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BRZRKR tome 1 sur 2

Ron Garney (Autre)Keanu Reeves (Autre)Matt Kindt (Autre)
EAN : 9782413045144
144 pages
Delcourt (15/03/2023)
3.81/5   62 notes
Résumé :
L'homme connu uniquement sous le nom de B est un guerrier immortel. Il est sujet à des accès d'ultraviolence... au détriment de sa raison. Après des siècles d'errance, B a accepté de travailler pour le gouvernement américain en prenant part à des missions trop dangereuses pour des mortels. En échange, B espère obtenir la vérité sur les origines de son existence... et surtout comment y mettre fin !
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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C'est l'acteur désigné comme le plus cool du monde qui a écrit cette BD pour la première fois. Il s'agit de Keanu Reeves connu pour son rôle dans « Matrix » ou encore « John Wick ». J'ai grandi en voyant l'ensemble de ces films. C'est donc par curiosité que je me suis attaché à lire ce comics. Il faut dire que le titre qui ne veut rien dire n'était guère inspirant.

Bon, c'est vrai que Keanu n'est pas seul au scénario car il s'est fait aidé par le célèbre Matt Kindt qu'on ne présente plus. Dans cette BD, il se met en scène dans une période digne de Conan le Barbare. Il incarne un homme semi-Dieu quasiment indestructible et surtout qui ne peut pas mourir.

C'est plutôt pratique lorsqu'on veut défendre un village attaqué par une horde de tributs violentes. En réalité, notre héros est une arme qui d'ailleurs va se mettre au service des États-Unis quelques 80000 ans plus tard.

Bon, cette aide inespéré n'est pas totalement désintéressé car notre héros souhaite connaître ses origines ce qui ne va pas se révéler être une mince affaire. Il le dit : « Je ne veux pas mourir ; je veux juste pouvoir mourir ». Bref, redevenir mortel quand beaucoup rêvent de l'immortalité.

Je préfère prévenir et le dire tout net : c'est d'une violence sans nom à la façon John Wick mais sans doute ne pire. Les visages des ennemis seront écrabouillés et cela sera très répétitif comme un film bourrin. Bref, c'est un genre qui est totalement boudé par les intellectuels qui n'y trouveront pas leur compte. Moi, je dis qu'il faut de tout pour faire un monde. A chacun de trouver son plaisir.

Objectivement, j'ai bien aimé grâce à une réalisation impeccable. Ce n'était pas aussi évident car je ne suis pas un grand adepte de la violence âpre et sans concession. Mais bon, « Kill Bill » fait partie de mes films préférés grâce à autre chose qu'il y a dedans.

Le dessin de Ron Garney reste assez classique dans la plus pure tradition du comics avec une colorisation assez sobre. A noter tout de même une édition soignée avec une interview du célèbre acteur en fin d'album. Il s'est véritablement impliqué dans ce processus de création.

Au final, âme sensible s'abstenir. Les fans de Keanu pourront jeter un coup d'oeil. Pour moi, le plus réussi reste de ne jamais perdre le lecteur en cours de route. Et c'est bien le cas !
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Divertissement bas du front, ou mlatraitance
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Ce tome est le premier d'une série indépendante de toute autre. Il regroupe les épisodes 1 à 5, initialement parus en 2021, écrits par Keanu Reeves & Matt Kindt, dessinés et encrés par Ron Garney, avec une mise en couleurs de Bill Crabtree. le concept a été créé par Reeves. le numéro 1 a disposé de plus d'une vingtaine de couvertures variantes à lui tout seul. le design des personnages a été réalisé conjointement par Garney & Rafael Grampá. C'est ce dernier qui a réalisé les couvertures principales de chaque épisode.

Un homme d'une forte carrure est assis sur un banc dans la rue, sous la pluie, immobile. Une voiture arrive et s'arrête à son niveau. Il entend une phrase : il est temps. B est dans un avion militaire, l'air sombre. Il est en train d'entourer ses mains avec une bande, comme les lutteurs. le responsable de l'unité lui demande comment il se sent. Prêt, est sa réponse. L'autre lui indique d'attendre le signal : B se lève et s'élance par le sas ouvert, ses yeux étant devenu brillant, bleu électrique. Les autres lui emboîtent le pas, mais en descendant avec des cordages. Dans le même temps, une voix désincarnée remarque à quel point le temps est une chose étrange. Puis elle fait observer à B que c'est une date anniversaire : voilà un an qu'ils travaillent ensemble. B a touché terre et le carnage a commencé : il tient un pistolet dans chaque main et une douzaine de personnes sont déjà terre, morts. Les autres soldats prennent pied sur le toit derrière lui. Il y a quelques morceaux de matière cervicale ensanglantée sur les bandes de B. il se débarrasse de son harnais et s'avance, s'engageant le premier dans l'escalier qui descend dans les étages.

Après quelques volées de marches, B arrive devant un soldat ennemi qui tient son pistolet devant lui. Il tire à bout portant en pleine poitrine de B qui se jette sur lui. B lui écrase les mains, lui arrache son flingue et lui enfonce son poing dans le visage, brisant le crâne. En décalé, la psychologue Diana Ahuja déclare à B qu'elle estime qu'ils ont fait de grands progrès, qu'ils ont réussi à établir des connexions, et B lui répond que les connexions ne se terminent pas bien avec lui. B continue de progresser : il vient de pénétrer dans le bureau présidentiel et il se met à massacrer tous les gardes présents, un par un, en commençant par casser une mâchoire inférieure dont l'os est projeté hors de la chair. Puis il fracasse le crâne d'un autre sous sa botte, et il enfonce sa main dans le ventre d'un troisième qui vient de lui tirer dessus. Une fois cette mission terminée, le responsable de l'unité donne ses médicaments à B. Une fois revenu à la base, B est allongé sur une table d'examen, avec de nombreux appareillages de monitoring reliés à son corps : cartographie biométrique, analyse de la régénération, évolution des circuits neuraux, activité cérébrale, observation des phénomènes quantiques. Dans son bureau, Stephen Caldwell, le responsable du service, consulte toutes ces données en temps réel. Une fois pleinement régénéré, B se rend à son nouveau rendez-vous avec la psychologue Diana Ahuja.

Les débuts de cette histoire prévue en 12 épisodes ont généré de nombreux commentaires pour différentes raisons. Pour commencer, l'éditeur Boom Studios a fortement communiqué sur le fait que l'histoire soit imaginée et coécrite par l'acteur Keanu Reeves, l'industrie des comics étant toujours friande de légitimité apportée par la caution de l'industrie du cinéma dont les budgets et les bénéfices sont sans commune mesure avec ceux des bandes dessinées. Ensuite, l'artiste prévu Alessandro Vitti a été remplacé au pied levé sur ce projet très médiatisé, sans raison rendue publique. Enfin, le premier épisode compte 46 pages dont 24 consacrées à un long combat brutal et sanglant, gore et une véritable boucherie. Certains lecteurs ont trouvé ce début écoeurant et superficiel, une forme de divertissement au ras des pâquerettes. D'un autre côté, Ron Garney est fortement investi dans cette longue séquence. En découvrant la couverture, le lecteur peut avoir l'impression d'une forte influence de John Romita junior. Il constate qu'elle est signée et qu'elle est l'oeuvre de Grampá, pas de Garney. Cette influence s'estompe progressivement dans les couvertures suivantes. Effectivement, le dessinateur a fort à faire dans ce premier épisode pour faire passer la brutalité du massacre perpétré par B qui fonce dans le tas, ne craint aucune blessure, et se salit les mains du début jusqu'à la fin. Lorsque B saute de l'hélicoptère, cela donne lieu à un dessin en pleine page en contreplongée comme si le guerrier allait atterrir en plein sur le lecteur situé en contrebas. S'il connait déjà ce dessinateur, il reconnaît son usage des aplats de noir copieux aux formes irrégulières, et il se rend compte que la référence qui lui vient à l'esprit est passée de John Romita junior à Frank Miller, mais sans aller jusqu'à Sin City.

Indépendamment des influences patentes ou non et des conditions de réalisation de ces épisodes, le lecteur constate que Ron Garney a dû disposer d'un temps raisonnable car il réalise une narration visuelle qui en met plein la tête, du début à la fin sans baisse de régime. Ce combat initial est une boucherie, voulue comme telle par les scénaristes, et l'artiste ne fait pas les choses à moitié. Poing transperçant un crane, oeil projeté hors de son orbite, cervelle qui gicle, projection de sang, mâchoire arrachée, bras arraché, nez cassé, peau brûlée, chair éventrée : âme sensible s'abstenir. le lecteur peut juger une telle séquence racoleuse ou immonde, mais le dessinateur effectue une mise en images remarquable. Il sait jouer des aplats de noir, de leur forme, du degré d'imprécision dans la représentation de la chair et de la matière cervicale, en laissant le coloriste donner l'impression de chairs plus ou moins ensanglantées. L'esprit du lecteur fait le reste, et de simples tâches de noir dans une case deviennent un corps détruit, massacré. Par la suite, l'aptitude au massacre de B continue d'être mise en scène, ainsi que nouvelles blessures et morts atroces : enfant se brûlant un bras dans un feu de camp, torse de cheval ouvert en deux par un coup de hache d'une violence inouïe, fracasse de crâne, torse humain éventré à la hache, coup broyé jusqu'à en séparer la tête du corps, monceaux de cadavres ensanglantés, dans une ambiance à la Conan quand la jeunesse de B est évoquée. On peut ne pas aimer le genre, mais force est de reconnaître l'habilité de l'artiste, son sens du dosage, et la complémentarité du coloriste.

Ce long combat en ouverture est donc un morceau de bravoure narrative, et une déclaration d'intention quant au niveau de violence du récit. Ce n'est pas une promesse mensongère et le massacre continue dans les épisodes suivants. Heureusement pour lui, Garney n'a pas que ça à dessiner. le reste du récit se divise en deux lignes temporelles : le présent et 79.000 ans dans le passé. Il se dégage une âpreté singulière dans chaque page. L'artiste impressionne par sa capacité à naviguer entre un niveau descriptif précis, et des formes plus génériques en fonction des besoins. le laboratoire dans lequel le corps de B est examiné sous toutes les coutures associe ces deux niveaux de dessins, pour des décors et des tenues consistantes et évocatrices. Il en va de même pour l'époque préhistorique, avec des décors naturels, une civilisation primitive, des tenues et des accessoires cohérents. le lecteur sait bien qu'il est dans un récit de genre, et il ne s'attend pas à ce que l'artiste effectue une reconstitution savante et fiable, mais à ce qu'il propose un ensemble cohérent sur la base de conventions et de raccourcis acceptables. C'est ce que fait très bien Ron Garney, remarquable en tout point dans ces épisodes.

Il est donc possible que le lecteur éprouve un haut-le-coeur durant le premier épisode et décide d'arrêter là. Il est possible également qu'il reconnaisse ce premier épisode comme de la violence mise en scène sous forme de divertissement, et qu'il apprécie l'investissement des auteurs pour créer des pages avec un minimum d'inventivité et une narration visuelle on ne peut plus percutante. L'intrigue apparaît progressivement : B est né il y a 79.000 ans (environ), fruit de l'amour de sa mère avec une divinité. Il prend un véritable plaisir dans le massacre, pas juste dans le combat. Il se remémore progressivement cette époque au cours des séances avec Diana Ahuja. Il y a vraisemblablement Stephen Caldwell, le directeur, qui a ses propres objectifs pour militariser ou tirer profit des résultats des analyses faites sur le métabolisme de B. Et c'est tout, on peut passer au tome 2. de ce point de vue-là, c'est un récit de violence exacerbée et voyeuriste, assez malsain. Il est aussi possible de regarder cette histoire du point de vue de B. du fait de sa croissance accélérée, il n'a pas eu d'enfance normale, et son père en a tout de suite fait un combattant, mettant à profit sa force et sa rage, pour annihiler tous les clans alentour. Avec l'avènement de la médecine et des technologies d'analyse médicale, il est devenu un objet d'examen depuis des décennies. Enfin B éprouve une forme de dégoût de lui-même car il a conscience de sa rage inextinguible lors des combats, la seule activité qu'il maîtrise. Il y a là une forme de destin tragique, mais aussi d'enfance volée, d'enfant endoctriné par son père, d'individu n'ayant de valeur que par les vies humaines qu'il massacre, et de mal de vivre.

Ce premier tome (sur 3 prévus) met mal à l'aise d'entrée de jeu par une longue séquence de combat qui n'est qu'un massacre perpétré par B sur des individus n'ayant aucune chance d'en réchapper. le lecteur se retrouve vite impressionné par la qualité de la narration visuelle, violente comme exigée, entre description sans prendre de gants, et dessins évocateurs tout en suggestion. Il hésite entre ne considérer ce récit qu'au premier degré ou faire le pari que la suite montrera qu'il y a plus à y trouver.
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Club N°52 : Comics non sélectionné mais acheté sur le budget classique
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Du gore et de l'ultra-violence, c'est jouissif !

Hâte de lire la suite.

Mörx
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Bonne introduction qui donne envie de connaitre la suite.

Attention, très explicite dans la violence (au niveau de Geof Darrow !).

Gilles
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Une BD qui surf sur la hype Keanu Reeves et des (très bon) John Wick.

Pour le scénario ça lorgne sur Highlander et le dessin vers John Romita Jr.

Pour un one shot ça passe mais pour durée il faudrait étoffer l'histoire et les personnages.

Yann
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Scenario moyennement captivant, dessin moyennement captivant, violence et rythme... moyennement captivant.

Bref, c'est moyen de bout en bout.

Je suppose que le nom de Reeves le vendra par palette et son enthousiasme dans l'entretien de fin de volume montre quelqu'un de passionné mais je trouve qu'hormis l'introduction, c'est peu original.

Une note moyenne pour un attrait moyen, ça sera le mot du jour.

Greg
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Lien : https://mediatheque.lannion...
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Attention, avec BRZRKR, vous aurez votre dose d'hémoglobine pour les 10 000 prochaines années ! D'une violence graphique à couper le souffle et à donner des nausées, cette bande dessinée est une ode à la dégradation de personnes et de bien publics comme privés. C'est riche, divertissant mais un poil trop classique. Au scénario, Matt Kindt et... Keanu Reeves. Quel énorme plaisir d'avoir dans le monde de la BD le chouchou de toute la communauté geek depuis plus d'une décennie !

Disons-le nous d'emblée, BRZRKR est taillé par et pour Keanu Reeves : B., le personnage principal est le portrait craché de notre acteur. D'ailleurs, la BD s'ouvre sur un Sad Keanu retravaillé : un homme assis sur un banc sous la pluie battante attendant la mort. le personnage incarne l'esprit des personnages de Reeves depuis quelques années. B. est un être mi-humain mi-dieu, immortel et doué de pouvoirs de régénération. Il revient à la vie, dans son corps quelques soient les coups et les tirs qu'on lui donne. Cela rappelle presque la quasi immortalité de John Wick et, encore plus méta, la carrière de Reeves ! Blasé par une vie longue et violente de 80 000 ans, B. cherche à mourir.

C'est assez classique : le personnage court derrière un idéal qu'il ne peut atteindre et, miracle ! Une solution s'offre à lui mais il doit donner quelque chose en échange. En l'occurrence, il s'agit de remplir des Opérations spéciales pour le compte du gouvernement des États-Unis. La base ! C'est dans le chapitre 2 que les choses deviennent plus intéressantes. On y découvre le passé de B. : sa naissance magique durant la Préhistoire, les conflits territoriaux entre villages, l'utilisation que sa tribu fait de lui. J'ai beaucoup aimé l'intensité des liens entre les personnages, notamment entre B. et sa mère. le mélange des deux genres excite particulièrement ma curiosité et m'a rappelé The Man from Earth, un film de 2007 avec une histoire similaire, sans sa violence excessive peut-être.

Rien à signaler au dessin, Ron Garney fait un travail net, sanglant et inspiré : on retrouve des références à des classiques de la peinture, du cinéma et des comics. On a de belles planches et une somptueuse double page.

Je le recommande à un public très averti et peu sensible à l'extrême violence et le gore. Si vous rentrez dans cette catégorie, c'est un bon divertissement.
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Un comics de Keanu Reaves dont le personnage principal est... Keanu Reaves ? Et qui fait du Keanu Reaves... Vous avez compris, ne cherchez pas un récit d'auteur, mais plutôt un gros blockbuster décontracté.

On va suivre un immortel, qui vit depuis des milliers d'années et qui ne connait que la guerre. Il ne veut pas mourir mais aimerait être mortel, le gouvernement américain pour qui il travaille lui promet qu'en échange de ses bons et loyaux services, l'aidera à trouver un traitement pour lutter contre son immortalité. Mais quand vous avez à vos ordre un soldat parfait qui ne peut pas mourir, avez vous envie de le perdre ?

Un premier tome sympathique qui n'est au final pas tant que ça porté sur l'action (même si elle est très présente notamment par des flashbacks), mais d'autant plus sur la "psychologie" du personnage, la recherche de ses origines, de ses souvenirs...

Wolverine étant un de mes personnages préféré (bah ouais regarde ma miniature...) je ne peux m'empêcher de voir des ressemblance, un homme immortel qui ne se souvient pas de ses origines et qui à vécu de nombreuses guerres à travers les époques.

Un premier tome efficace, petit point négatif pour les dessins qui ne sont pas mauvais mais qui ne correspondent pas forcément à ce genre de récit, notamment pour les scènes d'action qui font un peu trop "figées".
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critiques presse (6)
BoDoi
09 mai 2023
Mais on ne va pas se mentir, BRZRKR tient moins à sa profondeur thématique qu’au charisme brut de son personnage principal, qui n’est pas sans rappeler, y compris physiquement, une autre machine de guerre quasi-mutique : John Wick.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Bedeo
14 avril 2023
BD d’action avant tout, BRZRKR introduit cependant une relative sagesse dans ce débordement de sang et de combats, rappelant que Keanu Reeves choisit des projets qui lui tiennent à cœur, et de toute série B ou Z il sait ramener une pensée et un projet.
Lire la critique sur le site : Bedeo
LeMonde
27 mars 2023
Mais cette Grosse Bertha de la BD, best-seller du comics aux Etats-Unis et dégainé en vue d’une adaptation sur écran, manque toutefois d’originalité comme d’approfondissements
Lire la critique sur le site : LeMonde
Sceneario
21 mars 2023
On parle beaucoup de BRZRKR en ce moment, principalement parce qu'il s'agit du premier projet comics de la star d'Hollywood, Keanu Reeves. En effet, l'acteur a participé à la conception de cette série, la création de ce personnage immortel qui se laisse gagner par des excès de rage destructrice qu'il ne peut calmer qu'en buvant le sang de ses victimes.
Lire la critique sur le site : Sceneario
LesComics
20 mars 2023
Bref, sous ses airs de nanar BRZRKR tome 1 est un récit pop-corn agréable, traitant d’un sujet toujours aussi plaisant : l’immortalité.
Lire la critique sur le site : LesComics
ActuaBD
03 mars 2023
On le connaît pour des films emblématiques, moins comme scénariste. Keanu Reeves s’associe à Matt Kindt pour un scénario fantastique, mettant en avant un Berseker de plus de 80 000 ans, œuvrant pour l’armée américaine dans l’espoir que les États-Unis trouvent un remède à son immortalité…
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Je vous l'ai dit, je ne veux pas mourir.

Je veux juste pouvoir mourir.
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Pas de micro, pas de médicaments. Juste moi, et la vérité !
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Je vous l’ai dit, je ne veux pas mourir. Je veux juste pouvoir mourir.
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Vidéo de Ron Garney
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