Journal d'un chat assassin

le livre m'a amusé au début avec Tuffy le chat à qui l'on reproche d'être simplement un chat, d'attraper les oiseaux...
Ses excuses sont amusantes, il explique sa vision des choses.
Le chat est présenté comme un humain. Il est même le narrateur du livre.
Là où ça se gâte pour moi, c'est au fil des pages.
Les évènements s'amplifient et deviennent trop gros au point que je n'ai plus eu envie de sourire.
Les illustrations humoristiques semblent bâclées et brouillonnes.
Le public a raffolé de ce petit album qui comporte des suites mais ce n'est pas pour moi.

Tuffy est un chat comme les autres, il miaule pour ses croquettes, rentre et sort à sa guise par la chatière aménagée dans la porte de la cuisine, a une bande de copains chats moqueurs, une petite maîtresse très sensible. Ah oui... et accessoirement il a un penchant qui consiste à ramener des animaux morts en tributs à ses maîtres. Un chat quoi...

Un texte truculent à l'humour décapant assortie d'illustrations tout aussi savoureuses de Véronique Deiss. Tuffy prend vie et prend des vies mais attention à ne pas l'accuser trop vite de tous les méfaits du monde... Ce n'est qu'un chat après tout.

Un génial petit roman parfait pour se détendre, sourire, rire et se mettre le temps de quelques dizaines de pages dans la peau de ce chat si particulier.

Lecture jeunesse réjouissante que ce Journal d'un chat assassin à l'heure où la réécriture de certains passages des livres de Roald Dahl fait polémique. Faut-il "lisser" les livres pour enfants en supprimant tous les mots jugés stigmatisants.

Oui, un chat tue des oiseaux et des souris, n'en déplaise à certains humains petits ou grands. C'est même pour cela qu'ils ont été domestiqués à l'origine. C'est le premier volume d'une série mettant en scène Tuffy, un bon gros matou qui, sous ses allures de peluche, dissimule un redoutable prédateur, au grand dam de ses humains de compagnie.

Pour ma part, j'ai l'habitude d'envoyer les livres pour enfants à une bibliothèque à Ouagadougou. Je ne sais pas si j'enverrai ce livre, car bien des enfants africains ne comprendraient sans doute pas qu'on nourrisse un chat, alors que ceux-ci finissent souvent en ragout. N'en déplaise aux âmes sensibles.

Tuffy, qui raconte sa vie de famille, explique avec beaucoup d'humour que l'oiseau qu'il a tué ; et bien c'est normal puisqu'il est un chat . Mais la famille ne l'entend pas de cette oreille et on le trouve bien cruel lorsque d'autres petits animaux morts apparaissent. Il n'y a que Ellie la fillette pour prendre sa défense et l'excuser.
Les brimades pour que Tuffy se tienne tranquille commencent.
Bien sûr tout finit bien .
Avec beaucoup d'humour et de légèreté, cette histoire explique la personnalité d'un chat à l'instinct de chasseur.
Les dessins sont amusants également
une histoire pleine de rebondissements et facile à lire.

Petite chronique jubilatoire et déjantée, ce roman joliment illustré pour les plus jeunes (mais aussi pour les plus grands) est un régal de décalage. de ces livres qui osent ne pas prendre les enfants pour des crétins, qui leur envoient des messages pas évidents (sur la mort, sur les apparences parfois trompeuses, sur les préjugés) d'une façon subtile et rigolote.
Un classique, étudié depuis plusieurs années à l'école, et qui devrait avoir sa place dans toute bonne bibliothèque familiale !

Tuffy est un chat. le chat d'Ellie... Enfin, Ellie est la maîtresse de Tuffy autant qu'un humain puisse se rendre maître d'un chat. Toutes celles et tous ceux qui ont essayé savent qu'un chat reste libre. Libre de ses mouvements et libre de ses pensées.
Tuffy est le genre de chat dont on pourrait franchement dire qu'il ne lui manque que la parole. Et cette parole, il la couche noir sur blanc dans son journal.
Tuffy est donc un assassin. Mais cela, c'est ce que pensent Ellie et ses parents. Les parents d'Ellie, pas les parents de Tuffy, of course. Oui, votre Honneur, Tuffy a tué un oiseau... mais en état de légitime défense, sûrement. Et une souris? Ah, là votre Honneur, c'est différent. Comment? Et le lapin? Ah, ça, non, pour le lapin, Tuffy n'y est pour rien.
Anne Fine manie l'humour so British, en racontant une sorte de journal imaginaire d'un chat à qui on reproche d'avoir des "instincts" de prédateur. C'est caustique, décalé, avec énormément de dérision et cela fait mouche quand elle décrit les réactions des maîtres face aux comportements de leur chat de compagnie. Mais Anne Fine va un cran plus loin avec l'histoire du lapin que Tuffy rapporte un jour...
Une semaine de la vie d'un chat... et ce n'est pas triste.
L'écriture d'Anne Fine est simple mais pas simpliste. Elle convient parfaitement aux enfants, qu'elle ne prend pas pour des idiots. Elle a un vrai twist pour conter les situations les plus quotidiennes de manière rocambolesque, et ainsi nous amener à avoir un regard différent sur ces petits événements domestiques. Par ailleurs, elle cultive l'art du non-sens de très belle manière. Rafraîchissant.

Tuffy est un chat. Quoi de plus normal que de tuer un petit oiseau ? Mais ses maîtres ne voient pas les choses de la même façon. Surtout quand le lendemain, il recommence avec un autre animal…
Ça fait longtemps que j'attends parler de ce chat. Eh bien, la rencontre est réussie, ce pauvre félin est incompris de ses maîtres mais le lecteur oscille entre les envies de Tuffy et le désespoir de sa maîtresse.
Je l'ai lu en version originale et la lecture n'a pas été difficile alors que je ne pratique pas souvent. Une lecture sympathique et pleine d'humour pour petits (et grands). Je lirai les autres aventures de Tuffy !

Livre audio.
Le narrateur est un chat, bien campé dans sa nature féline, qui évoque une semaine conflictuelle avec « ses » humains. Il va être accusé de trois meurtres (oiseau, souris et lapin) alors qu'il n'en a commis qu'un seul.
Ce texte est plein d'humour et met en avant l'incompréhension des humains face à l'instinct naturel d'un chat. J'ai beaucoup apprécié la scène dans la salle d'attente du vétérinaire et les commentaires de notre chat sur les autres animaux de races différentes. Quant au récit du vaccin (raté) avec la vétérinaire, c'est impayable !

David Jisse prête efficacement sa voix à ce chat.
Un très bon moment de lecture ! Presque trop court !

La première fois que j'ai lu Journal d'un Chat Assassin remonte à très très loin... Je devais être en CE1 ou CE2 et je l'avais reçu par l'école des loisirs (mon parrain m'offrait l'abonnement chaque année, je ne demande si ça existe encore, c'était vraiment bien comme organisation...!).

L'histoire d'Anne Fine est vraiment pleine d'humour : qu'est-ce qu'on rit quand on lit Journal d'un Chat Assassin ! On entre dans un monde proche du notre, mais qu'on ne connait pas du tout personnellement : le monde des animaux de compagnie.
C'est un monde qu'on connait plus ou moins, mais dont on ne peut pas se projeter. C'est vraiment très drôle de se mettre dans la tête de Tuffy.

Les personnages sont vraiment très drôle : Tuffy me fait plus ou moins penser à Dr. House : un humour acerbe mais très efficace. Et ses maitres sont totalement improbable, très "série américaine", très sensible, voir même niais.
Il y a un vrai décalage entre le chat et la famille : l'un est sur de lui et les deuxièmes sont totalement ridicules. Ils ont aucuns moyens de communication ce qui joue énormément dans l'humour de Journal d'un Chat Assassin.

J'aime beaucoup ce livre d'Anne Fine, car c'est un livre que tout le monde peut lire. Il s'adresse tout d'abord aux petits qui viennent tout juste d'apprendre à lire, mais même quand on est grand, on peut apprécier sans aucun problème ce livre.
Rien que pour prouver que l'humour est universel : découvrez Journal d'un Assassin.
Lien : http://lunazione.over-blog.c..

Très bon petit livre qui ravira les petits avec ces personnages drôle et familier, mais aussi les plus grands grâce à une bonne dose de second degrés et d'humour noir. Mention spéciale aux illustrations.