Un des rares ouvrages que j'ai pu trouver qui combinait à la fois sociologie et écologie car oui même si l'écologie prend de plus en plus dans notre société, les ouvrages socio-écolo sont encore rares.
Si le titre de cet ouvrage était plutôt alléchant, je dois dire que j'ai été quelque peu déçu car l'auteur se concentre presque exclusivement sur la dimension consumériste de l'écologie au quotidien. Bien entendu, elle discute un peu du tri des déchets, des pratiques comme le vélo, etc., mais rien de plus. C'est vraiment dommage car elle a de bonnes pites de réflexions sur de nouveaux styles de vie mais elle ne creuse pas ; peut-être qu'elle a écrit ce livre trop tôt ?
Bref, c'est un bon ouvrage avec des idées intéressantes mais à développer et actualiser.
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Face aux enjeux environnementaux locaux et globaux qui se dessinent (changement climatique, pollution de l’air en milieu urbain ayant des effets nocifs pour la santé humaine et pour l’environnement, pollution de l’eau, risques technologiques majeurs), les critiques du développement occidental mettent en avant la nécessité de s’orienter individuellement et culturellement vers une attitude de frugalité, qui implique de réduire drastiquement la quantité de ce qui est produit et consommé, et non de se limiter à un changement des manières de produire et de la qualité écologique des produits.
Consommer, c'est être consommé.