Lady Helen, tome 1 : Le club des mauvais jours

Fan de la période de la régence, de la littérature à la "Jane Austen" et des univers fantastiques, c'est tout naturellement que je me suis tournée vers cette série dont la couverture et la 4° de couverture étaient très alléchantes. On nous promet du fantastique, de l'action, une héroïne qui rompt avec les codes de sa société, un duc, des comtes, et tout ce qui fait le charme de l'Angleterre du début du 19°.

J'ai pourtant eu un peu de mal à accrocher à ce premier tome et me voilà avec un avis mitigé. J'ai globalement bien apprécié les différents personnages, et Lady Helen est très intéressante. le côté historique est parfaitement rendu. Il contribue à façonner un cadre et une ambiance particulièrement délectable à la série. C'est un plus incontestable.

Et pourtant, voilà que c'est le côté fantastique qui, pour moi, a eu un peu de mal à passer. Ce n'est pas tant l'histoire d'ailleurs, que le vocabulaire et la traduction française qui m'ont parfois déconnecté de la lecture. J'ai eu du mal à prendre au sérieux les "abuseurs", le terme étant pour moi trop désuets et un peu kitsch, de même que je me suis agacée quand j'ai lu pour la cinquantième fois qu'ils avaient des "fouets obscènes". Certes, une femme de cette époque devaient être choquée par beaucoup de choses dès que cela sortait du carcan des bonnes manières que l'on lui enseignait, mais ce n'était pas la peine de le répéter toutes les deux pages pour que le message passe. Finalement, cela me laissait plutôt une sensation de malaise avec l'envie de dire "C'est bon, on a compris". Dommage, parce que l'intrigue est bien menée, le suspens préservé jusqu'à la fin, et le roman se lit très vite sans impression de longueur. C'est d'ailleurs pour ça que j'ai quand même attaqué le second tome, voulant donner sa chance à une série qui a beaucoup de points positifs et de qualités narratives, en dépit de tournures de phrases, qui, pour moi, n'ont pas toujours été judicieuses (mais après tout cela n'a peut-être agacé que moi).

Je conclurai en émettant une petite réserve pour le côté "littérature jeunesse" clairement affiché par l'éditeur. J'ai travaillé suffisamment longtemps avec des élèves de collège pour savoir que les problématiques abordées ne feront échos qu'à des élèves assez matures, de la 3° ou du lycée essentiellement.

Lady Helen Wrexhall est une jeune demoiselle du 19ème siècle bien comme il faut. Sa présentation à la reine ne va plus tarder, les prétendants non plus et comme elle est loin d'être sans le sou, son avenir semble tout tracé.
Tout change lorsqu'elle fait la connaissance de Lord Carlston qui traîne une réputation scandaleuse dans son sillage.
Il lui apprend l'existence des Abuseurs, des créatures prenant apparence humaine et capables d'absorber l'énergie vitale des humains allant jusqu'à les tuer s'ils se laissent emporter.
Aidée de sa servante, Darby, Helen essaye de comprendre dans quoi elle a mis les pieds, ce qu'est le Club des mauvais jours, quels rôles ses parents ont joué, et pour finir ce qu'elle compte décider pour son futur.
Restera-t-elle dans son cocon avec le risque de perdre une partie d'elle-même ou se lancera-t-elle dans sa formation de Vigilante?

Ce premier tome m'a fait bonne impression même si j'ai quelques bémols.
On sent que l'auteure a fait de nombreuses recherches ce qui rend la partie historique crédible. La période de la Régence avec justement son prince régent, ses bals, ses danses, ses divertissements, ses repas, ses rituels, ... est très bien retranscris.
Je me suis plongée sans problème dans cette époque que j'apprécie beaucoup.

J'ai eu plus de mal avec l'aspect fantastique de l'histoire. Ces histoires d'Abuseurs, de fouets, d'alchimie, ... m'ont laissée un peu sceptique.
Maintenant je lirai probablement le tome suivant afin de voir si mon avis évolue. Cela m'a semblé un peu forcé. Je n'ai pourtant aucune difficulté, en général, à m'immerger dans des mondes fantastiques.

Au niveau personnages, à part lady Helen, ils sont peu développés. Même Lord Carlston qui m'intrigue beaucoup reste très mystérieux.
J'imagine qu'on va le découvrir petit à petit.
Darby, tante Leonore, Quinn, Selburn, Andrew, ... On ne sait pas grand-chose d'eux finalement.

Malgré ces quelques points négatifs, j'avoue avoir passé un bon moment de lecture qui m'a donné envie de continuer la saga en espérant être plus convaincue la prochaine fois.

Un roman passionnant ! j'ai adoré l'ambiance de ce livre, le contexte historique est formidablement bien retranscrit. Je le trouve original de par les créatures démoniaques qui sont présentes. L'héroïne m'a beaucoup plu ainsi que le développement de l'histoire, l'auteure prend le temps de créer son univers et c'est appréciable. Premier tome d'une trilogie qui je pense va devenir une de mes préférées.
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Encore un roman qui se passe au 19e siècle, mon époque préférée si vous ne l'aviez pas encore compris. Mais cette fois-ci on part sur du fantastique avec au programme chasse aux démons et course aux maris.
Alors juste un mot sur la couverture. N'est-elle pas magnifique !!!! (L'utilisation excessive de plusieurs points d'exclamation montre mon grand enthousiasme face à cette couverture). Dès que je l'ai vue j'ai tout de suite su que j'allais l'acheter, et le résumé a terminé de me convaincre.

Helen Wrexhall vit chez son oncle et sa tante depuis la mort de ses parents. Cette année, c'est l'année où la jeune fille fait son entrée dans la société et s'apprête à entrer dans la course aux maris. Elle se doit d'être irréprochable pour faire oublier que ses parents sont coupables de trahison envers l'Angleterre. Mais Helen a d'autres préoccupations : une des femmes de chambre de la maison a disparu et des phénomènes étranges se produisent...
Surtout qu'une prophétie annonce l'arrivée d'un démon extrêmement puisant. Helen semble la seule à pouvoir lui faire face mais est-elle d'accord pour assumer ce rôle ?

Comme j'ai pu aimer ma lecture. le pavé que représente ce roman peut faire peur à certains mais c'est parce que l'auteure prend bien le temps de mettre en place son univers et de nous faire découvrir les différents personnages. L'univers de Londres et l'époque du 19e siècle me font vraiment rêver, la vie quotidienne d'une jeune fille très restrictive correspond vraiment aux moeurs de l'époque.
A côté de ça il y a aussi toute une partie fantastique avec la présence de "démons" à l'apparence humaine qui évoluent dans toutes les sphères de la société. On les nomme les abuseurs. Ces démons se nourrissent de l'énergie des humains par le biais des vices (luxure, colère, appât du gain...). Il existe donc une société secrète, "Le Club des mauvais jours", au service de la Couronne, qui est chargée de les éradiquer. Mais il faut avoir des pouvoirs particuliers pour voir et combattre ces créatures. C'est ce qu'Helen découvrira par l'intermédiaire du mystérieux Lord Carlston.
C'est donc un univers très riche et dangereux que nous a dépeint Alison Goodman, j'ai aimé courir les rues sombres de Londres, imaginer les bals somptueux et les promenades dans les parcs le dimanche.

J'ai beaucoup aimé le personnage de Lady Helen, elle est pleine d'énergie et rebelle. Elle essaye de rentrer dans le moule pour correspondre aux critères de son oncle, mais elle ne peut restreindre sa véritable nature. Elle ne se démonte pas même face à Lord Carlston.
Ah ! Lord Carlston je suis totalement sous le charme de ce ténébreux personnage. Il a cette pointe d'arrogance qui me fait chavirer. Il agace totalement Helen mais on sent de l'électricité entre eux. le triangle amoureux ne me dérange pas plus que ça, au contraire, au 19e siècle c'est plutôt sympa, car comme je l'ai rappelé dans d'autres chroniques, les gens ne se sautent pas dessus toutes les 30 secondes.
On assiste à des joutes verbales plutôt plaisantes.

En bref, gros coup de coeur pour ce premier tome, et je peux déjà vous dire que le tome 2 est également un coup de coeur - mais j'en reparlerai. J'en suis ressortie avec pas mal d'hypothèses, et impatiente de lire la suite.
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Un livre dont on m'a énormément parler, il était temps que je m'y mette !
Nous sommes à Londres, dans les années 1810. Helen Wrexhall est sur le point de faire son entrée dans la cour, avec l'espoir comme toutes les jeunes filles de faire à la fois un mariage qui convient aussi bien à elle qu'à sa famille. Mais bientôt, des faits étranges vont la faire pénétrer dans le côté obscur du monde. Il y a quelques années, sa mère est morte et sa réputation a été salie. Helen se demande souvent ce qu'il s'est véritablement passé et si les « péchés » qui ont entrainé la chute de sa mère courent également dans son sang. Mais plus récemment, une domestique a disparue de la maison de son oncle ; d'horribles meurtres ont eu lieu ; et le mystérieux lord Carlston – un homme à la réputation pour le moins sulfureuse – est réapparu quelque temps après avoir été accusé de la mort de sa femme. Beaucoup d'étrangetés, beaucoup de coïncidences... Ce qui mène Helen jusqu'au Club des Mauvais Jours, une organisation chargés de protéger les humains des démons. La jeune femme va-t-elle accepter de basculer dans ce monde obscur ?
Quelques idées un peu déjà-vu, mais le rythme et les personnages attachants permettent de passer un agréable moment.
(Mon avis complet sur mon blog.)
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Lady Helen virevolte dans les bals en attendant son mariage qui un jour viendra. Mais voilà que des disparitions l'inquiètent. Cachant bien son médaillon qui la relie à sa feue mère, elle se met à enquêter sans se douter qu'elle va apprendre sur elle-même une étonnante révélation. En réalité dotée de pouvoirs, la jeune fille va devoir affronter des dangers très grands.
Voici un roman qui parvient à ennuyer comme rarement ! Ici, tout est redit un milliard de fois. Je pense que l'on pourrait se contenter de ne lire qu'une page sur deux, on suivrait tout aussi bien l'intrigue tant les répétitions sont nombreuses. Il faudrait couper un gros tiers du récit car là, l'auteur tire à la ligne pour obtenir le pavé souhaité. Aussi, l'intrigue avance avec une lenteur déconcertante et les événements se devinent aisément. Lorsqu'au quatre cinquième du roman, une soi-disant révélation apparait, le roman m'est tombé des mains devant l'évidence du processus de narration. L'auteur sème aussi un brin de sexe pour titiller le lecteur et attiser son intérêt. En gros, on cible clairement la jeune bourgeoise en manque d'aventures… on obtient du très gros cliché. L'auteur aurait dû rester dans le genre historique, cela aurait été plus intéressant. Pitié, pas de tome deux.
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C'était un pari un peu risqué ce mélange des genres… Dans ce roman, on retrouve aussi bien des robes d'époque, des bals, des mariages arrangés que des créatures démoniaques, des disparitions mystérieuses, des pouvoirs surnaturels et des meurtres odieux. Je n'avais encore jamais rien lu de tel, et bien qu'il m'ait fallu un petit temps d'adaptation au début, je me suis finalement régalée jusqu'aux dernières pages, regrettant de devoir attendre longtemps une suite.

Les premiers chapitres sont consacrés en très grande partie au contexte historique, aux petits détails du début des années 1800 qui nous immergent d'un coup dans l'époque : les promenades des jeunes filles dans les parcs, les commérages entre serviteurs, les visites de courtoisie, l'introduction des demoiselles à la Cour, les présentations à la reine, les spéculations autour des futurs mariages. Tout cela peut paraître un peu long, mais le mystère n'en est pas moins disséminé dès les premières pages. Lady Helen se découvre très vite des aptitudes bien particulières et un certain Lord Carlston tente de s'immiscer à tout prix dans sa vie sans que l'on comprenne très bien ses intentions. Mais il faudra pourtant attendre encore un moment avant de basculer dans le fantastique pur et dur.

Outre un contexte richement décrit, un soin spécial est apporté aux personnages et à leurs relations. J'ai trouvé le trio amoureux plein d'élégance et de charme, mais avec une pointe de mordant qui m'a collé un sourire aux lèvres plus d'une fois. Étant donné les moeurs de l'époque, tout se passe dans le regard et durant les rares interactions autorisées entre demoiselles et jeunes hommes. le cadre historique rend le tout particulièrement savoureux et on ressent une vraie tension entre les personnages.

Malgré quelques baisses de régime au niveau du rythme et une histoire parfois un peu trop fantasque, la sauce prend merveilleusement bien. Si vous êtes ouverts aux découvertes atypiques, une jolie surprise vous attend. (Et puis, ce serait bête de rater l'occasion d'exposer un si beau livre dans sa bibliothèque.)
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Je ne pensais pas qu'une histoire fantasy qui se rapproche tant de Jane Austen pourrait être efficace, et pourtant!

D'un autre côté, j'aime Jane Austen et la fantasy. Mais vous savez, j'ai vu Orgueil, Préjugés et Zombies et j'avais été outrée! Mais là, pas d'inquiétude, tout est par-fait.
C'est même suffisamment bien fait pour que ma fibre féministe grince des dents par moment (pas que l'auteur soit misogyne, mais ce sont les moeurs de l'époque).

Donc l'époque est bien retranscrite, c'est un très bon départ. Ensuite, j'aime assez les intrigues qui s'emmêlent, entre problèmes personnels, coeur qui balance et raison d'état. Ce qui fait qu'à partir d'un univers Régence plein de mondanités, on se retrouve avec une aventure de plus de 600 pages où l'on ne s'ennuie pas une seconde.

Le monde fantastique développé en parallèle n'est pas non plus dénué de recherche, avec les péchés comme base, saupoudrés d'alchimie et d'un je en sais quoi qui me parle de démon. Avec, moins original, une prophétie sur le sauveur de l'univers. Mais bon, on ne peut pas tout faire de neuf.

Les personnages quant à eux sont assez subtiles, et je m'interroge toujours sur l'honnêteté ou les motivations de certains. Et je n'en peux déjà plus d'attendre la suite!

Lady Helen doit être présentée à la Cour. Sa défunte mère rendue coupable de trahison, sa présentation devra être parfaite. Lady Helen doit faire honneur à sa famille pour espérer épouser un bon parti. Pourtant les préoccupations de la jeune fille sont toutes autres. Une femme de chambre disparaît et les événements étranges se succèdent...


J'ai beaucoup apprécié la personnalité de la jeune Lady Helen. de nature curieuse et agitée, elle s'inquiète quelque peu de cette énergie rebelle enfouie en elle. Une ardeur qui n'est pas du tout convenable pour une jeune fille de la cour. Une ardeur qui lui est parfois reprochée par sa tante et son oncle qui voient en elle un peu de sa mère. Pourtant, Lady Helen continue de suivre son instinct. L'une de ses femmes de chambre a disparu et puisque personne ne fait rien, elle s'engage à découvrir ce qui est arrivé. Même si enquêter et fouiner n'est pas digne d'une dame, elle veut se rendre utile. Sans toutefois se défaire des convenances de l'époque, elle met le nez dans des affaires qui ne la regardaient pas à première vue.


Par ailleurs, Lady Helen se découvre des aptitudes tout à fait singulières en cours de route. Des aptitudes sur lesquelles on ne peut que s'interroger. Qui est-elle? Lady Helen a grand besoin de réponses et le lecteur aussi. Lord Carlston, un personnage indéchiffrable, vient l'éclairer sur sa nature, son devoir et les dangers qu'il inclut. Lady Helen a des choses à apprendre, aussi incroyables et effrayantes soient-elles. Les explications nous sont données petit à petit. Lord Carlston la guide alors jusqu'à son intégration dans le Club de Mauvais Jours, qui est chaque jour confronté aux forces obscures. Mais cet homme est-il vraiment digne de confiance? A qui avons-nous affaire? Et dans toute cette histoire, Lady Helen peut-elle encore espérer avoir le choix quant à son destin?


Malgré l'épaisseur du roman, je me suis laissée entraînée dans les aventures de Lady Helen avec facilité. J'ai découvert une plume délicate en accord avec l'époque, mais pas moins saisissante lors des scènes d'action. le rythme de lecture est toutefois lent mais il me convenait parfaitement. Parce que nous suivons d'une part le quotidien de Lady Helen, dans lequel les apparences comptent. Et dans un même temps, nous découvrons le terrifiant monde des Abuseurs, créatures vicieuses, qui pour certaines, commettent des agressions ignobles. J'étais d'autant plus curieuse de découvrir si la jeune Lady Helen serait à la hauteur du danger, prête à combattre le mal et à sauver des âmes.


Verdict : Une belle découverte ! C'est un premier tome qui nous plonge à la fois dans l'aristocratie londonienne du 19ème siècle et à la fois dans une chasse aux créatures démoniaques. Je dois bien avouer que les disparitions, les meurtres et le surnaturel se mêlent merveilleusement bien aux bals et aux somptueuses robes de soie. Ca fonctionne même très bien ! C'est un univers qui m'a rapidement séduite et j'ai hâte de pouvoir l'explorer davantage.
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La narration est à la troisième personne, elle offre un point de vue interne ce qui permet une immersion totale du lecteur mais aussi une part d'imagination et de subjectivité. En effet on partage indéniablement les sentiments d'Helen dans laquelle on s'incarne à merveille. Les événements, les pensées et le décor sont décrits avec précision et justesse tout en gardant une certaine simplicité.

L'auteure manie donc brillamment sa plume, elle est immersive, fluide, et prend le temps d'installer mot après mot, les constituants de son récit. J'aime la manière dont elle amène l'intrigue et les questionnements d'Helen, installant progressivement le suspense, et nous tenant en haleine jusqu'à la dernière page.
Je salue également l'habileté qu'elle a de rendre singulier chacun de ses personnages avec une réelle personnalité qui leur est propre.

Cette immersion vient du fait aussi des recherches historiques minutieuses que l'auteure a faites pour étayer son univers et l'étoffer avec justesse.
En effet, on suit Helen et ses débuts dans le monde londonien plein de conventions du début du XIXe siècle, où patriarcat et mondanités constituent la toile de fond. Chaque petit détail historique a son importance et nous plonge incontestablement dans la Régence anglaise.

Sauf que, Helen dénote dans ce monde, elle est vouée à un dessein bien plus redoutable pour l'humanité. Elle va devoir s'émanciper des moeurs de son temps et passer outre les convenances sociales pour apprendre à contrôler sa nouvelle nature et combattre les êtres surnaturels vicieux, aux côtés de Lord Carlston et du Club des Mauvais Jours.

Que ce soit la narration, la plume ou l'histoire, Alison Goodman m'a plus que conquise et m'a transmis son engouement pour cette ambiance incroyable !