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Un roman vraiment très intéressant dont l'un des sujets principaux est la persécutions des premiers chrétiens japonais ainsi que des missionnaires occidentaux au Japon. Basé sur des faits réels et écrit à partir des traces retrouvé dans les archives de correspondance des prêtres jésuites, ce roman nous éclaire sur une part relativement méconnue de l'histoire japonaise.
C'est un roman complexe dont la construction est plutôt originale, c'est une succession de récit d'abord de forme épistolaire, puis la narration passe à la troisième personne pour se terminer en recueil de simili documents administratifs.
Certes c'est un roman sur des persécutions mais pas seulement, les thèmes se chevauchent et au fil des pages et des événements des questions plus profondes apparaissent notamment lorsque l'on suit les pensées du Padre Rodrigues. Ce sont les grands questions philosophiques et théologiques qui vont apparaître celle la foi, du doute, de l'acceptation de l'autre et de sa différence, du courage et de la faiblesse.
Un seul petit regret cependant pour le récit qui parfois traîne en longueur et perd de sa force au risque de lasser son lecteur.

Lien : http://des.cases.a.vents.ove..
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1614 au Japon, le Shogun Tokugawa décide d'expluser tous les missionnaires catholiques, depuis de longues années les catholiques japonais sont chassés et torturés, contraints à renier leur foi.
Les prêtres se cachent et tentent d'informer leurs congrégations. Certains sont emprisonnés, torturés. On perd leurs traces.
Quelques années plus tard quatre prêtres font le projet de se rendre au Japon pour poursuivre l'évangélisation mais surtout retrouver les prêtres disparus dont on dit que certains auraient apostasier renonçant publiquement à leur religion.



1637 Sébastien Rodrigues s'embarque pour le Japon avec deux compagnons, son principal objectif est de retrouver Christophe Ferreira dont il fut l'élève appliqué à Lisbonne et qui a cessé de donner de ses nouvelles, la rumeur fait de lui un apostat, Rodrigues refuse de croire cela de son maître en théologie.
Le voyage est périlleux et une fois au Japon Rodrigues va envoyer fidèlement des rapports à sa congrégation. Des convertis les accueillent, les cachent, ils dispensent des sacrements ici ou là toujours en cachette. Mais l'aventure tourne court, arrêtés ils doivent être témoins des supplices infligés aux japonais convertis. Tous les paysans qui les ont aidés sont torturés savamment, ils meurent en martyrs, un martyr « misérable et douloureux ».
Rodrigues prend la fuite pour ne plus mettre en danger la population, mais dénoncé il se retrouve face au commissaire Inoue qui refuse le christianisme non parce que c'est une mauvaise religion mais parce qu'il n'est pas fait pour le Japon.
Alors s'engage une bataille d'idées, de conviction« un procès en persuasion » !
Lorsqu'enfin il retrouve Ferreira un autre combat commencera pour lui, sa foi vacille car Dieu reste obstinément silencieux devant les persécutions des chrétiens
Un bon roman sur une période historique particulière de l'histoire du Japon. Sébastien Rodrigues livre un vrai combat avec sa foi et n'est pas sans rappeler Blanche de la Force l'héroïne du Dialogue des carmélites de Bernanos.
J'ai aimé découvrir les relations complexes qui ont existé entre Orient et Occident à cette époque, relations qui se sont terminées par une fermeture totale du pays aux étrangers pendant deux siècles.
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Le récit de missionnaires qui partent pour un Japon fermé et hostile à toutes tentatives de conversion. Un synopsis simple et qui correspond en grande partie à son traitement : c'est ici une oeuvre épurée et où l'on trouvera par endroits quelques traits plus insistants, souvent spirituels, et qui font de cette oeuvre un grand récit chrétien et dans le même temps une histoire du doute. Car Silence c'est surtout l'expérience d'un dialogue sans réponse avec Dieu, qui semble toujours distant, indifférent et définitivement absent face aux événements effroyables qui parcourent le récit. N'étant pas croyant cette lecture devient objet de fascination : la mystique et la croyance sont des objets particulièrement curieux et Shusaku Endo écrit merveilleusement bien sur ces sujets.
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On ne va pas se mentir ce livre est un chef- d'oeuvre. Je l'ai lu après avoir vu le film de Martin Scorsese. le film m'avait profondément remuée.

Hasard… quelques semaines après cette séance de cinéma, j'ai rencontré un prêtre catholique français qui exerçait son sacerdoce au Japon depuis 20 ans. Je lui ai tout de suite demandé s'il avait vu le film Silence. Il m'a répondu que non, il n'avait pas vu le film de Scorsese mais lu le livre de Shusaku Endo… stupeur, je découvrais que le film était une adaptation… je lui demandais : mon Père, est-ce difficile d'être catholique dans le Japon d'aujourd'hui ? Il me répondit que les catholiques n'étaient aujourd'hui qu'une poignée, et qu'évidemment, il n'était pas facile de vivre sa foi chrétienne dans un pays aussi nationaliste et aussi matérialiste que le Japon… Les chrétiens japonais se font discrets… d'autant plus que l'histoire des chrétiens du Japon a été marquée par des persécutions effroyables qui ont duré plus de deux siècles et demi… et pourtant le christianisme n'a pas disparu.. les familles chrétiennes ont continué à transmettre leur foi à leurs enfants, à les baptiser, à prier malgré les arrestations, malgré l'absence de bible et l'absence de prêtres…
Et chose complètement étrange tandis qu'au 17 ème siècle, les prêtres étaient soumis au supplice de la fosse, ébouillantés ou crucifiés, ou pour les plus chanceux expulsés du Japon, ( Shusaku Endo revient suffisamment sur toutes « les nuances » du martyr dans son roman ) … aujourd'hui les prêtres ou pasteurs sont très recherchés… pour marier les couples. ( en effet 60% des japonais se marient à l'église alors que les chrétiens pratiquants représentent moins d'un pour cent de la population ) et tout cela parce que le mariage à l'occidental est en vogue… et que la cérémonie chrétienne est tellement plus classe que la cérémonie Shinto.Et donc les japonais emploient des faux-prêtres pour répondre à la demande… Gros gros soupir…

Bref après cette rencontre avec mon prêtre japanophile, je me suis promis de lire Shusaku Endo… Pour mémoire, Shusaku Endo, est un auteur japonais né en 1923, converti au catholicisme à 11 ans , passionné de littérature française. ( Il a étudié la littérature à Lyon de 1950 à 1953 ). Toute sa vie durant Endo s'est senti rejeté. Rejeté au Japon à cause de sa foi catholique, rejeté en France parce qu'il était japonais, et rerejeté parce que très malade de la tuberculose.

Rappelons également qu'après la seconde guerre mondiale Shusaku Endo, alors adolescent assiste à l'arrestation d' Alfred Mercier… un prêtre catholique qu'il admirait beaucoup et qui sera torturé par la police japonaise. Endo se pose alors la question du silence de Dieu ? Pourquoi Dieu reste-il silencieux face au mal ?
Quelques années plus tard, Il écrira Silence.

Un roman à la fois philosophique et spirituel …à lire pourquoi pas ? durant la Semaine Sainte tant le livre regorge de références à la passion du Christ.
Mais attention ! Si vous êtes croyant, préparez-vous à voir vos conceptions ébranlées… Endo propose une réflexion troublante sur le sens du martyr chrétien… et sur le sens de l'apostasie, ( Certains on parlé d'apologie de l'apostasie mais je crois que c'est beaucoup plus subtil que cela ). Endo nous interpelle aussi sur la représentation que nous avons de Dieu. À travers les Icônes piétinées de l'efumi, les portraits de martyrs tous plus différents les uns que les autres, et la figure récurrente du Christ crucifié… l'auteur nous donne à voir un Dieu qui souffre avec les hommes plus qu'il ne supprime la souffrance.

Quant au film, j'ai été frappé de constater qu'il est très fidèle au livre, oui scrupuleusement fidèle à l'histoire, et sincèrement fidèle à la l'esthétique littéraire de Shusaku Endo. J'ai vu une correspondance entre la beauté sauvage des plans du réalisateur et celle des phrases de l'écrivain. Scorsese n'a pas volé son oscar de la meilleure photographie, Endo méritait ses prix littéraires.
Et bien sûr, le visage de Liam Neeson,d' Andrew Garfield et d'Adam Driver, les acteurs inoubliables du film m'ont accompagné durant toute ma lecture.
Pour conclure, je voudrais reprendre les mots d'Inoue le persécuteur démoniaque du roman « le Japon est un marécage où rien ne pousse, les racines du christianisme sont vouées à mourir ici ».Cette idée en vérité a été énoncée par Maruyama Masao, un des plus célèbres politologues japonais du XXe siècle. Je dirais juste que l'oeuvre de Shusaku Endo contredit cette théorie plus magnifiquement que n'importe quel argument. Shusaku Endo est la preuve vivante et puissante que le christianisme n'est pas voué à mourir au Japon, et que l'arbre bien au contraire porte du fruit.

Car à le lire, j'ai eu l'impression qu'il avait touché quelque chose de l'essence du christianisme qui échappe à bien des auteurs catholiques plus connus. Il y a dans ce roman une grâce particulière que je ne retrouve ni chez Peguy, ni chez Bernanos… encore moins chez Claudel…

Lisez Endo.
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Saint François-Xavier, le premier missionnaire portugais catholique, avait une si haute estime des Japonais qu'il disait de ce peuple qu'il est le plus intelligent d'Asie. En outre, le père Sébastien Rodrigues connaît parfaitement la position de Saint François-Xavier et son admiration des Japonais. Dans la peine, le père Sébastien Rodrigues y repensera avec un brin d'amertume et de perplexité.

Comment pourrait-il en être autrement pour notre père dévot qui se retrouve dans la tourmente ? le père Sébastien Rodrigues semble très courageux, alors le lecteur que je suis l'admire, mais ce dernier est aussi très désemparé par sa situation que je nommerai par pudeur de compliqué. Sa foi pose bien des tracas à notre jeune prêtre… le catholicisme n'est pas en odeur de sainteté dans ce Japon de la période Tokugawa, le pays se referme et il ne veut plus entendre parler des espagnols et portugais ni de leurs missionnaires. Les Hollandais sont eux toujours autorisés à venir pour commercer, ils sont aussi moins prosélytes, alors forcément… Pourtant, c'est bien dans ce pays que le père Sébastien Rodrigues est envoyé avec deux de ses compagnons afin de poursuivre le travail d'évangélisation du pays entrepris par son mentor. Ainsi, ce dernier n'est autre que le missionnaire Ferreira et la rumeur court à son sujet alors notre jeune prêtre Rodrigue devra enquêter. Mais quelle rumeur ? le missionnaire Ferreira aurait renié sa foi catholique et prit un nom japonais. Non ! Impossible, le père Sébastien Rodrigues n'y croit pas. Ce genre de chose ne peut arriver, car Dieu est auprès de Ferreira, il l'écoute. Mais l'entend-il seulement ?

« Ils furent martyrs. Mais quel martyre ! J'en ai lu bien des récits dans les vies des saints, et appris comment leurs âmes étaient retournées dans leur céleste demeure, comment ils avaient été accueillis dans la gloire tandis que les anges embouchaient leurs trompettes. Tel est le brillant martyre que je vois souvent en rêve, mais celui que je vous décris à présent n'eut rien d'aussi magnifique. Il fut misérable et douloureux. La pluie incessante tombe sur la mer. Et l'océan qui les a tués se soulève dans un surnaturel silence ».

Le style de Shûsaku Endô, écrivain japonais catholique, est intéressant, car changeant. Effectivement, l'auteur adopte dans un premier temps le mode d'écriture épistolaire, mais très vite il écrit à la troisième personne avant de finir son livre par un journal de bord. Il faut rester concentré. le style de l'auteur est exigeant, certes, mais aussi extrêmement poétique comme vous l'aurez sans doute remarqué dans le précédent extrait.

Ainsi, c'est dans une époque peu propice pour les catholiques que nous emmène l'auteur japonais Shûsaku Endô, dans son roman historique : « Silence ». Nous sommes donc au Japon aux alentours de l'an 1614 et le catholicisme est interdit, les catholiques sont persécutés tandis que les missionnaires sont pourchassés. Pourtant, la papauté continue d'envoyer des jésuites afin de présenter le Christ aux Japonais. le père Sébastien Rodrigues devra donc opérer sa difficile mission dans un pays dangereux pour lui et l'entité qu'il représente. Ainsi, rien ne sera épargné au héros du livre qui sera persécuté moralement et physiquement. Déstabilisé, le père Sébastien Rodrigues doutera de sa foi et il nous fera partager, à travers la plume merveilleuse de Shûsaku Endô, ses errances, ses questionnements spirituels et philosophiques. le père Sébastien Rodrigues souffrira aussi physiquement et rien ne lui sera épargné, ni même à nous lecteurs attentifs. Afin de résister à la souffrance morale et physique, le père Sébastien Rodrigues cherchera de l'aide auprès de Dieu à qui il demandera sans cesse des réponses. Cependant, notre malheureux jésuite ne recevra en retour, à ses complaintes spirituelles, rien d'autre qu'un long et profond « Silence ».

Comme vous l'aurez compris, j'ai adoré ce roman historique à la fois rude et envoûtant et qui nous informe à ça manière sur une période du Japon méconnue. Qu'en dites-vous ?

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J'ai eu du mal à attribuer une note à ce livre, car mes sentiments ont beaucoup changé au fur et à mesure de la lecture ...
Je me suis donc décidé à lui mettre 3/5 qui correspond à un peu plus de la moyenne.

Mes connaissances du Japon médiéval étant assez limitées je voulais justement en apprendre un peu plus. Et là ... déception ! En fait toute l'histoire est racontée par un prêtre portugais, Rodriguès, il y a donc beaucoup de digressions religieuses catholiques. On nous explique bien la répression que ces missionnaires ont connu, pareil pour leurs fidèles. Mais j'ai trouvé que cela manquait de substance. Au final, j'en sais pas beaucoup plus, à part en ce qui concerne les supplices inventés par les Japonais pour faire apostasier les chrétiens.

J'ai vraiment apprécié le début du roman où l'on suit les débuts de l'enquête de ces trois prêtres, leur arrivée au Japon...Puis vers le milieu de l'histoire je me suis peu à peu lassée car il faut l'avouer il ne se passe pas grand chose et ce qui va se passer est quand même assez prévisible.

Je lui ai quand même mis 3 pour l'écriture. Je me pose quelques questions quant à la traduction, certains mots ou expressions me paraissaient un peu "lourdes" mais c'est peut-être pour mieux retranscrire l'esprit du XVIème siècle ?

Je ressors un peu mitigée de cette lecture mais peut-être mes attentes étaient-elles un peu trop grandes !

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Et vers la neuvième heure, Jésus s'écria d'une voix forte: Éli, Éli, lama sabachthani? c'est-à-dire: Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné?"

Je trouve intéressante la façon dont l'auteur fait ressentir la solitude de Sébastien Rodrigues, prêtre missionnaire, face au silence de Dieu.

La mer, les montagnes, les forêts, tout est souvent sombre, noir, silencieux. C'était une agréable lecture qui me donne envie de découvrir d'autres romans de Shūsaku Endō.
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Méditation sur la foi et le reniement dans le Japon du 16ème siècle pour des missionnaires catholiques pourchassés par le pouvoir. Ce livre à vrai dire peu passionnant pose toutefois le problème de l'extrémisme religieux : ne peut on être un bon croyant qu'en acceptant le martyre, le sien mais aussi celui des autres, le reniement est il, même obtenu sous la torture, la fin de la foi. Dieu demande t'il aux croyants d'être surhumains. Vastes dilemmes posés au long d'un récit linéaire et sans beaucoup de saveur.
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« Silence » est un roman que j'ai trouvé extrêmement intéressant sur le plan historique. En effet, il est question dans le récit du voyage (ou disons plutôt de l'intrusion) de trois jeunes missionnaires catholiques au Japon au début du 17ème siècle. C'est une époque absolument passionnante du point de vue de l'histoire des religions car le Japon se ferme alors au catholicisme de façon très virulente. l'intrusion de jeunes prêtres sur le sol japonais devient une question de vie ou de mort. Il est aussi intéressant de voir ce que l'homme est prêt à accomplir afin de transmettre la parole divine (en l'occurrence aux japonais). Je ne crois pas me tromper en disant que ce récit est tiré de l'histoire de jeunes prêtres qui furent effectivement envoyés convertir la population japonaise à cette époque. En tout cas, c'est une lecture intéressante et instructive que je recommande chaudement à ceux qui s'intéressent à l'histoire du Japon ou à l'histoire de la Christianisation!
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Rien ne me vient alors qu'il s'agit de traduire ma lecture en mots. Quels sentiments, quels ressentis, quel parcours de lecture ai-je eus ? Qu'est-ce que Shusakû Endô a fait de moi, pendant ces 300 pages de Silence ? Rien ne me vient, si ce n'est ce bourdonnement du silence, et le poids d'un livre qui m'a littéralement embarquée, à bord des jonques du 17e siècle, dans son périple autour de la foi. Je suis trois, puis deux, puis un père jésuite, à la recherche de celui qui, peut-être, qui sait vraiment, aurait abandonné volontairement sa foi en terre japonaise. Pour qui ? Pour quoi ? Comment cela peut-il être possible ?

Pour qui et pour quoi sont effectivement les questions qui donnent voix au silence. Silence est certes une aventure autour de la foi, mais également autour du doute qu'elle peut provoquer quand les tremblements de la vie se font sentir. La torture des uns pour l'apostasie des autres est-elle l'unique voie ?

La magnifique poésie de Shusakû Endô ne suffit pas à briser le silence que provoque le doute qui assaille celui qui vit de croyances. Ici, le silence est questions. Qui est fort et qui est faible face à la foi ? Comment perpétuer les paroles et les actes que Jésus a eus face à Pierre, à Judas, et aux autres ? « Ce que tu as décidé de faire, fais-le vite ». Que voulait dire le Christ et quelles étaient ses intentions en prononçant ses mots ? A-t-il, lui aussi, été en proie à l'incertitude ? [ suite de la chronique sur www.startingbooks.com
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