Il n'y a tel que les gloutons, malades par indigestion, pour tenter, sur leur fin, de nous dégoûter de la table.
Qu'importe ! Laissons-les cracher dans le verre où ils viennent de boire, mais ne prenons pas pour nous leurs aigreurs tardives.
Une jeune fille trouve cent hommes pour s'accoupler avec elle et vingt hommes pour l'épouser. Combien en trouve-t-elle pour l'aimer ?
Le jeune homme entre dans la vie comme un jeune chien battu qui déchire les rideaux et fait ses besoins partout. La jeune fille se refuse par caprice et se donne sans besoin.
L'homme est prisonnier de son coeur, la femme esclave de son préjugé ou de sa maternité.
Libérer un esprit oblige d'abord à le scandaliser, afin, ayant violemment bousculé la base de sa pensée, de l'obliger à la remettre en question et à en faire un nouvel examen.
Et la femme se vend couramment comme se vendent encore les jeunes filles d'Afrique.
On y met plus de forme. Dans la bourgeoisie, on ajoute un notaire.