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sur 1422 notes
Elles ont le don, mes lectures d'Anna Gavalda, de faire s'alterner, là, tout au fond de ma gorge, un rire rauque et lancinant et une boule indéfinissable qui me pique les yeux.

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J'ai acheté ce livre parce que ma fille l'a lu l'an dernier au CM1 et elle avait beaucoup aimé. de mon côté, je l'avais vaguement feuilleté sans avoir le temps de me pencher davantage dessus, donc quand je l'ai trouvé d'occasion, je n'ai pas hésité une seule seconde à le prendre.
J'ai été plutôt surprise par cette lecture… agréablement surprise. Je m'attendais à ce qu'il soit un peu plus gai, plus léger.

Grégoire rencontre énormément de difficultés à l'école, principalement parce qu'il déteste cela, donc il ne fait aucun effort, est rapidement découragé à la moindre difficulté. Il est plus manuel qu'intellectuel, le souci est qu'aucune des filières susceptibles de l'intéressé ne sont disponible à cet âge-là. de plus, les relations entre ses parents sont tendus, ils cherchent le moindre prétexte pour se disputer. Seul son grand-père est son allié… jusqu'à un certain point.

J'ai beaucoup aimé le personnage principal, il est totalement perdu dans le cursus scolaire traditionnel qu'il subit et on ne peut pas s'empêcher de s'y attacher. J'ai trouvé que ce qu'il vit est très réaliste. Combien d'élèves se retrouvent dans sa situation : à ne pas savoir quoi faire plus tard, à ne pas se sentir à l'aise dans l'école classique ?
Je me suis en partie reconnue dans le personnage de Grégoire, j'ai reconnu un peu de mes enfants également. C'est peut-être la raison pour laquelle j'ai tant aimé cette lecture.
C'est un coup de coeur pour ce roman.
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Cette histoire me plait assez car le personnage me ressemble sur la passion du bricolage. l'histoire est drôle et assez émouvante. c'est aussi un livre adapté à mon âge

Raphaël (5e)


J'ai adoré parce qu'il était écrit gros et qu'on se reconnait dans le personnage.

Rapahël (6e)


J'ai bien aimé car je me suis reconnu dans le petit garçon. C'est drôle et triste à la fois, je le conseille à tout le monde

Ethan (5e)
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Livre très touchant.

On y découvre un jeune garçon, Grégoire qui n'aime pas l'école et ce depuis la maternelle. Grégoire aime bricoler, construire des choses de ses mains, imaginer et dessiner les plans de drôles de machines comme l'éplucheuse de bananes. Il aime par dessus tout son grand père Grand Léon, un grand bricoleur.
A l'école, Grégoire souffre. Rien ne rentre. Il redouble le Ce2 puis la 6ème. Ses parents se déchirent.
Heureusement, Grand Léon est de bons conseils et incite Grégoire à trouver sa voie.

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Ce roman est devenu un incontournable de la littérature jeunesse et c'était un vrai plaisir de le relire !
Grégoire a été traumatisé par l'école dès le premier jour de maternelle ("Ça ne m'intéresse pas.") et depuis, tout ce qui s'y passe "c'est comme si c'était du chinois pour moi". Constamment en échec, il considère que "il ne vaut rien" parce qu'il est "toujours le dernier, toujours le gros débile de service". Sa détresse est extrêmement touchante.

Par contre lorsqu'il est avec son grand-père dans son cagibi, il est "le plus heureux au monde". Car il y a un domaine où Grégoire est "doué quand même" : c'est pour bricoler. Et ça aussi, c'est depuis tout petit. Sa maîtresse Marie, la seule de toute sa scolarité qui "ne me saquait pas", avait bien remarqué cette capacité à passer "des heures à mettre au point et à décorer" des objets de toutes sortes. D'ailleurs "elle disait qu'une journée réussie était une journée où l'on avait produit quelque chose". Au milieu des outils, Grégoire se sent enfin "un tout petit peu utile". le cagibi est son "refuge" et Grand-Léon le seul qui le comprenne vraiment. Il sait trouver les bons mots ("Si tes parents se disputent, ce n'est pas à cause de toi."), adopter la bonne attitude, entre réconfort et exigence.

Alors quand son petit-fils passe de cancre à pitre et se fait renvoyer, Grand-Léon juge son comportement inadmissible : "C'est plus facile de se dire qu'on est nul et ne rien faire !". Il l'encourage à se battre au lieu de capituler : "Fais ce qu'il faut pour être heureux !". Il faudra cependant qu'un terrible événement survienne pour que la situation se débloque enfin. Réalisant que Grand-Léon "était la personne que j'aimais le plus au monde", Grégoire laisse exprimer cette affection profonde et émouvante, et décide de "le faire pour toi". Complices malgré la distance, grand-père et petit-fils vont se donner mutuellement la force de lutter. Et c'est un nouveau Grégoire qui ressortira de cette épreuve : "Déterminé. Teigneux. Inflexible."
Lien : https://www.takalirsa.fr/35-..
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Très beau livre pour les enfants, les faire réfléchir sur pourquoi aller à l'école. Pour les adultes, comprendre la peur de l'école que peuvent avoir les enfants. Comment y remédier. Ne pas catégoriser les enfants en difficulté. Histoire qui ne laisse pas indifférent
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J'ai aimé ce livre car le personnage principal est très triste , car son grand père va bientôt mourir , mais son petit fils va tout donner du courage,de la force,et de l amour dans ses pensees.♥
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Sortez les mouchoirs T_T! Ce livre est génial, bien qu'émouvant.
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C'est un tout petit livre. du genre lu en 1h (ou moins). Mais qui est plein d'émotions : tristesse, colère, abandon, désespoir... tout ça dans un garçon de 13 ans, très sensible, qui hait, à juste titre ici, l'école. Mais qui adore bricoler. Et ne sait pas comment concilier les 2. Sans compter que ses parents ne l'aident pas beaucoup. Heureusement son grand-père est là... Mais il tombe malade...
Franchement, les adultes n'ont pas le beau rôle, et l'école encore moins. En même temps, aucun d'eux en cherchent à dialoguer avec lui, à savoir pourquoi ça ne marche pas, ce qu'il aime... C'est assez dingue d'ailleurs que ses parents ne le sachent pas, vu qu'il bricole partout et qu'il essaye d'améliorer matériellement leur vie.
La route sera longue avant qu'il ne trouve un interlocuteur qui le comprenne, qui comprenne de quoi il est capable. Et à ce moment, il va mieux à l'école, même s'il reste lanterne rouge. Mais au moins, il ne va plus en cours à reculons.
C'est un roman qui permet aussi de comprendre que les élèves ne déposent pas le poids de leur vie privée à l'entrée de l'école, comme on le leur demande. Mais l'ambiance délétère, la non communication et les cris des parents, la maladie,... tout cela jouent sur les capacités cognitives (rien que parce que le narrateur y pense tout le temps) et tout le reste en fait. Et c'est finalement le cercle vicieux : sa situation personnelle est difficile, ce qui rend quasi impossible l'école, ce qui sa situation personnelle difficile...
Mais à partir du moment où il trouve sa place, une amélioration se dessine...
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