Le briseur d'âmes

Le Mot de l'éditeur :
Un psychopathe sévit dans les environs de Berlin. Lorsque la police retrouve ses victimes, ces dernières sont vivantes, n'ont subi aucun sévice, mais se trouvent prostrées dans un état végétatif, psychologiquement anéanties, comme privées de conscience...
D'où le surnom que lui a donné la presse : le briseur d'âmes. Quelles tortures mentales a-t-il infligé à ses proies ? Et pourquoi laisse-t-il dans leur main une phrase énigmatique ?
Caspar, un amnésique d'une quarantaine d'années interné dans une clinique psychiatrique de luxe, n'aurait jamais imaginé croiser le chemin du psychopathe.
Et pourtant, en cette veille de Noël, alors qu'au-dehors une tempête de neige fait rage, lui, le personnel médical et quelques patients se retrouvent enfermés dans la clinique, coupés du monde... avec le briseur d'âmes. Et, cette fois, il tue !


Mon avis :
C'est mon troisième livre de Sebastian Fitzek et ce sera le dernier. A chaque fois, j'ai eu un avis mitigé mais, là, c'est le livre de trop !
Tout au long de la lecture, j'ai eu l'impression d'être dans un film d'horreur pour ado' : violence gratuite, aucune frayeur. Je n'ai trouvé aucun suspens : l'identité du briseur d'âmes m'est apparue très vite. La fin du livre fut la partie la plus décevante : petite pirouette renvoyant à « Thérapie » (livre du même auteur) et aucune réponse : quel était alors l'intérêt de cette expérience ?
Bref, j'ai déjà passé trop de temps avec ce livre, mon avis s'arrêtera donc là !

C'est un livre assez court, intense et très prenant! Je l'ai fini en une journée donc c'est qu'il était quand même intéressant…Malgré cela, j'ai été un peu déçue….

Alors que la dernière fois (Thérapie), je trouvais qu'il avait un peu bâclé la fin, cette fois ci , il la soigne très bien. On comprend tout, tous les indices trouvent leurs explications, et elle est digne d'un bon thriller…

Oui mais voilà, c'est pendant ma lecture que j'ai été un peu déçue, on sent la tension, mais je suis restée à l'extérieur de l'intrigue…Je ne voyais pas où l'auteur voulait nous mener, on a si peu d'indices que, on regarde sans ressentir….J'ai regretté d'en savoir si peu sur le fameux Briseur d'âmes, c'est trop en fond, j'aurais aimé plus de scènes off…Je crois que là où ça a péché un peu c'est dans les personnages, on en sait trop peu…On ne s'attache pas, on suit le mouvement, mais on n'est pas immergé dans cette enquête…Pourtant avec ce titre, il y a avait de quoi faire, de quoi foutre une trouille de tous les diables, mais c'est dommage ça n'a pas pris avec moi……….

En bref, un livre bien écrit, mais qui ne m'a pas convaincue car certaines choses n'étaient pas assez approfondies…Je ne suis pas très bonne en devinettes, donc je n'ai pas réussi à résoudre la dernière, mais heureusement que mon âme est restée intacte…

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Je suis passée à côté de ce roman, je n'ai pas accroché du tout. J'ai pourtant beaucoup aimé thérapie et lorsque j'ai lu les critiques, je me réjouissais de rentrer dans cet univers et j'ai vraiment été déçue. J'hésite de ce fait, à acheter celui qui vient de sortir !

A la lecture de la première page ... j'ai eu peur : une scène de torture, très violente ... mais cela ne reflète pas tout le livre, heureusement on passe à autre chose car sinon j'aurais laissé tomber. Mais ce thriller-psychologique contient quand même une certaine violence ... on imagine très facilement le genre de film qui pourrait en être tiré : un hôpital psychiatrique, un nuit de tempête de neige dont personne ne peut sortir et où coupable et victimes sont enfermés ensemble, sans lumière et sans téléphone évidemment ! Cette intrigue est très bien construite et nous apporte un certain malaise pendant la lecture. On ne peut s'empêcher de se demander quelle part de vérité ... un huis-clos glaçant.

Un thriller sympathique sans toutefois être exceptionnel : l'idée de base est intéressante, et l'auteur sait faire monter l'angoisse du lecteur au fil des pages. Mais le développement de l'intrigue est assez décevant dans le sens où il est plein de clichés et utilise des ficelles bien connues des amateurs de thriller.
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Après avoir dévoré Thérapie et avoir lu les premières pages en grand format du Briseur d'âmes, il est clair que je me suis jetée dessus à sa sortie en poche. Les premières pages sont un gouffre de plaisir. Les descriptions horribles, une expérience qui s'annonce intense et surtout un décompte (heures) comme je les adore: il reste X temps avant la Peur. Ahhh j'adore! Malheureusement je n'ai pas vraiment su rentrer dans le roman. Je ne me suis pas sentie oppressée comme dans Thérapie. Les retournements de situations, les solutions, les révélations ne m'ont pas laissée la bouche grande ouverte. Ne me rendant parfois pas compte que j'avais lu justement un élément clé. Alors si le roman était bien mais pas autant incontournable que Thérapie.

Il y a longtemps que je n'avais pas lu un thriller psychologique d'une telle portée. Ce livre, je l'ai dévoré en même pas deux jours, impossible à lâcher malgré le malaise grandissant en moi au fur et à mesure de l'avancée de ma lecture.

Pas un livre marathon, où c'est tellement horrible qu'il me faut le poser, marcher, évacuer et revenir. Non, un livre déshydratant, voilà le mot adéquat ! Un roman qui vous fait tellement déglutir devant les évènements qui s'enchaînent qu'il faut vraiment une bouteille d'eau à côté tant le gosier s'assèche vite.

La construction d'abord de ce thriller est machiavélique. Il commence par une étude du passé. le premier chapitre s'intitule alors : 71 jours avant la Peur. et on étudie un dossier médical psychiatrique. Il s'agit alors de la première victime du Briseur d'âmes. Ensuite vient le présent : Aujourd'hui, bien plus tard, de nombreuses années après la Peur. où des étudiants bénévoles commencent à lire ce fameux dossier médical gros de 300 pages. Ils sont payés, mais ont du signer une décharge et s'engager à lire le dossier jusqu'au bout. Ledit dossier médical ressemble à un roman fait remarquer un des étudiants. En lettres vertes sur fond vert est inscrit LE BRISEUR D'ÂMES. Sur la couverture on distingue également des silhouettes d'oiseaux noirs planant au-dessus d'une forêt menaçante. Puis le récit lui-même qui va égrener les chapitres : 3 heures avant la Peur. Et chaque début de paragraphe donne l'heure à laquelle se passe les évènements. 23h 07, 23h 09, 23h10.... C'est flippant, stressant et surtout addictant !!!

la suite sur le blog ;)
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(...)

Que chercher dans un thriller sinon de la peur et encore de la peur. Ici on est servi! Sebastian Fitzek connaît l'art de provoquer des frissons d'horreur!
Son récit est centré sur un moment clé autour duquel tout s'organise. Il y a, tout au long du roman, les chapitres chronométrés « Avant la peur ».
Le récit s'ouvre «71 jours avant la peur » par un dossier médical: «Une femme se réveille d'un cauchemar pour aussitôt se retrouver plongée dans le suivant. »
Aussitôt après on passe à « Aujourd'hui, 10h14. Bien plus tard, de nombreuses années après la peur.» et ainsi tout du long.
Dès les premières lignes le lecteur est tendu vers ce moment qu'on imagine si épouvantable qu'on n'en devine qu'une toute petite partie mais dont on apprend très vite les horribles conséquences.
C'est efficacement bien ficelé et ce thriller ne peut qu'être apprécié des connaisseurs. Son succès en Allemagne le prouve suffisamment.
Pour ma part, il m'a manqué de pouvoir m'attacher un tant soit peu aux personnages trop réduits au rang de pions mais la priorité est donnée à l'action et aux moments d'effroi et en ce sens ce roman atteint parfaitement son but. Un bon thriller, incontestablement.
Grâce à ce roman, j'ai appris un nouveau mot: virtopsie. Il paraît qu'on l'entend parfois dans la série des "Experts". Je n'avais sans doute pas fait attention.
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Un auteur dont j'ai apprécié plusieurs romans, notamment son premier, réédité : "Thérapie".
"Le briseur d'âmes" est bien, il y a du suspense jusqu'au bout, mais j'ai trouvé l'atmosphère un peu lourde. Un huis clos oppressant. Il semble que l'auteur s'est bien documenté, je n'ai pas trouvé cette histoire très claire, voire pas très crédible.
Mais ça se lit bien et l'idée est intéressante.

On se retrouve dans une ꮯꮮꮖɴꮖꮔꮜꭼ ꮪꮲꭼ́ꮯꮖꭺꮮꮖꮪꭼ́ꭼ en psychiatrie où un tueur en série fait rage. Mais il ne s'agit pas d'un meurtrier lambda car il laisse ses victimes vivantes en apparence, mais emmurées à l'intérieur. Et ce psychopathe laisse des devinettes pour rendre le jeu plus intéressant.

Bien sûr ꮖɴꮐꭱꭼ́ꭰꮖꭼɴꭲ ꮖɴꭰꮖꮪꮲꭼɴꮪꭺᏼꮮꭼ à tout bon huis clos de ce genre : une tempête de neige qui fait rage, et les personnages qui sont bloqués dans l'hôpital.

Nous suivons plus particulièrement Ƈɑsթɑɾ, patient de la clinique qui a perdu la mémoire mais qui la récupère par flashs.

J'ai bien apprécié la construction du récit, qui alterne périodes du présent, où des étudiants font partie d'une expérimentation dans laquelle ils lisent un rapport médical et périodes du passé. le seul point de repère c'est X jours avant ou après « La Peur ».

Malgré une intrigue prometteuse, je me suis ennuyée. L'histoire met du temps à se mettre en place. Puis le Ᏼꭱꮖꮪꭼꮜꭱ ꭰ'Ꭺ̂ꮇꭼꮪ fait son apparition et s'ensuit une course poursuite assez bateau et prévisible dont j'ai perdu tout intérêt jusqu'à cette fin qui par contre est assez originale !

Laisser le lecteur trouver la solution à la dernière énigme, c'est bien joué, mais ça n'a pas suffit à me convaincre. Je reste sur ma faim.

Les patients de la clinique sont clairement considérés comme cinglés (psychophobie bonjour) et cette utilisation de l'hypnose me paraît complètement invraisemblable. Dommage, il y avait du potentiel !