Ce récit paru en 1894 et presque aussitôt oublié est un portrait de la société américaine à la fin du XIXe siècle. Dans la rue, dans les pensions où logent les Grandin, dans les soirées en ville, Marie observe les mours d'un pays encore neuf. Elle s'indigne quelquefois, s'émerveille le plus souvent ; juge les domestiques abusent de la liberté mais que les femmes en jouissent à bon droit : non seulement elles en ont plus que les Françaises, mais elles trouvent dans l... >Voir plus
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.