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4,11

sur 560 notes
[...] J'ai adoré ce roman pour son ambiance, on se retrouve dans le New York d'après guerre et on a vraiment l'impression d'y être. L'autrice rend son décor très vivant : les vêtements, les coiffures, les odeurs, le temps, la nourriture… tout y est, mais sans jamais avoir de longues descriptions ennuyeuses. C'est par touches délicates que le décor se peint au tour de personnages haut en couleur. Gravidant au tour du jeune Jocelyn fasciné, nous découvrons un groupe de jeunes femmes pétillantes, pleines de vie, de rêves, d'illusions et des désillusions. [...] J'ai adoré le style, plein d'humour, très vif, fluide. Exactement le type de lecture que j'aime. On avance vite, on s'amuse, on est ému, touché. [...]
Lien : http://mapetitemediatheque.f..
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Quel livre pétillant ! J'ai acheté ce livre directement à l'auteure lors d'un salon littéraire, après avoir lu (et adoré Quatre Soeurs). Je me suis plongée dedans plusieurs années après, et c'était avec joie car, bien que le sujet puisse sembler assez banal, les personnages sont très détaillés, drôles et attachants pendant que l'écriture de Malika Ferdjoukh nous embarqué tout en finesse sur fond de swing !
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Absolument rien n'a retenu mon attention dans ce récit dont j'avais pourtant entendu beaucoup de bien. Les références cinématographiques qui m'intriguaient en lisant le résumé se sont finalement révélées ne servir en rien le récit (donc sont très superficielles et sans intérêt), les personnages sont à peine esquissés, sans profondeur, en plus de ne pas susciter la curiosité ni l'intérêt du lecteur. Les actions sont également absentes du récit qui est non seulement sans surprise, mais on pourrait dire sans rien du tout. Il ne se passe pratiquement rien, c'est d'un ennui... Je cherche encore le fil conducteur de ce que je viens de lire.
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Énorme coup de coeur pour ce livre !
Nous suivons, Jocelyn, jeune français de 17 ans, fraichement débarqué à New York après avoir obtenu une bourse pour étudier la musique. Nous sommes en 1948, le jazz résonne, le théâtre et le cinéma sont en ébullition. Jocelyn se retrouve par un quiproquo dans une pension pour filles. Toutes ses filles vivent le rêve américain et tentent de percer dans le monde du spectacle, de la danse ou du théâtre.
L'écriture est de qualité. Il s'agit d'un roman jeunesse, mais je le pense adapté à tout âge. Il y a de nombreuses références à la culture cinématographique et musicale des années 40.
En première page, se trouve une liste des personnages présentée comme une distribution des rôles. J'ai apprécié ce détail qui aide dans la lecture et qui est tellement bien trouvé et en rapport avec l'ambiance du livre.
J'ai hâte de lire le tome 2 dont je guète la sortie avec impatience.
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très cher Brodway limited,

Laisse-moi t'expliquer comment je suis tombée amoureuse de tes lignes. de la douceur de tes mots. de la beauté de ton histoire. J'ai envie de citer Hazel "Je suis tombée amoureuse pendant qu'il lisait, comme on s'endort : d'abord doucement et puis tout d'un coup." En l'occurrence ici c'est moi qui te lisais, et je t'ai tellement aimé...

J'ai aimé ta diversification, tous ces différents points de vue, ces différentes d'histoires, ces différents rêves.. tous ses secrets, ses murmures... J'ai adoré le son que fait le roman, je pourrais le comparer aux albums d'Harry Styles, doux, puissant et émouvant...

J'ai chéri tous tes personnages, Hadley en particulier mais je ne pense pas que tu sois étonné.. tu pourras leur passer le bonjour pour moi s'il te plaît ? Je m'inquiète pour elles, j'espère qu'elles vont bien.

J'ai adoré retrouver ce côté de Broadway, celui qu'on cache et qu'on ne montre pas forcément. On est en 1948 il ne faut pas l'oublier. J'ai tant aimé voir tous ses rêves, cette volonté d'y arriver, et de persévérer quand ça ne marche pas.

Vous m'avez fait tellement rire, je suis sûr que si on ouvre vos pages on peut l'entendre résonner !

Tu me manques énormément j'ai hâte de tourner les pages de ton histoire à nouveau, on se revoit bientôt, avec tout mon amour Loéva ✨
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« Broadway limited T1 » de Malika Ferdjoukh. On entre directement dans l𠆚mbiance cosy et multiculturelle de la pension Giboulée, en 1948 à New York. Ce roman se savoure, j𠆚i mis du temps à le lire, alternant avec d𠆚utres lectures. La plume est incroyable et dépeint parfaitement l’époque que je connais assez peu : ses conventions, le langage utilisé, la mode vestimentaire et ses coutumes. J�ore cette ambiance sur fond de music-hall, de théâtre et de cinéma. J𠆚i mis un peu de temps à rentrer dans l’histoire, mais une fois le rythme trouvé, c𠆞st succulent. On suit les péripéties de toutes les habitantes hautes en couleurs de la pension Giboulée , accompagnées par Jo, un jeune français débarqué à la pension suite à un malentendu. J𠆚i beaucoup apprécié ce roman choral qui retrace une multitude de tranches de vie, qui donnent le sourire, tout en délicatesse, avec le chic et l’élégance de l’époque.
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J'ai adoré l'effervescence qui règne dans cette pension new-yorkaise des années 50! On découvre l'american way of life à travers le regard de Jocelyn le jeune Français qui débarque et que tout émerveille. La maisonnée est remplie de l'énergie des filles et la reconstitution de l'époque particulièrement vivante. Toutes rêvent de devenir les prochaines vedettes de la scène new-yorkaise et le récit regorge d'allusions aux stars qui les éblouissent (Fred Astaire, Marlon Brando, Judy Garland, Gene Kelly...). Immergé dans cette Amérique d'après-guerre en pleine chasse aux communistes à l'approche des élections présidentielles ("l'ère de l'interdiction, du soupçon et de la surveillance"), côtoyant chaque jour (et chaque soir!) le petit monde de Broadway, Jocelyn évolue dans la bonne humeur, chaque matin se levant sur un nouvel étonnement. Lui-même suscite une certaine fascination sur les jeunes femmes ("- Je viens de Paris. - Paree ? Hou là là mais c'est magnifi-queu! chantonna-t-elle. Tiens, pour la peine, je vais chanter April in Paris... Rien que pour vous").

Mais du côté des filles, tout n'est pas rose. En attendant de briller sur scène (de théâtre, de spectacle), il faut bien payer son (modeste) logement et se nourrir. On suit certaines d'entre elles entre auditions et espoirs déçus, rêves qui s'envolent et petits boulots gagne-pain. Chic tourne des spots publicitaires pour la soupe ou le shampoing entre deux répétitions de danse. Hadley travaille comme cigarette-girl (elle doit vendre un maximum de cigarettes et d'allumettes au cours de la soirée) puis comme taxi-girl (elle fait danser les clients en échange d'un ticket payant) dans les dancings afin de pouvoir élever le petit garçon de sa soeur. Toute une partie est consacrée à son arrivée à New York deux ans auparavant et son idylle avortée avec Allen. Page fréquente un homme plus vieux qu'elle, Addison de Witt, qui est critique de spectacles et connaît du beau monde. Manhattan est sur les traces de son père, devenu célèbre acteur de théâtre. Aux côtés d'elles toutes, on traverse un panel d'émotions "confuses et contradictoires".

Car au bout du compte les habitant(e)s de la pension Giboulée offrent "un bel album de famille": "Il les aimait toutes, quant à lui. La part énigmatique de Manhattan, l'aplomb de Chic, l'ingénuité de Page, la vivacité d'Etchika..." Même la vieille propriétaire, Artemisia (surnommée le Dragon), se laissera attendrir à la faveur d'un velouté d'asperges et d'une surprenante soirée poker!
Lien : https://www.takalirsa.fr/bro..
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Bon je vais me faire huer mais tant pis, je le dis, je n'ai pas pu finir... Cela ne m'arrive quasiment jamais, mais au bout de 300 pages, j'ai déclaré forfait.
Je suis passée totalement à côté de ce roman qui est trop décousu pour moi. Alors certes je suis fatiguée et c'est peut-être la raison qui fait que je trouve que le livre n'est pas fluide du tout. Mais l'intrigue m'a aussi totalement échappée. Alors je me suis dit que si à la 300e page, je ne savais toujours pas qui était le personnage principal et où nous menait l'"histoire", j'avais le droit d'abandonner...
Pour moi, il s'agit avant tout d'un bain dans l'atmosphère américaine du monde du cinéma des années 50, avec toutes les stars de l'époque qui sont évoquées.
Bref, je laisse donc ceux qui ont aimé vous en parler.
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J'étais au beau milieu de mes vacances, quand, en panne de livres, je me suis arrêtée dans une petite librairie en Vendée. Petite mais riche en titres les plus alléchants. Repartie avec une pile immense, j'en avais pour plus que mes vacances. C'est bien. On est toujours faible et en besoin de réconfort quand elles se terminent.

Broadway Limited est à l'instar des séries phares d'Armistead Maupin ou Alexander McCall Smith, un livre aux personnages foisonnants. de ceux que l'on suit tous (Enfin. Un fois qu'on a situé tout ce petit monde) car ils sont tous importants. Broadway Illimited. Hadley, Chic, Manhattan, Page, Jocelyn et les autres ont tous leur chemin bien à eux, et parce qu'ils sont nombreux, le chemin n'avance hélas pas bien loin pour chacun d'eux à la fin de ce tome.
On est fin des années quarante, mais à lire ces aventures, les gants en chevreau, les froufrous, strass et paillettes, j'étais dans ma tête en pleines années folles (j'ai toujours été nulle en histoire). Donc j'espère que vous ne m'en voudrez pas, ô personnages de papier hauts en couleur, mais dans mon imaginaire, celui qui se créé dès que l'on lit une ligne, vous évoluiez tous dans un univers art déco, mode à la garçonne comprise. Moi j'ai trouvé que ça vous allait très bien. Et quels que soient vos vrais atours j'ai détesté arriver aussi vite à la fin du livre. Parce que Broadway limited, telle une comédie musicale entêtante, vous emmène une fois que vous êtes dans la mélodie, très vite dans le tempo, et on peine à lâcher le livre.

Je regrette une chose. de ne pas avoir attendu d'avantage pour le lire. Il a fallu à l'Ecole des Loisirs 3 ans pour sortir ce livre en version poche. le tome 2 sort cette année. Si je dois attendre 3 ans pour la sortie poche, un dîner avec Carry Grant que j'aurai tout oublié.
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Automne 1948, Jocelyn, jeune pianiste français, débarque à New York. Plus précisément à la Pension Giboulée. Pension strictement réservée aux jeunes filles. Qu'IL n'est pas. Victime d'une erreur de prononciation de son prénom il est à tord envoyé ici. Malgré le terrible défaut d'être un garçon il réussi à être accepté grâce à son merveilleux don pour la musique (et un bocal de soupe aux asperges providentiel…).
Jocelyn s'engouffre alors dans le tourbillon de jupons de ses turbulentes co-pensionnaires. Elles sont malicieuses, effrontées, étourdissantes, c'est un vrai délice que de suivre leurs aventures aux côtés du jeune frenchie.
Bienvenue dans le New York éblouissant du swing, des claquettes et des comédies musicales. Tournis garantis !
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