Cette histoire me plait assez car le personnage me ressemble sur la passion du bricolage. l'histoire est drôle et assez émouvante. c'est aussi un livre adapté à mon âge
Raphaël (5e)
J'ai adoré parce qu'il était écrit gros et qu'on se reconnait dans le personnage.
Rapahël (6e)
J'ai bien aimé car je me suis reconnu dans le petit garçon. C'est drôle et triste à la fois, je le conseille à tout le monde
Ethan (5e)
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Livre très touchant.
On y découvre un jeune garçon, Grégoire qui n'aime pas l'école et ce depuis la maternelle. Grégoire aime bricoler, construire des choses de ses mains, imaginer et dessiner les plans de drôles de machines comme l'éplucheuse de bananes. Il aime par dessus tout son grand père Grand Léon, un grand bricoleur.
A l'école, Grégoire souffre. Rien ne rentre. Il redouble le Ce2 puis la 6ème. Ses parents se déchirent.
Heureusement, Grand Léon est de bons conseils et incite Grégoire à trouver sa voie.
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Très beau livre pour les enfants, les faire réfléchir sur pourquoi aller à l'école. Pour les adultes, comprendre la peur de l'école que peuvent avoir les enfants. Comment y remédier. Ne pas catégoriser les enfants en difficulté. Histoire qui ne laisse pas indifférent
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J'ai aimé ce livre car le personnage principal est très triste , car son grand père va bientôt mourir , mais son petit fils va tout donner du courage,de la force,et de l amour dans ses pensees.♥
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Sortez les mouchoirs T_T! Ce livre est génial, bien qu'émouvant.
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C'est un tout petit livre. du genre lu en 1h (ou moins). Mais qui est plein d'émotions : tristesse, colère, abandon, désespoir... tout ça dans un garçon de 13 ans, très sensible, qui hait, à juste titre ici, l'école. Mais qui adore bricoler. Et ne sait pas comment concilier les 2. Sans compter que ses parents ne l'aident pas beaucoup. Heureusement son grand-père est là... Mais il tombe malade...
Franchement, les adultes n'ont pas le beau rôle, et l'école encore moins. En même temps, aucun d'eux en cherchent à dialoguer avec lui, à savoir pourquoi ça ne marche pas, ce qu'il aime... C'est assez dingue d'ailleurs que ses parents ne le sachent pas, vu qu'il bricole partout et qu'il essaye d'améliorer matériellement leur vie.
La route sera longue avant qu'il ne trouve un interlocuteur qui le comprenne, qui comprenne de quoi il est capable. Et à ce moment, il va mieux à l'école, même s'il reste lanterne rouge. Mais au moins, il ne va plus en cours à reculons.
C'est un roman qui permet aussi de comprendre que les élèves ne déposent pas le poids de leur vie privée à l'entrée de l'école, comme on le leur demande. Mais l'ambiance délétère, la non communication et les cris des parents, la maladie,... tout cela jouent sur les capacités cognitives (rien que parce que le narrateur y pense tout le temps) et tout le reste en fait. Et c'est finalement le cercle vicieux : sa situation personnelle est difficile, ce qui rend quasi impossible l'école, ce qui sa situation personnelle difficile...
Mais à partir du moment où il trouve sa place, une amélioration se dessine...
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