Kérozène

Après avoir énormement aimé "la vraie vie" j'étais heureux de retrouver cette autrice, joie qui fut de courte durée... je n'ai pas du tout compris où l'autrice a voulu nous emmener. Un roman qui ressemble plutôt à une succession de nouvelles, j'ai trouvé que l'on passait parfois du coq à l'âne sans trop de raison. Malheureusement grande déception pour moi... néanmoins, cette écriture toujours un peu prenante et dérangeante était chouette à retrouver, l'autrice y va fort sur certains sujets dérangeants (sexe, meurtres...) et ça c'était vraiment bien ! Concrètement j'ai aimé la forme mais pas le fond et c'est bien dommage... Quoiqu'il en soit, je me réjoui déjà de lire un éventuel prochain de cette autrice.

Que dire de ce "roman" ? Déroutant ? Ça c'est sûr. les personnages se suivent tous plus bizarres les uns que les autres, des histoires complexes ou tout au moins pas ordinaires. Je suis ressortie de cette lecture perplexe avec un réel sentiment de malaise face à cette violence sous des formes différentes. Je pense qu'une deuxième lecture serait l'idéal pour comprendre tous les rouages de cette histoire. Mais pas sûre d'en avoir vraiment envie.

Une station service sur une autoroute, une description d'une suite de personnages plus allumé les uns que les autres : du glauque du bizarre du sexe.
Je n'ai pas accroche à cette suite d'histoires bizarre sans vrai lien entre elles.
quel rapport entre un photographe de motte de beurre une grand mère dans un hamac des gynécologies obsédés et une danseuse de pole danse en manque de sexe.
moi j'ai pas trouvé mais à vous de juger

« 23h12. Une station-service le long de l'autoroute, une nuit d'été. Si on compte le cheval, mais qu'on exclut le cadavre, quatorze personnes sont présentes à cette heure précise. » Ainsi commence ce roman hors-normes. Une succession de courts chapitres présentent ceux qui se sont arrêtés là pour boire un café et qui vont se croiser sans vraiment se rencontrer. Quand le roman s'achèvera, seules quelques minutes se seront écoulées et il n'y aura plus que onze personnes…

J'étais très impatiente de découvrir le deuxième roman d'A. Dieudonné, car j'avais beaucoup aimé « La vraie vie ». Eh bien, je suis un peu perplexe, je ne saurais pas vraiment dire si j'ai aimé ou pas… J'ai trouvé la structure intéressante et l'écriture, mélange d'humour et de gravité, m'a plu aussi. : le portrait d' Alika (avec citations exactes du manuel de l'école Philippine pour les employées de maison), ou celle du cheval Red Apple… Mais il y a des passages très violents (plusieurs meurtres) et/ ou très crus ( scènes de sexe, de viol avec un animal)… Bref, je ne regrette pas de l'avoir lu, mais je ne pense pas le conseiller aux lycéens comme pour « La vraie vie » ! 😊

Ce roman (texte?) est assez bien écrit, mais il est sans queue ni tête. C'est une succession de nouvelles qu'il aurait mieux valu laisser comme telles plutôt que d'essayer de leur trouver un lien. Cela rend la lecture fastidieuse et n'apporte rien. Dommage !

Pas convaincue par cet enchaînement de portraits, que j'espérais voir se transformer en bouquet final. La dernière page fait simplement flop.
Si les idées trash ne manquent pas, je les ai trouvées bien souvent tirées par les cheveux.
J'avais adoré La vraie vie, je vais donc me laisser tenter par son dernier roman, Reste.

Je n'ai trouvé aucun fil conducteur dans ce livre. C'est une succession d'histoires certaines plus trash que d'autres qui n'ont aucun lien entre elles.
La station-service est pour certains personnages un point de rencontre, un lieu commun où l'on s'arrête un moment... et ensuite ?
Ce roman ne m'a pas du tout emportée. Je l'ai quand même terminé dans l'espoir de lire des rebondissements mais en vain.
Pour moi, c'est une lecture sans grand intérêt.

Bonjour, ce livre est certainement bien écrit pour provoquer le malaise, mais les premières scénettes m'ont été si désagréables que j'ai laissé tomber vers la page 35 !

Pourtant j'avais adoré La vraie vie du même auteur, assez noir également mais qui m'a semblé beaucoup plus intéressant.

Je ne saurai recommander cette lecture et je vois bien que les avis sont très partagés....

La prochaine fois que vous vous arrêterez dans une station service, ouvrez grand vos yeux et observez un instant les personnes qui vous entourent. D'où viennent-elles? Où vont-elles?

Adeline Dieudonné nous offre un instantané. Une pause dans la vie de naufragés, partis très largement à la dérive. Leur point commun? de mauvaises rencontres qui les ont fait vriller.

Au-delà de se retrouver par hasard dans cette station service dans la moiteur de l'été, qu'ont ils d'autre en commun? Comment leurs destinées vont-elles se mêler? Quelles vont-elles leurs interactions ? le questionnement s'intensifie au fur et à mesure des chapitres dans l'attente du feu d'artifice final.

Et là alors, me direz vous, est-on plus proche du feu d'artifice du 14 juillet au pied de la Tour Eiffel ou de celui de Schweighouse-sur-Moder en plein confinement? Je vous laisse le soin de le découvrir...

Perso, je ne recommanderai pas. Oui les mini-histoires sont assez sympathiques voire, souvent, cruelles mais j'aurais vraiment aimé un ou plusieurs chapitres où ces personnages se retrouvent, que le fil narratif se construise et que l'on comprend les liens entre eux.

Mais rien de tout cela.

La dernière page du livre me donne à penser que l'autrice a voulu énumérer ses personnages (et lui il a fait ça, le temps qu'elle a fait ceci et voici que untelle ...); sans, aucunement, de lien.

Pour moi, c'est plus un recueil de mini-histoires qu'un roman.