Tout commence comme dans le conte traditionnel, lorsqu'un modeste ménage tombe dans la misère à mesure que naissent leurs enfants. le père, bucheron de métier, n'arrive plus à assumer toutes ces bouches à nourrir et doit se résoudre à l'insoutenable : abandonner les enfants plutôt que les condamner à mourir de faim. Avec sept marmots au compteur ils n'ont pas d'autre espoir... Mais lorsque la chance leur sourit enfin sauront-ils mettre de côté pour les futures périodes de disette ? Alors que les ogres vivent dans une indécente abondance ils vont bientôt regretter d'avoir rencontré le jeune
Poucet, dont la ruse compense la petite taille. Une version théâtralisée intéressante mais qui ne m'a pas transporté comme celle de Laurent Gutman, "Le petit
poucet (ou du bienfait des balades en forêt )".