette jeune fille de 15 ans et un adulte de 34 ans est niaise et sans doute asexuée de peur de frôler la pédophilie et par conséquent, manque de crédibilité (d'un autre côté, on n'est pas obligé de parler de sexe pour comprendre les sentiments amoureux qu'ils développent et par ailleurs on peut aussi trouver belle cette histoire d'amour décalée, qui est arrivée à d'autres - n'est-ce pas, Monsieur le Président ?).

C'est vrai encore que les extraits cités du roman "les origines du mal", que l'on considère dans le récit comme un chef d'oeuvre, ne sont franchement pas à la hauteur.

C'est vrai enfin, que la fin de ce livre n'en finit pas de finir, de rebondissements en rebondissements on n'en voit plus le bout.

En revanche, il faut admettre que c'est aussi un bon livre à suspens et que les multiples rebondissements offrent justement chaque fois de nouvelles pistes dans l'enquête, ce qui ne laisse pas le temps de s'ennuyer.

Bien que l'histoire d'amour entre les deux personnages soit bâclée, elle reste le fondement du récit et laisse au lecteur la possibilité de l'étoffer lui-même et de la rendre belle ou malsaine, au choix.

Différentes thématiques sont abordées dans ce roman : la solitude, l'amitié, la peur de la page blanche, la construction d'un chef d'oeuvre... ce qui le rend riche de sujets.

Enfin, le style de Joël Dicker est fluide et aisé à lire, ce qui facilite la digestion des 700 pages de ce livre.

Bref, mon sentiment et l'impression qu'il me reste à la fin de cette lecture, abstraction faite des erreurs techniques que j'ai citées plus haut, c'est d'avoir passé un bon moment, de n'avoir pas pu arrêter ma lecture parfois, pour enfin en savoir plus sur le déroulement de ce récit bien ficelé et donc finalement qu'il s'agit d'un livre très agréable à lire.

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Ö déception quand tu nous tiens ! Qu'il fût long ce livre !
Le style... banal, les longueurs... légions, les répétitions...agaçantes, le dénouement...abracadabrandesque, les réflexions sur l'amour ou l'écriture...harlequinesques ! Roman-armoire aux nombreux tiroirs qu'il n'en est vraiment pas commode :)
A ranger parmi les livres de plage. Un petit (question qualité, pas en nbre de pages) polar que l'ai lu jusqu'au bout pour en connaître la fin mais ce fut avec peine. Bon c'est vrai que j'ai du mal avec le genre polar américain version Hamett et que ce livre s'est inspiré de ce genre, mais quand même.

A croire que l'auteur a été rétribué à la page (plus de 600, quel butin!). Et combien a touché L Académie Française pour accorder leur prix ?
Bref, si vous recherchez une lecture facile, distrayante avec un peu de suspens, et que vous n'avez rien d'autre sous la main, ce livre est pour vous.

En conclusion, vous l'aurez compris au bout de ces quelques lignes, je n'ai pas aimé...
Il y a tellement de livres n'ayant reçu aucun prix, ne bénéficiant d'aucun tapage médiatique et qui sont excellents, que j'enrage d'avoir perdu 10 jours avec celui-ci. Mais un cadeau offert de bon coeur ne se refuse pas.
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Un livre très fort, très puissant. Impressionnant par sa construction et aussi son épaisseur (+ de 650 pages). Mais le texte est captivant et c'est une oeuvre qui se lit très vite. L'histoire est sordide et les personnages sympathiques, protagonistes du roman, peuvent vraiment se compter sur les doigts d'une main. Ce roman est merveilleusement écrit et il est intéressant car il explique la construction d'un livre, la panique de l'écrivain en manque d'inspiration. Il renferme aussi une traque policière et une enquête menée par un écrivain dans le but de réhabiliter un accusé. C'est aussi une magnifique histoire d'amour à plusieurs voix. Je voulais lire cette oeuvre de Joël Dicker depuis longtemps, je ressors comblée par cette lecture. Une superbe découverte. Un très beau livre.
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Un livre époustouflant ! Nous allons de rebondissement en rebondissement, de surprise en surprise. Les informations et les explications qui nous manquent, les réponses aux questions que l'on se pose tout au long de la lecture, ne nous sont révélées que petit à petit, et ce jusqu'à la fin. Et quelle fin !

La plume de l'auteur est parfaite. L'intrigue super bien menée nous tient en haleine jusqu'au dénouement. La fin est remarquable et totalement inattendue.

Voilà longtemps que j'entendais parler de ce livre, et je ne regrette absolument pas de l'avoir enfin lu. Ne voulant pas quitter Marcus Goldman maintenant, je vais attaquer le livre des Baltimore en suivant.

[Lu en octobre 2019]
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Un écrivain tourmenté qui n'arrive plus à aligner les mots après avoir connu le succès. Mais ici, les doutes ou les techniques sont traités avec humour et finalement, le livre ne se lâche pas.
Marcus rend visite à son mentor en espérant résoudre sa panne d'écriture. Las, rien n'y fait. Quelques jours après le retour de Marcus à New York, il apprend que son mentor a été arrêté pour le meurtre d'une jeune fille disparue une trentaine d'années plus tôt.
C'est plein de rebondissements, les commentaires sur l'écriture, comme un clin d'oeil au lecteur, sont amusants.
L'écriture, cependant, m'a fait plus d'une fois grincer des dents. Un livre idéal pour les vacances.
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