Encore un très bon tome des aventures des gaulois. Les jeux de mots st les scènes humoristiques sont bien présentes. Cette fois, Obélix tombe amoureux. Il faut dire qu'elle est bien belle la petite Falbabla. Malheureusement, con coeur est pris... C'est donc à la recherche du fiancé, enrôlé de force par les romains que les deux compères se lancent. Pour les retrouver, ils devront entrer dans les légions !
Ce tome caricature gentiment le service militaire et nous on rigole bien !
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L'histoire est simple et la 1ère planche un petit chef-d'oeuvre. Tombé amoureux de Falbala, Obélix - on sentira plus tard aussi un trouble chez Astérix - ne fait ni une ni deux pour s'engager dans la légion et partir à la recherche de Tragicomix, le fiancé façon bellâtre de la jeune femme.
Engagez-vous qu'ils disaient, vous verrez du pays : la formule s'applique dans cet album aussi à nos deux amis gaulois. Et à une brochette de candidats légionnaires pas piqués des hannetons. du Goth trop maigre - les jeux de mots approximatifs fusent et font la joie d'Obélix quand il les comprend - à l'égyptien qui se croit à l'hôtel, s'exprime en hiéroglyphes et sème des "poil au" bien sentis au grè des répliques de ses camarades, l'aréopage réuni dans la caserne est un méli-mélo improbable. On n'aimerait pas être à la place des gradés qui tentent de l'encadrer !
Fortes têtes et vrais tire-au-flanc, on y passe en revue tous les profils et situations croisés au service militaire ou vus dans les films de légionnaires. Un album irrésistible et réjouissant sur la résistance - ou pas - de l'armée au soft-power. Nous étions en 1967...
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Il était une fois un rythme, qui permettaient des gags incessants, toujours drôles. Il était une fois Astérix légionnaire. Car, oui, c'est ça, Astérix légionnaire : c'est un rythme dans lequel s'épanouissent les gags, qui sont autant de traits qui font mouche, les plus burlesques comme les plus élaborés. Ce rythme permet tout. Vive Astérix légionnaire !
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Falbala et Tragicomix... un si joli couple, séparé par l'engagement forcé de Tragicomix dans les légions romaines.
Et que ne feraient Astérix et Obélix pour ramener le légionnaire malgré-lui à sa fiancée!?
Ni une ni deux, les deux guerriers gaulois vont s'engager eux-même chez ces soldats d' élite!.. Et vont semer une joyeuse pagaille dans la centurie où ils vont être affectés: Pas question de traîner à l'entraînement, ni de se contenter du rata règlementaire; Les instructeurs vont en voir de toutes les couleurs.
... Et, en quarante six pages et avant le banquet final, nul doute que tout le monde sera rentré des sables d' Afrique sain et sauf!
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Excellent tome des aventures d'Astérix et Obélix qui rassemble les meilleurs ingrédients d'un album réussi : un voyage lointain, des personnages d'autres cultures , des gags et des Romains au bout du rouleau. Je rêve d'une adaptation cinématographique de ce tome, dont les trame et les scènes humoristiques passeraient à mon sens très bien à l'écran.
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Après Cléopâtre, voici l'apparition de la 2° femme dans les aventures d'Astérix et quelle femme ! Falbala !! la seule capable de faire tourner les têtes de nos deux héros. Ils iront jusqu'à s'engager dans la légion pour retrouver le beau fiancé de Falbala (quelle abnégation ! ). Une très bonne histoire.
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Le titre promettait une intrigue... surprenante. Et en effet, c'est bien la surprise qui nous attend : combien de fidèles compagnons d'héros dans l'âge d'or de la BD franco-belge sont-ils tombés amoureux (à l'exception de la si vite oubliée par les lecteurs liaison entre Fantasio et Ororéa) ? Et c'est ainsi que de fil en aiguille, Astérix et Obélix décident de sauver Tragicomix, le fiancé de Falbala. Pourquoi, si Obélix en est amoureux ? Parce que le brave gaulois ne veut pas lui faire de peine. de nos jours, ce genre de générosité n'arrive plus dans les fictions... (Je vais finir par devenir un vieux grincheux avant l'âge, moi.)
L'album enchaîne gags désopilants, centurions énervés et quiproquos. Ce serait dur à expliquer ici, mais il s'agit sans doute de l'Astérix qui m'a fait le plus rire. Et le seul où notre héros s'en va en Afrique...
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