Maeve Regan, tome 1 : Rage de Dents

Ça faisait un moment que je voulais découvrir cette série dont j'entends beaucoup de bien, c'est maintenant chose faite.
Maeve est une héroïne comme je les aime, pleine d'humour, crédible dans ses émotions et dans les décisions qu'elle prend. J'ai aimé suivre son évolution dans ce premier tome et je suis sûre que sa transformation continuera dans les suivants.
J'ai également beaucoup aimé le style de l'auteure, l'intrigue et l'univers qu'elle a développé, ainsi que ses personnages, notamment le "héros" masculin - Lukas ici - qui fait le charme, ou non, d'un roman Bit Lit en général.
Alors pourquoi cette note au final ? Si tout est réuni pour faire un excellent tome, tout fait également figure de réchauffé. Oui Maeve est une héroïne intéressante, mais a-t-elle le fond et le charme d'une Cath, d'une Charley ou d'une Rebecca ? Pas tout à fait. Même chose pour Lukas qui n'a ici pas la profondeur et la présence d'un Bones ou d'un Raphaël.
L'histoire fait très déjà vue, sans parler de la fin de ce tome qui est presque un copié collé de la fin d'une autre saga du même genre.

En résumé, peut être que j'aurais adoré ce tome si je n'avais pas déjà lu de grandes sagas Bit Lit comme La confrérie, Rebecca Kean ou Chasseuse de la nuit. Cependant, l'auteure a toutefois su m'accrocher suffisamment avec son style, son héroïne et l'intrigue qui peut prendre des directions très intéressantes.
Je lirai donc la suite sans hésiter mais mes attentes seront un cran au-dessus.
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J'ai grandement apprécié rage de dent essentiellement pour le personnage de Maeve et le style de l'auteur.

Notre héroïne est une femme forte, indépendante et qui a du mal à contrôler ses pulsions violentes. Je l'ai appréciée dès les premières pages car bien qu'elle se montre forte on sens tout de même qu'elle a des faiblesses. J'ai adoré la suivre tout au long de ce tome et voir comment elle se sortait des situations les plus improbables.

Par contre je n'ai pas accrochés aux personnages secondaires et plus précisément Elliot et Brianne qui m'ont tellement exaspérés que je ne souhaitais qu'une chose c'est qu'il disparaissent. Heureusement Tara et Lukas sont deux personnages qui m'ont totalement séduits. le côté fille parfaite de Tara peut agacer au début mais on la comprend au fur et à mesure que l'histoire avance. Je n'en dirais pas plus sur Lukas mais c'est vraiment un personnage masculin qui m'a entièrement convaincu.


Pour ce qui est de l'intrigue je l'ai trouvée bien mené, les éléments du passé de Maeve sont distillés au fil de l'intrigue et par plusieurs personnages. On doit démêler le vrai du faux. le style de Marika Gallman est très intéressant, elles amènent des touches d'humour et des répliques qui font mouches sans en mettre trop.


En conclusion je suis ravie de découvrir cette série et j'espère pouvoir lire le tome rapidement. Je conseille cette saga pour les fans de bit-lit et ceux qui veulent découvrir ce genre !! ^^
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*Flashback – lu en août 2013*
Maeve Regan, ou quand une Suisse s'en prend à la bit-lit. Ça donne un truc plein de punch et d'humour tout à fait capable de rivaliser avec les grands noms américains du genre. Rien n'a été oublié : l'héroïne pleine de couilles, l'action à gogo, l'intrigue intrigante, et même le beau mâle musclé.
Maeve Regan, ou quand Milady se décide enfin à se pencher sur des auteurs francophones. Un excellent choix que je salue bien bas !
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C'est une série que j'ai découvert grâce à une amie, et qui m'a fortement intrigué dès la lecture du résumé! La couverture m'a aussi tout de suite accrochée.
Je lis très peu de bit-lit, pour tout dire, c'est ma deuxième lecture du genre, ma première étant un classique en bit-lit: "Anita Blake", mais j'apprécie et je vais de découverte en découverte voulant découvrir d'autre livre appartenant à ce genre (dans ma pile à lire m'attend par exemple la série de "La Casseuse de la nuit" ou encore celle des "Rebecca Kean").
C'est donc avec enthousiasme que j'ai débuté le premier tome de "Maeve Regan", et je ne fus pas du tout déçue du voyage!!!
En effet, dès les premières lignes, j'ai été happée par l'histoire, et séduite par le style d'écriture de l'auteur, Marika Gallman! de plus, l'héroïne m'a tout de suite plu, de par son caractère franc et volcanique, ce qui est un très bon point de départ de plus![...]
(La critique complète sur le blog)
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C'est pas moi, c'est elle


Ou la fille qui assume à mort quand elle lit de la Fantasy Urbaine pour gonzesses ! Mais en même temps, c'est de ma faute à ma pacseuse, on se lit un Charley. Comme on est des gonzesses, on parle de tout et de rien. Arrive Maeve Regan dans la discussion. Et c'est trop bien et il faut que tu le lises et patati patata, rontonflon, toussa toussa. Forcément, je suis faible, je vais prendre l'ebook et hop en vacances, je me le lis. Pourquoi les vacances? Et bien quand on fait 7 heures de route et qu'à un moment donné, je suis en passagère et que le tricot m'embête un peu (oui et alors, vous avez déjà fait une cape rose avec une laine qui glisse vous ? C'est sportif !). Bref, me voilà partie pour Maeve Regan....


Voilà

Mais pourquoi donc les héroïnes Fantasy Urbaine du moment se comportent toutes comme des barakis. Non mais c'est un signe de force ? D'indépendance ? Parce que là bon quand même. J'ai du mal. Non pas que l'histoire ne me comble pas (et encore) mais il faut quand même savoir qu'on en est encore à la énième héroïne dont la gloire c'est de se gaver de télé et de ne pas ranger ses chaussettes. Et vive la modernité ! Alors oui, de temps en temps, mes chaussettes à moi se rebellent un peu. Je ne suis pas pompomnée et il m'arrive plus que régulièrement de sortir une blague bien lourde et autres. Mais arrêtez s'il vous plait d'accentuer le truc avec mes héroïnes de roman !


C'était donc ma minute je vous raconte ma vie toussa toussa

Oui parce que bon. le but du truc, c'est qu'on s'identifie au personnage. Mais personnellement, non. Pas du tout. Ma vie étudiante ne ressemblait pas au début du roman de Maeve Regan. Et pan dans les dents. Et pourtant j'étais loin d'être une sainte (maman, si tu passes par là, on m'a évidemment obligée à écrire ces lignes) J'aimerai juste avoir un juste milieu, s'il vous plait.

Ah et du coup, Maeve. Oui, Maeve. Qui a des crises existentielles, qui cherche un peu à se détruire pour avoir des sensations mais qui a des amis quand même quand elle est paumée. Evidemment, sa vie cache un lourd secret mais elle devient super forte et tout et tout. Mouai. C'est cool mais en matière de mythologie, c'est pas le plus original qui soit hein.

Surtout quand tu es coincée dans ta voiture, que ton téléphone sert de GPS (et qu'il a à tout prix voulu me faire passer par Paris Intra Muros) et que donc j'ai pas pu raconter tout cela à Ptitelfe, sauf à la fin et qu'elle m'a sorti avec sa bonne bouille : "Tu verras le 2 est mieux". Alors oui, je lirai le 2 (surtout qu'il n'y a pas que des points négatifs, je vous rassure). Mais bande d'écrivains du genre, je vous aime (presque), vous le savez. Mais si vous pouviez passer directement à la qualité d'un tome 2, je sais pas. Parce que j'ai quand même envie de passer un bon moment dès le début. Genre. Et puis que les fans arrête de me dire que le tome 2 est mieux. Je lis le tome 1 bordel !


Bref, c'était pas mal

Oui, je fais ma râleuse mais en même temps, vous me connaissez. Rage de dents c'était musclé. Y a eu quelques scènes un peu longuettes (parce que clairement j'ai aussi envie de râler hein) et une montagne de clichés enrobés de partout qui a débarqué. Mais j'ai aussi ri pas mal et et j'ai aussi presque transpiré un peu de l'oeil gauche. L'histoire était prometteuse si je n'avais pas tenté autant de choses dans le genre, dans le même style, bref, toussa.

Alors, oui, peut être que le tome 2 est mieux, et peut être même que je le lirai. Mais bon. Faudrait un autre trajet en voiture et en train pour cela (quand même). Et j'espère que ce sera vers Lyon tant qu'à faire (Hein Choupinette).
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Vraiment pas mon genre de lecture. J'ai abandonné tellement je m'ennuyais. Non seulement c'est plat, lent et dépourvu de la moindre once d'originalité mais de surcroît tous les personnages sont bons à baffer.

Maeve a 21 ans et a été élevé par son grand-mère, Walter, depuis la mort de ses parents quand elle était bébé. Elle va à l'université avec ses deux meilleurs amis, Elliott et Brianne, ainsi que Tara, la petite amie d'Elliott que Maeve n'aime pas vraiment, et elle a un penchant certain pour l'alcool, les hommes et les crises de colère. Après une violente altercation avec un type qu'elle déteste et sa rencontre avec un sublime inconnu, ses nuits se peuplent de rêves étranges. Tout se complique encore davantage quand on essaie de l'enlever et qu'elle comprend que tout ce qu'elle croyait savoir sur sa vie n'est qu'un tissu de mensonges.

L'histoire est assez lente à se mettre en place. Vu le titre du livre, je me doutais bien qu'on allait avoir à faire avec des créatures à crocs, mais on commence par apprendre à connaître Maeve et son entourage, sa vie telle qu'elle la croyait avant que tout ne parte en cacahuète. J'ai vu plusieurs lectrices qui ont été dérangée par la vulgarité de l'héroïne, qui est aussi la narratrice. Personnellement, ça ne m'a pas dérangée du tout. Je suis moi-même parfois très vulgaire, et même si je n'irai jamais casser la gueule à quelqu'un (je me ferai mal toute seule avant de réussir à lui porter ne serait-ce qu'un coup), je connais les accès de rage qu'elle décrit, l'envie de tuer celui qui vous emm**** depuis des semaines/mois/années ou simplement le fait de détester une personne sans pouvoir s'en empêcher alors même qu'il n'y a aucune raison (je suis quelqu'un de très sympathique, n'est-ce pas ?). Etrangement, je me suis donc retrouvée en Maeve, ce à quoi je ne m'attendais pas du tout. Et puis il faut l'avouer, sa vulgarité va de paire avec sa répartie et son humour, sans lesquels le livre perdrait beaucoup de sa capacité à nous divertir.

Car c'est bien cela Maeve Regan, c'est du pur divertissement. J'ai lu le livre en trois semaines je crois (il n'est pas tombé au bon moment, je suis un peu en panne lecture), ce qui fait que j'ai eu le temps d'oublier les péripéties et les informations de l'intrigue au fur et à mesure, et pourtant ça ne m'a pas dérangée. Je suivais ce qui arrivait à Maeve avec plaisir, me demandant ce qui allait arriver et comment elle allait s'en sortir. le mythe du vampire est revisité de façon plus moderne, et si l'histoire n'est pas des plus originales ni des plus imprévisibles, Marika Gallman a su me surprendre avec certaines actions et m'a même touchée. Les chapitres ne sont pas trop longs, donnant un bon dynamisme à l'histoire, et très souvent les chapitres se finissent en petit cliffhanger, ce qui a bien évidemment le don de vous pousser à lire le suivant (j'ai lu le dernier quart du roman très rapidement).

Comme il s'agit d'un premier tome, on ne connaît vraiment bien que Maeve pour le moment. Néanmoins, les bases des autres personnages sont bien posées et je suis très curieuse de savoir comment les relations vont évoluer, surtout que la fin du tome laisse prévoir beaucoup de changements pour la suite !

Pour moi, c'est de la bonne bit-lit/urban fantasy, qui remplit son marché : de la baston, de l'humour, un peu de sexe (très peu tout de même), du fantastique, et surtout une lecture détente qui ne vous prendra pas le chou (sauf si vous ne parvenez pas à aimer Maeve, mais comme je vous le disais ça ne m'a pas posé de problème !).
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Je vais tenter de donner mon impression, bien que cela fait un bon moment que je l'ai lu tout de même (dès sa sortie). Tout d'abord, Marika Gallman est la première auteure « française » à être publié chez « Milady ». C'est déjà un exploit en soi.
J'ai craquée pour cette saga, premièrement par la jolie couverture faite par Fleurine (voir sa page facebook "Le monde de fleurine" qui fait de vrais merveilles !), mais aussi par la quatrième de couverture.

Après ma lecture, j'étais un peu moins enthousiaste... Pourquoi ? Voici les quelques points retenus pour ce premier tome. Premièrement, l'héroïne elle-même à de quoi rebuter notre enthousiasme, par son côté égoïste, vulgaire qui ne fait que jurer comme un charretier, mais aussi sa jalousie maladive. Son meilleure ami Elliot qui est fou amoureux d'elle (malgré sa nouvelle relation avec une certaine Tara) , se voit toujours envoyé paître par Maeve. Mais la demoiselle est quand même jalouse quand d'autres femmes sont attirées par lui, dont le fait qu'elle insulte Tara de « Mlle parfaite ». Tout cela ne l'empêche pas d'aller coucher à droite et à gauche avec le premier mec venu et à boire toutes les nuits dans les bars. de plus son égoïsme, cette impression qu'elle s'en fiche de ses amis, elle a besoin pourtant qu'eux s'intéressent à elle. Voici donc le beau tableau de l'héroïne. Personnellement, j'adore voir les héroïnes de bit-lit avec du caractère et qui ne se laisse pas marcher sur les pieds comme Anita Blake (au début) ou encore Rebbeca Kean. Mais là rien n'est fait pour nous aider à l'apprécier, pourtant au fil de l'histoire bien qu'elle nous exaspère, elle nous intrigue tout aussi bien malgré tout.

Certes, l'histoire semble banale aux premiers abords, une vie qu'elle croyait avoir mais qu'il n'en est rien. de part les mensonges de son grand-père Walter, elle apprend alors que sa vie est plus compliquée encore que ce qu'elle imaginait. Elle apprend plusieurs choses successives sur son père, un inconnu qui cherche à la tuer, le fait de se faire kidnapper et surtout l'existence de vampires, dont le fameux Lukas va savoir petit à petit l'apprivoiser. Maeve a en elle des dons incroyables dont elle n'a jamais supposé l'existence. Bref, tout ce qui fait un roman de « bit-lit ». Les personnages secondaires ne sont pas du tout exploiter pour le moment, l'auteure ne fait qu'effleurer tous ses personnages sans jamais approfondir leurs caractères. Tel que Elliot ou encore son amie Brianne (qui sera toujours superflu même dans la suite), les seuls qui en valent le coup est Lukas qui cherche une vengeance contre Victor, le grand méchant vampire. Sa souffrance est assez omniprésente et l'on cherche vraiment à savoir « pourquoi ? » est-il devenu le vampire aigri d'aujourd'hui. le second personnage est Connor, même si son identité était facile à deviner, il reste quand même intéressant de par son caractère et surtout l'éducation qu'il a subi par son papa chéri.

En conclusion, ce fut une lecture assez simpliste et sans réelles surprises ce qui est vraiment dommage. Malgré tout j'ai voulu lire à la suite, « Dent pour Dent », ce second opus me prouvera à quel point je m'étais trompé sur cette chère Maeve. Donc je le dis, ne vous fiez pas au premier tome !
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Une couverture hideuse peut cacher un roman plus qu'honnête, c'est la leçon à tirer de ma lecture du jour...
De la bit-lit suisse, voilà qui n'est pas commun. Mais Marika Gallman n'a pas à rougir face à l'armada américaine. elle maîtrise bien les motifs du genre et, si elle ne parvient pas à se débarrasser de tous les clichés, ce n'est pas primordial dans ce style particulier.
On adoptera ou on détestera d'emblée l'héroïne au caractère de cochon sauvage, mais force est de constater qu'elle donne un rythme admirable au roman. On se trouve toujours dans l'instantané, la surprise, l'émotionnel. Cela fatigue parfois mais au fur et à mesure de la lecture, les raisons en deviennent de plus en plus claires et le livre gagne en cohérence. Les personnages secondaires sont bien travaillés, avec des aspects creusés de toutes parts.
L'auteur maîtrise particulièrement le principe de faire souffrir les personnages auxquels le lecteur s'attache. elle parvient à le faire même avec les seconds couteaux, ce qui n'est pas toujours aisé.
Ilreste à mon sens des pistes sous-exploitées dans les thèmes de l'ouvrage, qui à mon sens le rendent trop léger, mais je parierai que cela s'arrange dans les tomes suivants...
Bref, à conseiller !

Après l'avoir dans ma PAL depuis un an, le voici enfin lu ! Et que dire, un livre qui peut être apprécié pour certains et détesté pour d'autres. En ce qui me concerne, j'ai été totalement sous le charme de ce que représente Maeve Regan.

Maeve, une jeune femme de 21 ans, est une héroïne pas comme les autres. On en connaît des héroïnes qui n'ont pas leur langue dans leur poche… Elles sont des chats, Maeve est le lion. le cliché de la jeune femme petite et sans défense est remis en cause. Petite, certes, mais loin d'être sans défenses. Bien qu'elle soit impulsive et confiante, elle peut aussi parfois nous déplaire. Derrière ces aspects, on découvre un personnage qui s'est construit une carapace autour de ses sentiments. Toute sa vie, elle s'est forgé le caractère d'une jeune femme déterminée et qui n'a peur de rien. Cette carapace qui va peu à peu se fissurer face à des épreuves, des événements qu'elle ne soupçonnait pas.

Le livre commence alors que celle-ci est une étudiante en lettre, aime sortir en boîte de nuit afin de se trouver un homme pour la nuit. Assumant ce qu'elle est, cela ne la dérange pas. Ce qui n'est pas le cas de ses amis. Alors qu'un soir elle ramène une de ses conquêtes, l'ayant déjà rencontré dans une autre de ses soirées, celle-ci se retrouve kidnappée dans son propre appartement. de plus, le kidnappeur n'est autre que sa conquête du soir, Lukas. Ce soir-là, sa vie change du tout au tout.

Marika Gallman maîtrise avec brio son histoire. Bien que le genre vampirique ne respire pas l'originalité, l'auteure nous présente celle-ci avec humour et diversité, notamment avec les personnages. Elle ajoute sa touche personnelle au style vampirique de manière inattendue à travers Maeve elle-même. Sa manière d'écrire, entre le populaire et le soutenu, nous entraîne instantanément dans le monde de Maeve Regan.

Un premier volume étonnant qui réunis les ingrédients d'un Bit-Lit digne de ce nom. L'auteure nous prouve que ce genre n'appartient pas qu'aux auteurs outre-atlantique à travers une originalité d'une héroïne qu'on peut à la fois aimé et détesté, d'une dimension fantastique inattendue. Une lecture qui ne manque pas de mordant.
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