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Citations sur Ce que tu as fait de moi (229)

Pas âme qui vive au coeur de cette nuit sans lune. Pas étonnant avec ce froid à vous geler les canalisations! Seulement quelques fenêtres éclairées, carrés de feu au milieu des immenses blocs de béton.
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"J'aimais deux femmes, d'un amour différent.
L'un était rassurant ; l'autre violent, effrayant.
L'un était vital ; l'autre létal.
J'aimais deux femmes.
L'une était une drogue douce ; l'autre une drogue dure.
L'une était ma vie.
L'autre serait ma mort." (p. 327)
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J'aimais deux femmes, d'un amour différent.
L'un était rassurant; l'autre violent, effrayant.
L'un était vital; l'autre létal.
J'aimais deux femmes.
L'une était une drogue douce; l'autre une drogue dure.
L'une était ma vie.
L'autre serait ma mort.
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«  —— Plus assez d’alcool dans mon sang , Richard s’est échoué sur la banquise .
Il s’est rhabillé en silence et m’a embrassée.
Avant de m’abandonner comme on se détourne du cadavre de sa victime juste après le crime » …..
———Vous savez, Commandant, je crois qu’il y a des sentiments qu’on ne peut classer ni dans la haine ni dans l’amour » …..
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J'ai tout à coup réalisé que nous n'étions pas là pour parler boulot ou faire connaissance, comme il l'avait prétendu.
Il voulait me sauter, voilà la vérité.
Parce que je suis une femme, parce que je venais d'arriver, parce qu'il avait du pouvoir.
Ça m'a fait mal.
C'est vrai que ça peut paraître exagéré, mais ça m'a ulcérée. Ce n'était pas la première fois que ça m'arrivait... Pendant mes études de droit, j'ai fait quelques petits boulots et j'ai dû repousser les avances de mes chefs à plusieurs reprises. Je crois que, quand on est jeune et plutôt pas mal, "baisable" comme ils disent, on rencontre souvent ce genre de problème. J'ai croisé des tas de filles à qui c'est arrivé.
Ménainville, jusqu'à ce soir là, je trouvais que c'était un mec bien, un chef extraordinaire. Alors, je voulais lui montrer que je pouvais être un bon élément dans son équipe. Je voulais qu'il soit heureux de m'avoir dans sa brigade. J'aurais voulu qu'il m'apprécie pour mon travail, pas pour mes mensurations.
Raté.
Il était comme les autres, j'ai éprouvé une immense déception.
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- Vous faites toujours aussi mal quand vous êtes amoureux ?
- C'était la première fois que j'aimais ainsi, comment voulez-vous que je vous réponde ?
- La première fois ? Et votre épouse ?
- On ne peut pas comparer ces deux histoires. Avec Laëtitia, c'était tellement différent, tellement plus violent, tellement plus fort... Je n'étais plus le même homme. J'aurais fait n'importe quoi pour être avec elle.... J'aurais vendu mon âme au diable.
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Nous avons descendu l’escalier, j’ai porté le sac jusqu’au coffre de sa petite voiture. Je l’ai serrée dans mes bras. Une dernière dose. Pour tenir, seulement quelques heures. Elle m’a embrassé, s’est détachée de moi, a grimpé au volant. Quand elle a disparu, la douleur est revenue dans mes tripes, montant très vite jusque dans ma tête. Pourtant, j’étais heureux. Elle m’aimait, nous venions de passer vingt-quatre heures ensemble. Heureux, peut-être pour la première fois. Alors, pourquoi avais-je si mal ? Le bonheur aussi est-il un supplice ?
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J'aimais deux femmes, d'un amour différent.
L'un était rassurant; l'autre violent, effrayant.
L'un était vital; l'autre létal.
J'aimais deux femmes.
L'une était une drogue douce; l'autre une drogue dure.
L'une était ma vie.
L'autre serait ma mort.
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Je parle de la vraie honte. Celle qui vous habite, qui vous colle à la peau. Celle dont vous êtes persuadé qu’elle peut se lire sur votre visage... celle qui vous marque au fer rouge et vous donne envie de disparaître. Cette honte là, croyez-moi, elle vous empêche de trouver la force de raconter.
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"La passion... La vraie. Sans elle, ou sans l'espoir de la connaître un jour, que serions-nous?
Des coquilles vides et froides." (p. 235)
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