35 kilos d'espoir

Lu pour aider mon fils pour ses devoirs .
Ce livre montre bien que le système scolaire classique n'est pas adapté à tous les enfants !
Le personnage n'aime pas l'école notamment parce qu'il n'y arrive pas, pour autant il est doué pour créer inventer des choses, il a d'ailleurs l'espoir d'intégrer un lycée technique.
Il est incompris par les adultes surtout par ses parents mais heureusement il y a son grand-père Léon qui va le motiver à dépasser ses limites … pour le sauver a distance

Lu en 2017. Un récit touchant (cible : à partir de 9 ans) qui parle de phobie scolaire et de relations familiales difficiles, de manque de confiance en soi et de la difficulté de grandir.
Grégoire n'aime pas l'école, et cela depuis le premier jour. Une véritable douleur, une terrible angoisse, une vraie souffrance...

Lu dans sa version audio, ce roman ne m'a guère convaincue et je crois que j'aurais davantage apprécié de le lire directement en version papier… Selon moi le ton est trop monotone et surtout bien trop rapide pour laisser s'exprimer les diverses émotions.
J'ai du mal à m'identifier au personnage car pour ma part j'ai toujours aimé l'Ecole, et j'aime encore et toujours apprendre ! J'ai trouvé les idées parfois assez simplistes, tout n'est pas tout blanc ou tout noir dans la vie. Il y a souvent des nuances de gris qui s'entremêlent.
Une lecture assez décevante.

Ce livre parle d'un garçon de 13 ans, Grégoire. Il a redoublé le CE2 et la 6ème. Grégoire est très fusionnel avec son grand-père. Tous les deux sont créatifs et fabriquent de tous avec leurs mains. Tout va bien jusqu'au jour où Léon son grand-père tombe gravement malade. J'ai adoré ce livre ! Tout est bien: chaque détail est bien pensé. Je recommande énormément ! C'est mon coup de coeur !

Ce roman est sorti en 2002. Et je le trouve toujours autant d'actualité ! C'est à la fois impressionnant et triste.

Grégoire déteste l'école. Il n'y comprend rien. Il ne s'y plait pas. Pour lui, c'est du chinois et ça ne sert à rien. D'ailleurs, il a déjà doublé deux fois. Ce qu'il aime, Grégoire, c'est de construire des choses. Utiliser ses mains. Réparer les machines...

Ça m'énerveeeeee que de nos jours l'école soit toujours une source de souffrance pour les jeunes. Les études manuelles sont rabaissées au profit des cours théoriques. Si un.e ado décide de s'orienter vers un cursus scolaire manuel, iel se voit coincé.e dans une école avec moins de moyens qu'une école élitiste.

J'ai été prof dans le secondaire à plusieurs reprises pendant ma carrière professionnelle. J'ai vu la différence entre les élèves dit "intelligents" et "les autres". J'ai été chargée d'une classe que les autres professeurs décrivaient comme la classe "poubelle". Des élèves qui avaient des capacités mais qui n'en touchaient pas une. Alors on les mettait tous dans la même classe dans une option "sociale". Parmi ces jeunes, certains avaient choisi cette option car ils avaient des projets futurs. Mais pour les autres, parqués là faute de savoir quoi en faire, la motivation était proche de -10. Stimuler cette classe était une gageure.

Si l'école était plus adaptée aux profils des élèves au lieu de vouloir faire coïncider les élèves à l'école, ces classes poubelles n'existeraient pas. Heureusement, en primaire, on voit de plus en plus de la pédagogie adaptée avec des locaux flexibles. Petit à petit, la mentalité change. Je fais le voeu que l'école devienne un lieu d'épanouissement et non plus une corvée.

Oui ce roman est un réel coup de coeur pour moi et je ne me lasse pas de le faire découvrir à mes élèves dès la rentrée en septembre. Ils sont tellement surpris que la maîtresse leur fasse lire un livre racontant l'histoire d'un enfant qui déteste l'école ! Ce roman est une véritable « mine d'or » pour un professeur car il permet de travailler de nombreux aspects de la langue française : la compréhension d'un texte (l'implicite et l'explicite) mais aussi les niveaux de langue car Grégoire ne s'exprime par toujours de manière très correcte dans son journal intime … et ça plaît énormément aux enfants ! Il permet également de mettre en valeur les enfants qui ne sont pas « très doués » en maths et en français mais qui ont tellement d'autres talents ! Souvent, « 35 kilos d'espoir » me permet d'instaurer un climat de confiance et de bienveillance entre les élèves et la maîtresse. Enfin, j'apprécie particulièrement les romans qui traitent des liens intergénérationnels … et comment ne pas succomber à cet amour inconditionnel qui lie Grégoire à son Grand Léon. Cette année, mes élèves ont décidé d'envoyé une lettre à Anna Gavalda afin de lui demander d'écrire une suite et ils espèrent très fort qu'elle leur répondra…

J'ai lu ce livre rapidement car la narration est conçue ainsi : de petits paragraphes qui s'enchaînent rapidement.
L'histoire est racontée par Grégoire un adolescent de 13 ans qui a déjà redoublé 2 fois en sixième. L'histoire est simple et émouvante.
Grégoire déteste l'école mais l'école (le système) le lui rend bien. Ces parents sont perdus d'autant qu'ils ont aussi mais problèmes notamment de couples.
Heureusement que le grand-père de Grégoire est son roc, ils sont différents mais se comprennent jusqu'à ce que...

J'ai eu les larmes aux yeux à la lecture de certains passages, un vrai roman qui m'a prise aux tripes.
J'ai beaucoup aimé cette manière de traiter de tant de sujets en si peu de mots. C'est du talent! On y croit, on est ému, c'est tendre, violent, réaliste.
J'ai retrouvé un peu le style de Ensemble c'est tout.

Petit livre sans prétention qui se lit très vite. On s'attache à Grégoire et Grand Léon. J'avais beaucoup entendu parler de livre, sans jamais l'avoir parcouru. Et puis mon fils a dû le lire pour l'école. Beaucoup d'émotion, car le grand père de mon fils, mon père vient de disparaitre. Mon fils n'a pas aimé. Moi oui. Tout finit bien peut être qu'il l'appreciera dans quelques années.

Ce livre desttné aux jeunes, nous dresse le portrait d'un adolescent absolument hostile à l'école et aux matières qui s'y donnent, cours de sport compris. Il a déjà deux ans de retard et seuls les travaux chez son grand père l'intéressent, il a un don pour ces travaux dans l'établi. Comment va-t-il évoluer ?

Le personnage de son grand père est attachant, c'est avec lui qu'il retrouve de l'allant.

L'autrice, Anne Gavalda, permet à son jeune public de s'interroger tant sur l'école que sur la vertu de persévérance et de dépassement de soi.

Lu avec mon fils de 8 ans.
Roman encourageant et bienveillant : Grégoire est nul à l'école, seul son grand-père croit en lui. Comme tous les enfants, Grégoire pense que c'est sa faute et la faute de sa nullité si ses parents s'engueulent tout le temps.
La spirale descendante semble inéluctable, quand soudain son papy est hospitalisé.
Grégoire conclut un pacte qui va le pousser à se sortir de la fatalité et qui le conduira dans une voie qui lui ressemble.
A mettre entre les mains de tous les enfants.