Sidgil - Le réveil des dieux, tome 1 : Mystikà

[SERVICE PRESSE].
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Sidgil : le réveil des Dieux #1 de Nat Se Evans.
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Je remercie infiniment l𠆚uteur pour ce service presse.
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Mon résumé :.
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Déposée à l’hôpital par un inconnu, une jeune femme se réveille d’un long coma. Amnésique, elle ignore jusqu’à son prénom. Lorsque Marc, son mari et père de leurs enfants, vient la récupérer, elle le suit malgré elle. Mais bientôt, l’homme se révèle être irascible et dangereux. Obligée de fuir, poursuivie, elle va aller de rencontres en découvertes. Mais qui est-elle vraiment ?.
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‘𠆞lle’’ se réveille à l’hôpital et malgré les soins et les attentions du médecin qui la soigne, la jeune femme ne se souvient de rien. Un peu perdue, elle s�roche à lui jusqu’à ce que son mari vienne la récupérer. Elle le suit dans sa belle villa mais comprend rapidement que quelque chose cloche. Il est taciturne, arrogant et l𠆚ttraction sexuelle qui naît entre eux est malsaine et violente. Marc se révèle être un être abject, et investit d’une mission : decouvrir qui elle est, et si possible, l𠆞nfanter. Poursuivie par des Dieux, aidée par des Demi-Dieux, la jeune femme sème la mort partout où elle passe.
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Mon résumé final :.
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Aïe aïe aïe ! Quel roman de folie !.
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Nous découvrons une jeune femme aguarde, perdue et dont la mémoire effacée lui pèse. Qui est-elle ? D’où vient-elle ? Personne ne le sait. La seule chose qui est certaine, c𠆞st qu’être à son contact décuple les envies sexuelles et fait exploser la libido des hommes. Et ce n𠆞st pas Marc, son faux-mari, qui dira le contraire. Ce Dieu puissant, se retrouve complètement changé à son contact. Même lorsqu’il découvre ‘’la marque’’ de sa proie, il ne faiblit pas. Faire ses rapports à Kyros, binôme sanguinaire et sans pitié, devient difficile. Les rencontres de Sidgil, puisqu𠆞lle s𠆚ppelle ainsi, lui permettent d𠆞n savoir un peu plus sur elle et sa condition, mais rien qui ne lui permette de tout comprendre avec exactitude.
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Si le début m𠆚 paru un peu brouillon, non pas par l’écriture mais par la mise en place assez lente de l'histoire, tout fini par s𠆞nvoler quand Marc récupère sa ‘�mme’’. Et là... Oh mon dieu, j𠆚i dévoré ce roman.
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L’écriture de l𠆚uteur est vraiment agréable, précise, addictive et surtout, pleine d’humour. Les interactions entre Marc et Kyros m’ont enchantées, j𠆚i adoré Tara-Noah et j𠆚i apprécié la gentillesse et la douceur de Melvin. Les scènes entre Marc-Kyros et Sidgil m’ont franchement comblées ! La méchanceté, la haine, la noirceur ont transpirées des mots utilisés par l𠆚uteur et c’était absolument divin ! Les informations nous sont données au compte goutte et nous tiennent en haleine, nous faisant espérer, ressentir. le langage familier est immersif et m𠆚 permis de vivre pleinement les actions.
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Je ne peux que vous recommander de découvrir cet univers mystique et agréable, surtout si la mythologie et les légendes de Bretagne vous passionnent.

Comme beaucoup de monde, j'aime les jolis livres. J'aime ces beaux objets soignés dont on aime toucher la couverture, sentir les pages, ce poids du bonheur à vivre pendant quelques heures au creux de la main.

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Comme beaucoup de monde, je suis sensible aux efforts de finition et de mise en valeur que les professionnels de l'édition savent si bien mener pour nous séduire.

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Comme beaucoup de monde, je suis souvent déçu. Parce que le talent investi dans la promotion de ces livres est souvent supérieur au talent investi dans leur écriture. Parce que le marché du livre se fonde davantage sur le bénéfice financier espéré que sur la valeur intrinsèque du récit. Parce que force est de reconnaître qu'on vend mieux un nom qu'un récit.

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J'ai testé le dernier Slimani, le dernier Jugnot, le dernier Musso. Leur point commun ? On me les avait bien vendus, et leur célébrité leur ouvrait plateaux télés et émissions de radio, me donnant envie de découvrir ces trésors ainsi exposés sur de tels piédestaux.

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Mais voilà : j'ai découvert des récits au final plutôt insipides, le tout écrit dans un style sans aspérités. Des histoires lues poussivement et oubliées sitôt le livre refermé.

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Pourtant, à côté de ces poids lourds des librairies, des milliers de livres anonymes attendent de bouleverser leurs lecteurs, de les accrocher, de les entraîner dans leur fièvre, leur folie ou leur poésie. C'est là le cruel sort des auteurs indépendants, ces autoédités qui ne sont rien mais sont pourtant tellement plus que bien des best-sellers survendus.

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C'est l'un de ces livres invisibles que je veux aujourd'hui vous présenter : "Mystika — le réveil des dieux — Tome 1 — Sidgil", de Nat S. Evans - auteur. Lorsque j'ai connu son autrice, elle en était en pleine réflexion sur l'écriture de ce premier roman. Inexpérimentée mais autodidacte frénétique, elle était avide de tout comprendre, de tout maîtriser. Et elle est allée au bout de son projet, à force de travail et de détermination. Seule ou presque, elle a écrit, trouvé des bêta-lecteurs, s'est auto-formée sur l'écriture, la correction, le graphisme, l'édition, la vente, le marketing, et elle l'a fait. Bien évidemment, il y a des maladresses qu'on ne trouverait pas dans un roman édité par une maison d'édition prestigieuse, mais elle nous livre là un récit qu'on ne trouve pas non plus chez ces éditeurs de renom qui préfèrent vendre des noms plutôt que de porter des textes.

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Son récit est original, construit avec rigueur et intelligence, et le tout est à la fois palpitant et déconcertant. Les premières pages semblent nous conduire dans l'un de ces récits distrayants et faciles, alliant action et suspense, mais le premier mouvement du thriller policier laisse rapidement la place à une romance étrange empruntant autant à une novela outrée qu'à un roman de la collection Harlequin, puis c'est la tension dramatique qui revient en force, doublée d'une montée du fantastique. Enfin, alors qu'on commence seulement à prendre ses marques, à projeter quelques hypothèses, la mythologie, le merveilleux, la fantasy, l'horreur et l'action explosent en un cocktail détonnant et addictif qui nous laisse frustrés aux portes du tome 2, que j'attends à présent avec impatience.

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Vous cherchez un livre que vous n'avez jamais lu ? Tentez donc celui-ci : vous récompenserez une autrice méritante pour un travail remarquable, et vous vous offrirez sans conteste un pur dépaysement !

Un grand moment de trouble littéraire pour moi, comme j'en ai rarement connu et je tiens à remercier Nat S. Evans pour ce SP via la plateforme Simplement Pro.

Voilà un roman ô combien déconcertant à plus d'un titre. Je m'attendais à un récit fantasy, fantastique avec un soupçon de magie. de ce côté, les promesses sont tenues ou presque.

L'intrigue a lieu à notre époque, au moment où Sidgil, qui ignore encore tout de son identité, se réveille amnésique dans un hôpital après une longue période de coma. Dans le même temps, elle apprend qu'elle a un mari, des enfants dont elle n'a aucun souvenir.
A partir de cet instant, Sidgil doit partir à la reconquête de sa vie, de sa mémoire, afin de découvrir qui elle est vraiment. Et ses alliés vont s'avérer plus inattendus les uns que les autres. Quant à ceux qui la poursuivent, intrigués ou carrément apeurés par ses pouvoirs, ils sont terrifiants et sanguinaires à souhait.

Un élément que je souhaite absolument saluer, est la plume riche et fluide de l'auteur. Issue d'un Baccalauréat Littéraire, je suis particulièrement sensible aux belles tournures de phrases, aux images soignées et recherchées. Les dialogues sont dynamiques et enlevés, criants de naturel. On se représente bien les scènes entre Sidgil et Noah, par exemple. C'est très agréable, en tant que lectrice, d'avoir la sensation de faire partie du décor, de l'action.

La plupart des scènes, avec Kyros surtout, sont bien élaborées et décrites. Elles font mouche à chaque fois et véhiculent bien les émotions que l'auteur veut nous transmettre. C'est presque épique, par moment.

Les changements de points de vue, enfin, permettent de relancer le récit, de lui donner du peps.

Pour autant, j'ai eu des difficultés à m'immerger totalement dans l'histoire. Peut-être est-ce lié à la construction décousue. En tout cas, j'ai eu le sentiment que certaines actions arrivaient un peu vite, un peu à brûle-pourpoint. Je fais partie de ces lecteurs qui ont besoin d'être guidés, de comprendre où ils mettent les pieds, ce qui n' a pas toujours été le cas ici.

Néanmoins, ce roman, de par son côté insolite et la richesse de son univers, mérite qu'on s'y attarde. Car le haut niveau d'écriture de l'auteur promet de très belles choses pour l'avenir. A suivre, donc, avec intérêt.

Bonjour, lecteurs voyageurs,

Un tout nouveau service presse pour vous et sans doute le dernier pendant quelques temps. Un petit turner Page (pas sûr que ça s'écrit comme ça... Mais on va dire que oui !).

Résumé : Lorsque je me suis réveillée, amnésique, dans une chambre d'hôpital parisien, je n'imaginais pas, quelques semaines plus tard découvrir que j'avais une vie de famille. Marc est divinement séduisant et nous vivons dans une belle maison du sud de la France. Mais quand l'un de ses amis décide que je dois mourir, retrouver la mémoire devient une nécessité absolue. Surtout, lorsque Marc n'est pas celui qu'il prétend. La réalité bascule peu à peu vers un monde peuplé de créatures, de dieux et de métamorphes. Je dois fuir…

Je termine cette activité avec un texte coup de coeur, que je suis depuis un petit moment. Sidgil, livre 1, le réveil des Dieux : Mystikà, écrit par Nat S. Evans, est un roman que j'ai commencé à lire en bêta-lecture, il y a un peu plus d'un an (mémoire de poison rouge). J'ai pu, aussi, lire le tome deux qui devrait sortir cette année ( mais on en parlera plus tard). C'est un récit particulier et d'une originalité peu commune, mais surtout des phrases, des émotions et des mots qui s'emboîtent à la perfection.

J'avoue tout, je suis jaloux du pouvoir d'écriture que possède l'artiste.

On plonge dans des descriptions tellement bien structuré, avec du vocabulaire si précis qu'on finit par caresser les maquis et sentir la mer, le sable chaud, le baiser de l'été et ses chaleurs étouffantes.

Mais pas seulement !

Je n'ai pas lu des mots, des phrases, je me suis enfoncé dans un passé qui n'était pas le mien. J'ai ressenti chaque interprète de cette fascinante histoire. Je ressors de cette lecture avec la certitude que Sidgil vit quelque part dans le sud de la France et qu'elle cherche son identité, qu'elle cherche ce qu'elle est, sa fonctionnalité dans l'univers où on l'a posée.

Avec cette deuxième lecture, j'ai pu apercevoir des subtilités, j'ai compris que dès le début, l'auteur nous révèle les pouvoirs de Sidgil et finalement son rôle. On apprend que pour elle s'est un perpétuel recommencement.

Il est vrai qu'à ma toute première lecture, je trouvais Sid, très naïve, très sexualisé, sans vraiment comprendre pourquoi elle désirait les hommes avec qui elle traînait. J'ai une réponse à tous ces moments "érotiques", un poil violent et très imagés. Sid n'est pas la fille facile que j'avais imaginé. Elle est une entité, un être particulier et puissant qui se reconstruit et qui va haut-de-là de son passé, de son trajet. On comprend qu'elle est venu plus d'une fois dans notre monde, mais qu'elle échouait à chaque fois. Là, tout bascule, elle va plus loin, on a dessiné un autre parcours pour elle.

Au cours de ce premier tome, elle va rencontrer successivement des hommes aux moeurs peu équilibrées et d'autres qu'elle devait trouver sur sa route pour avancer vers sa destinée.

L'action est partout, dans chaque paragraphe, chaque chapitre et les personnages valent le détour. Chacun a sa propre voix. Entre Marc, l'homme d'affaires indifférent, Kyros le fou dangereux et manipulateur, Melvin le gars un peu paumé mais affectueux, Noah l'inquiet, on a du choix. Et pas seulement eux. C'est un vaste réseau de personnages avec des caractéristiques de malade ! Les principaux comme les secondaires sont marquants. Et je vous avoue, que je me demande toujours qui est "Blue vogel". Ouais, le prologue me laisse songeur, peut-être l'oublierez-vous quand débutera l'histoire saississante de Sidgil.

C'est un roman qui mélange mythologie, légendes, créatures de tout genre, la tension, la noirceur des hommes ( ou bien des Dieux) et la beauté de la nature, car oui, il y a une onde faite à Mère nature entre ces lignes.

Je ne veux pas trop m'étaler pour éviter de spoiler. C'est tout à fait mon genre. Je jacasse, je jacasse et "Bam", je vous pourris la fin. D'ailleurs, vous avez le début du tome 2 à la toute fin de l'ouvrage. Pour saliver un peu avant la sortie.

Pour finir et ne pas vous faire lire un parpaing, je vous conseille fortement la lecture de cette saga. Il y en aura trois, selon mes sources. Elle vaut le coup. Comme on dit dans le sud : "elle tabasse".
Lien : https://lechatture.over-blog..

Alors, au début ce livre peu paraitre déroutant. En tout cas, il l'a été pour moi par sa construction atypique. Je suis habituée au changement de chapitres pouvant apporter un différent point de vue. Ici, on vogue sur plusieurs points de vue dans un même chapitre (il y a quand même des séparations). Cela dit, c'est fait avec intelligence. Rien qu'avec des mots, des tournures de phrases, pas une seule fois, je me suis sentie perdue. En quelques lignes, je savais dans la tête de qui j'étais et c'est impressionnant.

Et c'est un des points forts de ce livre. Les tournures sont belles, le style est fluide, mais travaillé. Les descriptions interpellent tous nos sens, elles ont une odeur, une texture et un visuel. le vocabulaire est riche, les comparaisons parlantes. Bref, niveau style d'écriture, rien à dire.

Pour ce qui est de l'intrigue. J'ai été perdue dans une toute petite phase, mais elle a vite trouvé une explication donc ce n'est pas plus perturbant que cela. J'ai vraiment apprécié le fait de commencer (ou presque) l'histoire avec Sidgil, cette amnésique qui se réveille à l'hôpital sans souvenirs, ni famille. On évolue et cherche à comprendre avec elle, ce qui donne un côté immersif à l'expérience. Plus on avance, plus on se pose des questions, plus on veut savoir et ça pousse à continuer la lecture malgré l'heure qui défile. L'intrigue est bien menée.

En fait, pour donner un ordre d'idée : je déteste quand une relation entre deux persos se déroule vite. Trop vite. C'est un truc qui me fait lâcher un livre dans la seconde. Là, sans trop entrer dans les détails, c'est le cas. Sauf que, le style d'écriture fait qu'on comprend que ce n'est pas naturel, qu'il y a un truc, sans forcément réussir à mettre le doigt dessus. Et voilà comment un élément que je n'aime pas est devenu une interrogation avec l'envie de savoir.

En bref, une très bonne lecture pour ma part. On plonge dans la mythologie avec des interrogations plein la tête. On fait des théories, on comprend qu'elles sont fausses et on en fait d'autres. Il y a des indices un peu partout, mais il faut être capable de les trouver. Et j'ai adoré ça. Les personnages sont tous intéressants, chacun à leur manière. On voit Sidgil évoluer selon ses rencontres, ses expériences et le monde dans lequel elle plonge. En clair, une lecture agréable qui se laisse suivre et a su m'embarquer.