On ne meurt pas comme ça

Merci aux Editions Max Milo de m'avoir permis de lire ce livre.

Un livre dont la première de couverture nous fait penser à un livre girly, frais et marrant. Cependant, lorsqu'on lit la 4ième de couverture le sujet est moins marrant : être âgée de 37 ans et être atteinte d'un cancer du colon il y a mieux ..
Pourtant Charlotte Fouilleron montre dans cette autobiographie marrante et émouvante le contraire.

Charlotte âgée de 37 ans peut paraître un peu nunuche : elle aime le shopping, son passe-temps c'est passer ces journées dans les "nails bar" et puis elle cherche LE grand amour.

Mais lorsqu'elle apprend qu'elle est atteinte d'un cancer et bien tout son monde s'effondre et on apprend a connaître une autre Charlotte.

Ce livre est très bien écrit. Il nous fait passer par plusieurs étapes : le questionnement, la compréhension, les larmes, le rire..

On se rend compte que la vie nous réserve parfois des choses auxquelles ont ne s'attend pas. Mais malheureusement pas d'autre choix que de faire avec et de se battre.

Et bien Charlotte va nous montrer durant tout son livre qu'elle se bat contre cette maladie "de vieux". Mais le combat ne sera pas vain...

Laissez-vous emportez par ce super livre. J'e ne regrette pas de l'avoir lu je me suis sentie emportée par son combat et l'envie qu'elle s'en sorte.

Ce livre, je l'ai lu dans le cadre de ma formation infirmière, en première année, pour s'entraîner à réaliser une fiche de lecture (oui oui, j'ai bien dis école infirmière, allez comprendre.) Ce livre est assez bien fait dans le sens ou il traite d'une maladie grave, (une maladie qui atteint plus souvent les personnes âgée mais qui là, touche une jeune femme) mais sans rentrer dans un pessimisme ou dans une ambiance sombre.

Au contraire, le livre, bien qu'il traite du cancer, est très léger. On arrive même â rire à certains passage. Alors ce qui est bien, c'est que le lecteur apprend sur la maladie, sur les difficultés que les patient subissent tout en relativisant car l'héroïne, elle-même, relativise constamment.

Alors bien sur, il y a de la tristesse. Ce n'est pas plus un récit passif. Mais Charlotte est tellement forte, tellement courageuse et ne se laisse pas abattre facilement, que ces sentiment là prennent le dessus sur la tristesse.

Ce livre est une belle leçon de vie qui nous permet de relativiser un peu plus.

Bon, c'est pas THE livre, c'est pas OUF, mais il mérite tout de même d'être lu.

Une belle histoire vécue qui d'après la couverture semble plus être un roman humoristique. La vérité est moins drôle car l'auteure, journaliste, est atteinte du cancer du côlon à 37 ans. Coup dur évidemment, d'autant plus que les autres malades ont le double de son âge et qu'il est difficile de lier connaissance. Deuxième coup du sort, cancer des ovaires 2 ans plus tard. Cette célibataire, stérile suite à son deuxième cancer, nous emporte dans son quotidien, son histoire familiale et dont le dénouement est assez extraordinaire. Beaucoup d'émotions et d'optimisme.

J'ai adoré la manière ensoleillée avec laquelle raconte l'auteure ce malheureux passage de sa vie, qui ne la laisse sans répits. Malgré un sujet pénible, Charlotte Fouilleron donne sa vision des choses et sa remise en question sur certains principes que l'on peut avoir en bonne santé, auxquels l'on porte beaucoup moins d'intérêt dans sa situation. Elle le fait avec beaucoup d'optimisme.

Charlotte Fouilleron nous fait partager tout ça avec subtilité et simplicité. Si je m'attendais à un roman plus « sérieux » (notez bien les guillemets), ce récit que je qualifierais d'édulcoré pourra permettre à un grand nombre de s'informer et de tenter de mieux cerner, de mieux comprendre, ce type de maladie. Je dois dire que c'était assez agréable d'avoir un récit qui n'allait pas forcément au bout des choses, qui ne décortiquait pas tout. On se contente d'avoir le principal et on a vraiment un regard sur plusieurs points. En plus l'auteure a su y mettre sa patte et nous entraîner dans sa vie à cette occasion, aussi difficile soit-elle et llle ne fait pas partager que les mauvais côtés. Pour terminer, les mots d'un docteur en fin d'ouvrage sont en outre un bon complément au texte principal.
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