AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,65

sur 453 notes
J'ai passé un agréable moment, la lecture ce fait rapidement, elle est fluide, le roman est prenant.
J'ai été happée par l'histoire. Tout y était !
Même la fin m'a étonné.
Et pourtant, ce livre m'a laissé comme une saveur d'inachevé… Il manquait quelque chose… du suspens, de la peur, plus de folie… Je ne sais pas, mais un goût amer trône dans ma tête.

Bonne lecture !
Lien : https://angelscath.blogspot...
Commenter  J’apprécie          200
Une envie de découvrir cet auteur de thriller allemand dont les critiques sur Babelio m'avaient intriguées.
Trois poches trouvés en brocante et je me suis mise à lire sans attendre « le briseur d'âmes » de Sebastian Fitzek.
Déçue… pas vraiment mais pas enthousiaste non plus. Un air d'Agatha Christie dans les 10 petits nègres.
Des étudiants universitaires qui passent un test, une expérience tirée d'un dossier médical.
Un psychopathe à Berlin, surnommé par la presse le "briseur d'âmes », qui plonge ses victimes dans un coma végétatif, en les ayant psychologiquement anéanties...
Une veille de Noël, une ambulance victime d'un accident de la route près d'une clinique psychiatrique de luxe. le personnel médical porte secours aux deux rescapés. Ces employés se retrouvent avec quelques patients enfermés dans la clinique avec le briseur d'âmes, coupés du monde à cause d'une tempête de neige.
Un huis clos dans une nuit de tempête avec des accidents et des disparitions qui s'enchaînent parsemées de scènes d'action tarabiscotées et un jeu de devinettes obscures.
Le roman alterne entre passé et présent, comporte des longueurs, les personnages sont abordés de façon superficielle sans être attachants et cette fin sans réponse satisfaisante. L'hypnose aurait pu apporter de l'effroi. L'isolement, le huis-clos aurait pu produire une ambiance à la « Shining ». Mais non, quel dommage !
Un thriller psychologique, tellement tiré par les cheveux que la tentation a été forte de poser le livre pour ne plus le reprendre. Il me reste deux occasions de revoir ma première impression sur cet auteur....
Commenter  J’apprécie          121
En librairie depuis le 7 mars, "Le Briseur d'âmes" est le 4ème roman de l'écrivain allemand Sebastian Fitzek, après "Thérapie", "Ne les crois pas !" et "Tu ne te souviendras pas".

Berlin. Dans le cadre d'une expérience, un professeur invite ses élèves à prendre connaissance du dossier médical de Caspar, un homme amnésique qui, quelques années auparavant, avait séjourné dans la clinique psychiatrique de Tenfelsberg.
La veille de Noël, alors qu'une tempête de neige faisait rage dans la région, Caspar ainsi que quelques pensionnaires et membres du personnel soignant avaient été confrontés au Briseur d'âmes, un psychopathe réputé pour laisser ses victimes dans un état léthargique, comme si celles-ci étaient tétanisées, prisonnières de leur propre corps et d'un cauchemar sans fin.
Quelle était l'identité du Briseur d'âmes ? Pourquoi glissait-t-il une devinette dans les mains de ses victimes ? Caspar et les autres ont-ils réussi à lui échapper ?

Je ne savais pas du tout à quoi m'attendre en commençant ce thriller. En découvrant les premières pages, j'ai été saisie d'effroi par la vision d'une femme enlisée dans une spirale infernale sans issue apparente, comme dans un film d'horreur !
Ensuite j'ai découvert ceci :

" - Sachez que ces faits sont avérés. Je vous ai photocopié un vrai dossier médical. Et l'original, le voici.
Il sortit un livre usagé et le posa sur la table. Son titre : le Briseur d'âmes, en lettres vertes sur fond vert.
Sur la couverture, on distinguait également des silhouettes d'oiseaux noirs planant au-dessus d'une forêt menaçante.
- Méfiez-vous des apparences. Oui, à première vue, on dirait un roman. Mais ce n'est que l'arbre qui cache la forêt. " p.20


Je ne pense pas que les médecins/psys s'amusent en réalité à illustrer les dossiers de leurs patients (j'ai ri nerveusement en les imaginant scrapbooker des polaroïds de victimes ^^) mais passons sur ce détail. La mise en abîme prête en tout cas à sourire, du moins au début.
Les étudiants découvrent ainsi ce fameux cas d'étude, frissonnant et s'interrogeant en même temps que le lecteur.
La découverte du dossier se voit donc de temps à autre interrompue par les questionnements des étudiants, comme nous le signale la pagination.
A partir de là, comment vous dire ? On se retrouve enfermé dans cette clinique avec autant de personnages pas vraiment nets qui pourraient tous être le Briseur d'âmes.
Le récit est construit autour de Caspar qu'on suit dans la fuite comme dans cette quête de la vérité qui le force à sonder son psychisme, lui révélant son passé par bribes, alors qu'il tente avec les autres de comprendre les indices laissés par le Briseur d'âmes (quand ils ne sont pas en train de se suspecter les uns les autres).

Attendez-vous à être manipulés par l'auteur qui prend en plus un malin plaisir à renforcer un rythme déjà soutenu par un décompte des minutes à chaque chapitre ! Bien que n'étant pas sujette à la claustrophobie, je me suis sentie oppressée tout au long de ma lecture, comme si je faisais partie intégrante de cet horrible huis-clos.


" Caspar frissonna à la vue du porte-perfusion situé, tel un serveur muet aux bras ballants, près du lit vide.
Il sentit la vapeur produite par sa propre respiration, puis la suite se déroula comme au ralenti.
Il avait l'impression d'être un observateur extérieur qui feuilletait avec le plus grand intérêt un album photo.
Chaque page comportait une image encore plus terrible que la précédente.
Et le temps que son cerveau se rende compte de l'horreur de la situation, il passait déjà à la page suivante." p.52


En sachant que le mode opératoire mis au point à quelques variantes près par le Briseur d'âmes renvoie à une méthode largement répandue dans le milieu thérapeutique (méthode qui m'a toujours beaucoup effrayée !), autant dire que mes nerfs ont été mis à rude épreuve.

J'ai hâte de découvrir les autres romans de Sebastian Fitzek, particulièrement "Thérapie" dont le personnage de Viktor Larenz est mentionné dans ce roman.
Lien : http://contesdefaits.blogspo..
Commenter  J’apprécie          120
Cela fait plusieurs livres que j'ai lus qui se passent dans un endroit isolé, enneigé, sans possibilité d'évasion, enfin un huis-clos quoi.
Je devenais donc un peu inquiet sur le déroulement des horreurs à découvrir, mais mais mais Mr Fitzek m'a piégé, un cauchemar terrifiant s'en suit et l'intrigue est magnifiquement ficelée.
Il m'a bien roulé dans la farine et la fin de l'histoire grâce à une révélation m'a surpris.
Après Thérapie, Ne les crois pas, Tu ne te souviendras pas, le voleur de regards, L'inciseur et le colis, je continuerai à lire cet excellent auteur de thrillers.
À lire donc pour les amateurs de noirs cauchemars !
Commenter  J’apprécie          100
Sebastian Fitzek ne m'a pas du tout emporté avec ce "briseur d'âmes" .
Je ne suis pas vraiment entré dans l'histoire .
J'ai trouvé l'intrigue brouillonne et confuse ,
les péripéties abracadabrantesques ,
à tel point que je n'ai jamais été tenu en haleine .
Heureusement , les toutes dernières pages éclairent
le déroulement de l'histoire .
De tous les livres de cet auteur que j'ai lus ,
"Le briseur d'âmes" est celui qui m'a le moins plu .
Commenter  J’apprécie          100
Nous avons affaire à des étudiants, mis en situation, dans une ancienne clinique psychiatrique abandonnée. Ils doivent lire et étudier un dossier médical assez complexe, celui du briseur d'âme.
L'histoire principale se passera avec la lecture de ce dossier, et l'action principale se passera aux moments des faits, entrecoupé des diverses réflexions faites par le professeur et ses étudiants.
Caspar atteint d'amnésie se retrouve bloqué, la veille de Noël, ds une clinique psychiatrique avec un nombre restreint de personnes. Seulement parmi eux se trouve "le briseur d'âme" un terrible tueur en série. le ton est donné dès le début de la lecture, l'histoire se passant à 2 moments différents.
Un thriller psychologique haletant et angoissant. La situation géographique de la clinique, le mauvais temps, les personnages tous plus coupables les uns que les autres font de cette lecture un moment de frisson garanti.
C'est mon 1er fitzek et je suis contente de l'avoir découvert.
Commenter  J’apprécie          100
Des étudiants sont invités à participer à une expérience rémunérée. La dite expérience consisterai à lire simplement un dossier médical retrouvé dans le cabinet d'un psychiatre décédé. Ce dossier retrace des événements terribles qui se sont déroulés dans une clinique psychiatrique privée.
Tout commence avec Caspar, amnésique récemment arrivé, qui tente de recouvrer la mémoire et par la même son identité, avec en arrière plan, un psychopathe qui enferme ses victimes dans leur propre corps, en leur refaisant vivre inlassablement le pire drame qu'elles aient vécu, comme un cauchemar mais sans phase de réveil.
Un huis clos oppressant sous fond de tempête de neige, une tension constante et un dénouement qui nous laisse pantois et dont on ne sort pas indemne de réflexions.
Commenter  J’apprécie          90
Voilà un polar bien décevant. En fait, je dirais même pire. C'est mauvais mais je peux nuancer...c'est de la merde. Autant j'ai été séduite par le résumé apéritif "terrifiant et puissant", "qui se lit d'une traite" ou qui ne se lit pas, autant l'histoire est nulle, bas de gamme. le scénario est éculé: un hôpital psychiatrique, la veille de Noël, il neige, pas assez de personnel et quatre pauvres "fous" laissés à leur triste sort. le lieu est clos et le psychopathe est forcément quelqu'un parmi cette bande de désaxés. On sent un mélange d'auteurs et de scénarios déjà lus, vus, entendus. Bref. On ne s'improvise pas romancier.
Le style est mauvais; mal écrit, mal pensé. Des phrases incohérentes viennent parasiter les dialogues, un exemple:
- Qu'est-ce que vous voulez ?
- Vous aider, pardi !
PARDI ! Késako ? Qu'est-ce que ça vient faire dans un "polar" ?Ou lorsque les protagonistes sont réunis dans une salle d'autopsie et qu'un personnage décide de mettre le feu. Il utilise donc un bidon de détergent. En principe, on ne réfléchit pas, on agit. Là, pas du tout on prend son temps :
- Bien, il ne reste plus qu'à verser le produit.
- Vous vous rendez compte que ce genre d'appareil coûte plusieurs millions d'euros ?
- Vous m'en voyez désolé, répondit Caspar avec une grimace, mais hélas, nous ne subirons plus les foudres du directeur.
Et enfin, un duel mémorable : un coup de poing dans le nez ? dans l'estomac ? une gifle ? Ben non. Un coup de dossier ! Tiens prends ça vilain ! Aïe euh, tu m'as écorché la joue ! Ooouuuh attention c'est la violence extrême là !
Voilà. Serait-ce la faute de la traductrice ? Oooh Penny, ma p'tite Penny. Sorry mais ta traduction, elle vaut pas un sou !
Une prochaine fois, peut-être...

Si les lecteurs apprécient le mélange roman policier et psychologie (parce qu'il en existe de très bons), je conseille plutôt L'interprétation des meurtres de Jed Rubenfeld.
Commenter  J’apprécie          90
On a affaire ici à un thriller psychologique machiavélique, comme Sébastian Fitzek aime les concocter. L'intrigue rythmée, sans temps mort, renforcée par un décompte du temps implacable, nous entraine dans les profondeurs de l'âme humaine, la noirceur totale, en jouant avec nos nerfs. Les pièces du puzzle s'emboitent avec brio pour rendre l'atmosphère étouffante, la suspicion réelle et le dénouement diabolique. Mêlant le présent et le passé, l'auteur nous ménage ainsi quelques moments où reprendre souffle avant de replonger dans l'horreur.

Fitzek soigne son intrigue, la rend cinématographique. On n'a aucun mal à imaginer les scènes décrites. Quelques clins d'oeil à Shinning, à Dix petits nègres... Bref, un huis clos glaçant que j'ai particulièrement goûté.

Lien : http://argali.eklablog.fr/le..
Commenter  J’apprécie          90
Fitzek écrit souvent des intrigues policières tordues, on le sait et c'est pour ça qu'on le lit. Mais là, j'avoue ne pas être rentrée dans cette histoire d'huis-clos en hôpital psychiatrique : certaines scènes m'ont semblé dignes d'un film avec Jean-Claude van Hamme, les personnages changeaient de camp tellement souvent qu'on ne savait plus bien ce qu'ils pensaient... Peut-être était-ce après tout la volonté de l'auteur de « noyer » son lecteur comme pour transposer son cerveau dans celui d'un sujet interné en hôpital psy... Pour couronner le tout, je n'ai pas bien compris la fin.
Peut-être le briseur d'âmes comblera-t-il les attentes des lecteurs qui ont aimé Shutter Island ou Vol au-dessus d'un nid de coucou...
Commenter  J’apprécie          83




Lecteurs (1116) Voir plus



Quiz Voir plus

Quiz sur le livre "Passager 23" de Sebastian Fitzek.

Quel est le nom du bateau ?

Roi des mers
Sultan des mers
Roi des océans
Sultan des océans

10 questions
14 lecteurs ont répondu
Thème : Passager 23 de Sebastian FitzekCréer un quiz sur ce livre

{* *}