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sur 6899 notes
En voilà une histoire originale, contrairement au résumé qu'on pourrait en faire, à savoir : « Les vies et les morts des Buendia à Macondo ». (Buendia est un nom de famille et Macondo est le nom d'un village en Colombie.) Synthétisé à son maximum, ça ne détonne pas puisqu'on en déduit seulement que le décor est étriqué. Et encore, il ne laisse pas présumer combien les générations qui se succèdent réitèrent les mêmes monomanies...
Et pourtant, cette histoire est originale parce qu'elle est garnie à foison de choses et d'autres, et est digne d'une totale attention de la part de son lecteur. Chose étonnante dans mon cas puisque, en règle générale, les récits qui ne s'embarrassent pas du réalisme ne la capte pas, mon attention.
Je crois que c'est avant tout le ton employé qui m'a réjouie. Ce ton qui m'a fait prendre l'obsession du premier Buendia pour de la loufoquerie, et les obsessions des suivants pour de la naïveté, de la témérité, de l'ignorance, de l'égoïsme, de la passion, de l'atavisme, de la fatalité. Ce ton qui peut à la fois faire sourire et faire grimacer. À la fois raconter des futilités et raconter des actes lourds de sens. J'ai commencé ma lecture en ricanant, je l'ai finie le bec cloué...
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Le bien membré José Arcadio, abandonnant son nouveau né Arcadio à son père José Arcadio Buendia quitta son hameau de Macondo en compagnie des gitans, ne pensant jamais y revenir, de même que je ne pense pas revenir à la prose de Marquez...

Cet empilement baroque, sans finesse et sans chaleur, d'histoires d'amour, de consanguinité, de compagnies bananières, de pots de chambres, de révolutions libérales et syndicales avec leur cortège de tyrans et de morts violentes ne m'a pas séduit.
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Cela faisait longtemps que je voulais me plonger dans les "Cent ans de solitude" du prix Nobel Garcia Marquez. Pourtant ses précédents livres ne m'avaient pas vraiment emballé. Mais j'ai bien fait de persévérer... L'action se situe dans le petit village colombien de Macondo, où s'installent José et Ursula après avoir fui leurs familles. Car José et Ursula sont cousins, et menacés pour la peine d'avoir un enfant avec une queue de cochon ! le livre raconte leur histoire et celles de leurs descendants, jusqu'à ce qu'effectivement la prophétie se réalise... Il est injuste de réduire ce grand roman à cette simple histoire, tant le livre foisonne de vie, de magie et d'humanité. C'est un vrai tourbillon avec des personnages hauts en couleurs, qui aborde aussi bien les petits tracas de la vie que les grandes questions (comment faire des petits poissons en or versus la dictature en Amérique Latine). D'ailleurs je trouve qu'il porte bien mal son titre. Bref, ce livre ne ressemble à aucun autre, mais vous transportera bien loin !
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Cela faisait bien longtemps que j'avais l'intention de lire Gabriel Garcia Marquez et en particulier Cent ans de solitude… mais vous savez ce que c'est… des envies de lecture, on en a plein, plein… et on ne peut pas tout lire d'un coup… et puis voilà que cet immense écrivain meurt… et là je me dis, c'est « l'occasion », il te faut le lire… et dès le lendemain de son décès, une amie me prête Cent ans de solitude… les dés en étaient jetés, j'étais partie dans la belle aventure de la découverte et de la lecture plaisir de ce très beau roman qui nous raconte la destinée incroyable de la famille Buendia et de la fondation et du déclin du village de Macondo. Dès les premiers mots, j'ai ressenti la même sensation que j'avais eu en lisant, il y a déjà bien longtemps, pour la première fois Isabel Allende et sa maison aux esprits… une belle claque ! Une claque positive…. une entrée dans une écriture différente, une mentalité, une façon de voir la vie, différentes…. là le merveilleux ou plutôt l'imaginaire côtoie la réalité, sans aucune frontière, pareil pour les morts et les vivants…. les morts reviennent discuter tout naturellement avec les vivants… les personnages de cette famille sont très particuliers, vivent très longtemps, surtout pour certains, certaines comme l'un des piliers de cette famille et de ce roman, Ursula, la mère, grand-mère, arrière grand-mère etc. Tous les personnages se mêlent et s'entremêlent… beaucoup se « mariant » en famille, avec une tante, une demi-soeur, une cousine… sans savoir toujours qui est qui…. les prénoms également se mélangent et changent peu…. on mixe allégrement, Aureliano, José Arcadio, Amarantha, Ursula, etc.
Ce roman « raconte » aussi au travers la famille Buendia l'Histoire et les légendes de ce pays… bien sûr pas chronologiquement, pas de manière purement historique, mais en « décalé », imagé… perso je ne connais pas assez, pour avoir tout reconnu, mais je sais, pour l'avoir lu qu'un très bel épisode dramatique du livre qui relate le massacre de plus de 3.000 personnes, des travailleurs en grève de l'industrie bananière et de leurs familles, et surtout aussi le silence et le déni de la version officielle, fait allusion à un épisode réel…. Je me permets de mettre ici un extrait de l'article « DÉCÈS DE GARCÍA MÁRQUEZ Relire "Cent ans de solitude" » écrit par l'écrivain colombien Juan Gabriel Vásquez paru dans le journal le courrier international. http://www.courrierinternational.com/article/2014/04/18/relire-cent-ans-de-solitude?page=all
« L'un de ces romans est bien entendu Cent Ans de solitude. Et pour illustrer, ne serait-ce que sommairement, la belle insolence avec laquelle ce type de roman affronte le monstre de l'Histoire, il n'y a pas de meilleur épisode de l'histoire colombienne que le massacre des plantations bananières, survenu le 6 décembre 1928. Peut-être connaissez-vous dans les grandes lignes ce qui s'est passé ce jour-là : la United Fruit Company, entreprise américaine qui exploitait depuis le début du XXe siècle les plantations de bananes de la côte Caraïbe, le faisait dans un mépris total du droit du travail colombien, et à maintes reprises ses milliers de salariés avaient menacé de faire grève. le 5 décembre, la rumeur court parmi les travailleurs que le gouverneur du département du Magdalena se rendra au village le lendemain pour entendre leurs doléances.
Une foule anxieuse se rassemble à la gare et refuse de se disperser malgré la décision du chef militaire de la province, le général Cortés Vargas, qui a interdit tout rassemblement de plus de trois personnes, annonçant qu'il n'hésiterait pas à faire tirer sur la foule si nécessaire. Les militaires donnent aux ouvriers cinq minutes pour se disperser, après quoi ils se mettent à tirer au hasard. le général Cortés Vargas reconnaîtra les faits, les justifiera au nom du maintien de l'ordre public et déplorera la mort de neuf manifestants. Peu après, l'ambassadeur des Etats-Unis parlera de cent morts, puis de cinq cents ou six cents, et, dans un rapport remis au département d'Etat, il finit par parler de plus de mille. On n'a jamais su le chiffre exact, mais les faits de cette journée, et surtout l'impossibilité de confirmer la vérité historique, sont restés gravés dans la mémoire culturelle colombienne. le caricaturiste Ricardo Rendón les a immortalisés dans la presse nationale, un grand romancier, Alvaro Cepeda Samudio, leur a consacré un roman entier, La Casa grande, puis García Márquez les a explorés dans l'un des meilleurs chapitres de Cent Ans de solitude ».
Voilà… je trouve qu'il était important de souligner, que ce roman va bien au-delà du « simple » merveilleux…
Bref, ce gros livre m'a paru encore trop rapide tellement j'ai pris plaisir à le lire, …. Alors si vous ne l'avez pas encore lu, n'attendez plus !
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C'est la couverture avec le perroquet qui m'a donné envie de découvrir ce classique de la littérature colombienne. Je connais ce roman de nom mais je ne sais même pas quel est son résumé. Cet audio semble être en deux parties dont la première fait 9h.

Le début m'intriguait mais j'ai vite déchanté. C'est foisonnant de détails en tous genres sur les habitants, les personnages principaux, la jungle alentour, les expériences farfelues du père, etc. À la fin de la 1ère partie, je pensais que l'histoire allait enfin se lancer. Que nenni !! Nous avons même un mélange passé et présent où les noms se mélangent pour mon plus grand désarroi, surtout ceux de la famille principale où le père et le fils aîné se nomment de la même façon et qu'on a l'ensemble du nom en 3 parties à chaque fois… Cette répétition commençait à bien m'énerver. Finalement, j'ai écouté la seconde partie sans en retenir grand-chose et sans vraiment comprendre le but de ce roman. Cent ans de solitude… certes… mais aussi pour le lecteur qui, comme moi, ne pige rien à l'histoire. Dommage car le début m'intriguait avec la douce folie du père et se expérimentations qui me tiraient des sourires.

Comme vous l'aurez compris, cet ouvrage n'est pas une réussite pour moi, je suis finalement assez déçue de la découverte et je l'ai abandonné au bout de 2h d'écoute. J'ai testé pour ma curiosité littéraire mais malheureusement, cette littérature ne m'est pas accessible. Je vous conseille néanmoins de le découvrir pour vous en faire votre propre avis. Pour ma part, je continue malgré tout à écouter différents livres que je n'aurais peut-être pas pris en format papier.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Macondo était au commencement un village, un simple village implanté en plein coeur de la forêt amazonienne.
Fondé par des membres de la famille Buendia, José Arcadio et Ursula, leur maison se trouvait au milieu du village, ouverte à tous. On y trouvait un atelier, une cuisine, des chambres bien sûr, et au milieu de la cour, un châtaignier.
S'y sont succédé plusieurs générations, des Aureliano, des José Arcadio, ou des Arcadio tout court ; de même que des Ursula, des Amaranta, des Remedios, contribuant ainsi à écrire une histoire de près de 100 ans...

À moins, attendez… À moins qu'il ne s'agisse là en vérité de l'histoire d'une seule et même personne, modelée et traversée elle-même par l'histoire de ce village de Macondo, qui grandit, s'étend, subit la guerre, connaît l'essor de l'industrie pour finalement sombrer dans une forme d'oubli… Un personnage dont on nous dévoilerait les multiples facettes : immature, joyeux, rêveur, bagarreur, inventif, généreux, cultivé, social et bourru, fou…au fil de son histoire propre.

Comment savoir ?

Cent ans de solitude est un de ces rares romans où chaque lecture et relecture sera une découverte et une re-découverte, où chaque lecteur trouvera une partie de lui-même tout en découvrant des aspects de l'âme humaine qu'il ne soupçonnait pas.

C'est un livre onirique, où l'esprit de l'auteur s'amuse de tout, par énigmes, mais cependant avec une grande universalité. Jouant tour à tour avec les registres comique et tragique, de l'ennui ou de la passion, il nous bouscule dans cette histoire incroyable à dormir debout.

C'est une oeuvre où le temps est comme distordu, où parfois il s'arrête et se fige, ou bien au contraire, il file à une vitesse telle qu'on ne l'a pas vu passer. Ce temps frivole n'a pas prise sur les personnages et parfois même les oublie, à moins qu'il ne s'agisse là d'une facétie du magicien Melquiades...

C'est le récit de la mémoire à l'épreuve, où peuvent s'opposer l'oubli (accidentel ou volontaire) au devoir de mémoire comme une épreuve de force. L'épisode de la « peste de l'insomnie » qui terrasse le village et ses habitants dans une perte de mémoire totale est terrible, tout autant que l'histoire de la petite jeune Rebecca qui transporte les ossements de ses parents dans sa sacoche, dans un ultime effort de remémoration d'identité.

C'est enfin la narration de la difficulté d'être, dans la filiation, dans le couple, dans la fraternité ou la sororité, dans sa condition d'homme ou de femme. Plus encore, il y est question de désirs, assouvis ou non, du consentement, du bonheur, et de fatalité...

Cent ans de solitude, c'est tout ça et plus encore pour moi, indéfinissable et magnifiquement troublant, au « réalisme magique » auquel je n'ai su résister, au réalisme psychologique incroyablement restitué, au réalisme sociologique parfois violent, voire révoltant.

Une lecture exigeante mais riche, qui ne peut laisser indifférent, et dont les dernières pages confinent simplement au sublime…
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Deuxième tentative, après une lamentable mise de côté l'année dernière – je pensais simplement ne pas être dans le bon état d'esprit pour découvrir ce classique de la littérature latino-américaine -, qui m'a cette fois permis de terminer Cent ans de solitude, malgré tout avec peine.

Je ne dénie pas une certaine qualité narrative pour nous conter les cent ans de solitude de la famille Buendia, que nous suivons de génération en génération dans le village de Macondo, village créé justement par José Arcadio Buendia et sa femme Ursula, mais j'y suis restée entièrement hermétique. Peut-être est-ce parce que je m'attendais à quelque chose de beaucoup plus novateur, alors que ce roman n'est finalement, à mon sens, qu'un simple prolongement des récits merveilleux écrits avant lui, avec des personnages assez typiques, un récit narré de manière assez caractéristique également, même si l'incipit surprend agréablement – mais cela ne dure pas -, des situations courues d'avance… Cette fresque familiale, qui nous fait évoluer à travers l'histoire de la Colombie, malgré son caractère foncièrement mythique et merveilleux, ne m'a donc pas du tout entraînée avec elle. Tant pis…
Lien : http://lartetletreblog.com/2..
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Ce livre est vraiment quelque chose d'unique, je ne vois pas vraiment à quoi je pourrais le comparer. C'est un récit complètement débridé, foisonnant, qui semble ne jamais pouvoir s'arrêter. Les personnages sont bien campés au départ, mais j'avoue qu'au bout d'un moment j'ai commencé à mélanger les Arcadio et les Aureliano, à ne plus vraiment savoir qui est la mère de qui, qui a quitté la scène, mais ne va pas tarder à reparaître… Et c'est magique, car je ne me suis pas lassé : il semble qu'on soit dans un monde clos où il finira bien par ne plus rien se passer de nouveau, mais l'auteur, comme dans une série télévisée à rallonges, fait entrer de nouveaux personnages, ou revenir des anciens, avec un extraordinaire talent de conteur. Tout cela est saupoudré d'un humour subtil, qui pointe au moment où on ne l'attend pas, c'est de la cuisine tex-mex subtilement épicée.
Si on prend le domaine de la peinture, ce livre serait pour moi comparable à un tableau de Frida Kahlo, avec des personnages à la fois naïfs et nimbés de mystère.
J'ai trouvé dans ce livre une vraie pépite, une fameuse phrase relatant les récriminations de Fernanda, et qui s'étire sur trois pages ! Je pense (mais je ne l'ai pas vérifié) que notre Proust national est battu ! J'ai choisi cette phrase comme citation, avant de m'apercevoir que Gwen21 l'avait déjà fait… mais comme j'ai eu beaucoup de peine à la copier, je l'enregistre quand même, pardon Gwen, en ajoutant la réponse d'Aureliano le Second qui, à mon avis, la complète parfaitement. Quel régal !
Voilà un livre à garder à portée de main, pour le picorer de temps en temps comme des « nacho chips » ou des tapas !
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Pfiouuuuuu, j'ai enfin lu ce monument qu'est Cent ans de solitude de Gabriel Garcia Marquez.

Déjà, revenons sur le titre du roman que j'ai pour ma part toujours trouvé très beau et poétique; après l'avoir lu, je trouve qu'il le porte bien.

La lecture ne fut pas aisée, les cinquantes premières pages furent même longues et douloureuses, à tel point que je suis venue regarder les avis sur Babelio, notamment ceux qui n'avaient pas aimé ce livre, pour peut-être me sentir moins seule. Ensuite, j'ai lu d'autres critiques, plus enthousiastes, notamment une qui disait qu'il fallait lui laisser une chance et essayer de se laisser aller dans cette lecture. Ce que j'ai fait et ce fut nettement mieux.

Cent ans de solitude ou la saga familiale de la famille Buendia dans le village imaginaire de Macondo. Je ne m'attendais pas à une saga traditionnelle où l'on suit les péripéties d'une famille de génération en génération mais là je fus servie. Il n'est pas toujours facile de s'y retrouver, les personnages portant les mêmes prénoms de père en fils et de mère en fille, mais avec un peu de concentration, on se repère.

Ce n'est pas toujours très moral - oh ça non! - et j'ai lu davantage ce livre comme un conte, voire parfois un conte d'avertissement comme l'étaient à la base les contes de Perrault, de ce que peuvent donner l'autarcie, la violence, la dictature, la consanguinité et j'en passe.

Ce roman ne deviendra pas LE roman de ma vie, le réalisme magique ou merveilleux n'est pas ma tasse de thé, mais je comprends qu'il puisse l'être pour d'autres personnes. Ce qui est sûr est que je ne suis pas prête de l'oublier.
Je relirai certainement un autre roman de Gabriel Garcia Marquez, mais pas dans l'immédiat (L'amour au temps du choléra - autre titre que je trouve sublime - me tentera bien un jour ou l'autre).

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Une semaine de lecture solitaire pour Cent ans de solitude. Un roman fleuve, une fresque d'un siècle quelque part en Amérique du sud, à une époque que je ne parviens pas bien à dater, couper du monde, hors du temps, et pourtant très riche en personnages qui se croisent. Une difficulté majeure : rester bien concentrée pour suivre les péripéties de tous ces personnages centraux, qui appartiennent tous à la même famille, avec les mêmes prénoms. Les José, Auréliano et Arcadio se combinent sous toutes les formes, les traits de caractères se retrouvent d'une génération sur l'autre, j'ai eu tendance à m'y perdre. Mais après tout, ce n'est pas grave. Laissons-nous porter sans trop se poser de question.
Cent ans de solitude retrace sur plusieurs générations la vie du village de Macondo, village crée ex-nihilo par un couple banni et des villageois qui l'ont suivi. le village s'étend, grandit, connait des guerres, des crises, et meurent. La famille se reproduit, s'agrandit, et pendant longtemps il n'y eu pas de mort à Macondo, à l'écart du monde. Les personnages ont beaucoup de présence, les caractères sont forts.
L'invraisemblable, le surnaturel et le merveilleux ont leur place, les fantômes sont bien vivants, les péripéties rocambolesques, l'inceste se vit de façon naturelle. Qu'est-ce qui lie tous les membres de cette nombreuse famille aux vies si longues ? le destin, qui les ramène toujours à Macondo, dans la maison de José Arcadio et Ursula, le destin provoqué par l'union de ce couple consanguin.
Alors ne cherchez pas le rationnel, laissez-vous porter par cette épopée familiale dont je n'ai trouvé aucun équivalent dans la littérature.
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