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3,97

sur 4087 notes
Ah! que viennent faire ici les cigognes ? hein?
vous aimeriez le savoir?
Et bien je ne le vous dis pas ahahaha!
car se serait tout vous dévoiler. Simplement si vous avez
l'occasion de le lire ,vous ne serez pas déçus .
C'est un thriller , captivant je pense , un premier roman , c'est un coup de maitre .
Je préfère les premiers romans de Grangé .
Moins sanglants que ceux d'aujourd'hui , comme par exemple " La terre des morts " il y a des passages qui m'ont vraiment dérangés!
mais bon , j'ai pas accroché pour celui là .
Par contre celui ci "le vol des cigognes" est super
On se ballade dans des pays lointains bien sur il y a des cadavres ! oui mais c'est Grangé ? on apprend sur les cigognes , sur la politique du moment , sur le trafic etc....enfin quoi!
il n'a rien à envier aux les auteurs d'épouvantes et de thriller.
L'auteur nous narre avec délectation de nombreuses scènes difficiles .
Cette histoire « le vol des cigognes » est un mélange de plusieurs genres qui feront plaisirs aux personnes aimant les énigmes , allant même à rivaliser avec les meilleures enquêtes policières.
J'ai pris beaucoup de plaisir à le lire et aussi à découvrir l'abomination de certains humains .
et la fin est géniale , Bonne lecture
Vous me direz ce que vous en pensez
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Louis Antioche, 32 ans, jeune parisien au passé tumultueux et mystérieux, vient de finir sa thèse. Ses parents adoptifs l'ont mis sur la piste d'un emploi intéressant et bien rémunéré, mais à mille lieues de ses qualifications. Ils lui font rencontrer un étrange ornithologue, le suisse Max Böhm. Celui-ci lui confie une mission singulière : remonter le vol des cigognes, oiseaux migrateurs qui parcourent des milliers de kilomètres, à travers l'Europe et l'Afrique, afin d'élucider le mystère de la disparition de bon nombre d'entre elles au fil de leur périple, au printemps dernier. Or, peu avant de partir à la poursuite des cigognes, Louis Antioche découvre le corps sans vie de l'ornithologue. Il décide malgré tout de faire le voyage. Celui-ci qui le mène depuis les pays de l'Europe de l'est jusqu'à la république du Centrafrique va être parsemé de mystères, de découvertes macabres, de violence et… de cadavres. Un voyage jusqu'aux sources d'un passé trouble…

Avec « le vol des cigognes », Jean-Christophe Grangé signe là son premier roman. J'affectionne particulièrement cet auteur dont j'ai déjà lu plusieurs oeuvres : « le concile de pierre », « La ligne noire », « Les rivières pourpres », « le serment des limbes » et, plus récemment, « La forêt des Mânes ». Je commence à connaître les marottes de l'auteur ainsi que certains de ses travers (à mon goût).

Comme pour les autres romans de Grangé que j'ai lus, j'ai apprécié ici la documentation fouillée qu'expose le roman, dans les domaines de l'ornithologie, des diamants, de la cardiologie. L'auteur fait voyager son lecteur dans les pays de l'Europe de l'est, en Turquie et en Israël, dans les pays africains également. Malgré quelques longueurs, j'ai été transportée par l'action et le suspens.

L'écriture se présente à cette image : vive, nerveuse, alerte, en somme efficace, ne laissant place à aucuns temps morts. Je comparerais volontiers l'écriture de Grangé à celle d'Harlan Coben. Malgré tout, quelques descriptions sont présentes. le style n'est guère recherché, pas vraiment littéraire, mais cela ne m'a pas gênée.

Par contre, comme dans tous les Grangé, et c'est ainsi que j'ôte une étoile à mon appréciation totale, la violence, l'horreur et les détails macabres sont au rendez-vous. le lecteur est confronté, à l'instar du narrateur, à quantité de cadavres, tous atrocement mutilés. L'auteur livre même, avec force détails, les comptes-rendus des autopsies. Vers le dernier tiers du roman, Grangé nous offre une esquisse de la vérité finale sur un plateau : cela dessert un peu le suspens et rend la fin trop prévisible. Je ne me doutais pas, avant cette révélation, de l'identité du principal suspect, mais j'en ai eu quelques intuitions.

Le final, dont le schéma reste très classique, dans les normes du policier, est assez théâtral et macabre : je trouve que l'auteur ne soigne pas assez ses fins. Mais globalement, je reste sur une très bonne impression : action, suspens, mystère, agrémentés d'une solide documentation, rendent cette lecture agréable.
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Une bonne intrigue heureusement mais un protagoniste manquant complètement de crédibilité. Un mec tout ce qu'il y a de plus normal qui vient de finir ses études devient un véritable James Bond, voyageant à travers des pays en guerre avec un flingue en poche sans aucuns problèmes avec le seul motif d'être un ornithologue. Mouais, mon premier Grangé, je m'attendais à une bombe. Je suis un peu déçu.
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C'est une belle découverte que j'ai faite avec Jean-Christophe Grangé et son vol des cigognes !
Louis Antioche, le personnage principal, mène en enquête en solitaire, un peu par déseuvrement de constater que sa vie n'a pas beaucoup de relief et puis par goût de l'aventure, qui s'accroît au fur et à mesure de ses découvertes. Aventure qui devient ensuite soif de justice.
Il nous emmène en Suisse, en Pologne, en Bulgarie, en Turquie, en Israël, en Palestine, nous fait partager sa découverte de l'Afrique mystérieuse et termine son voyage en Inde.

Tout cela pourrait paraître poétique, envoûtant. Et bien, non. Cela aurait pu être, surtout avec ce titre "Le vol des cigognes".
Parce ce que, ce qu'il découvre au fur et à mesure de ses pérégrinations ... c'est l'Horreur. L'Horreur avec un grand H.
Ce livre nous tient en haleine. On pense deviner, vers la 100ème page, la clef de l'énigme. On ne se trompe pas; alors, que pourrait-il bien se passer pendant les 250 pages restantes ?
Surprise !
Non, c'est vraiment bien. Enfin, le livre, pas l'histoire.
Me suis-je bien fait comprendre ?...
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Ce roman est le premier de Jean-Christophe Grangé, plus connu pour "Les rivières pourpres".

C'est un thriller qui traite des trafics et de la barbarie.
On voyage beaucoup au cours de cette lecture, la France, la Suisse, la Bulgarie, Israël, la Turquie et l'Inde nous dévoilent certains de leurs paysages.

Il y'a beaucoup de suspense, on est tenu en haleine jusqu'à la fin qui se révèle très surprenante.

Je recommande ce thriller très bien écrit.
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Premier Grangé si je ne m'abuse. Une histoire complexe, mais claire, et surtout de la noirceur, de la violence : des ingrédients déjà présents ici, que l'on trouve dans tous les romans de Jean-Christophe Grangé.

Une histoire de vol de cigognes, anodin dis comme cela… ça se vole des cigognes ? Assurément, ça vole les cigognes. Elles volent à travers le monde, plusieurs pays du moins, ce qui élargit le champ d'action : Jean-Christophe Grangé va nous emmener sur plusieurs continents, comme dans d'autres de ses romans, avec une bonne part d'Afrique, et nous aurons affaire à différentes populations, à différents peuples. On voit, enfin non on devine – plus subtilement – le travail de documentation, de même que sur des sujets techniques comme la migration des oiseaux, ou d'autres domaines que je ne citerai pas ici pour ne rien dévoiler de fâcheux.

Un choix qui ne m'a pas paru judicieux dans ce roman : la narration à la première personne. Au lieu d'être au plus près de notre héros, cela m'en a tenu éloignée et ses réflexions m'ont parfois paru artificielles.

Sur l'intrigue, d'abord j'ai pensé que c'était une super idée. Puis c'est devenu très complexe et je me suis demandé si ce n'était pas un peu tiré par les cheveux. Comme pour la violence glauque de certains personnages, est-ce que cela ne vire pas au sensationnalisme ?

Mais finalement, au bout de ce bon pavé, tout a trouvé sa place, tout est réglé, et surtout on se rappelle nombre de fois où l'on s'est dit, en regardant les informations ou des reportages, que la réalité dépassait la fiction, dans l'horreur, dans l'absurdité, dans la folie.

Ayant lu d'autres de ses ouvrages, il me semble que Jean-Christophe Grangé gagnera ensuite dans la maîtrise de ses récits, dans l'ébauche de ses personnages.
Je ne prends pas grand risque ici à dire « Au suivant ! », pour sûr, il y en aura d'autres très vite, n'ayant pas tout lu de lui, d'autant qu'il continue à écrire, avec le rythme très attendu des auteurs à succès d'un livre par an (Vargas cependant continue de prendre son temps et de nous laisser le nôtre en publiant tous les quatre ans).

Lien : https://chargedame.wordpress..
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Louis est engagé pour suivre et étudier la migration des cigognes, de Montreux en République centrafricaine, un voyage ponctué de morts violentes et de révélations sur le passé du narrateur. Un roman aux allures de thriller, qui ménage des surprises et fait faire le tour du monde à ses lecteurs, mais qui manque par moments de rythme et de tension, malgré quelques scènes horrifiantes.
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Voilà un thriller comme je les aime! JC Grangé est décidément un grand auteur: je lis peu de polars alors

autant en écouter (MP3) un bon. Plus de douze heures d'écoute sans la moindre lassitude. On voyage sur le chemin de migration des cigognes (ça ne correspond pas tout-à-fait à ce que j'en savais: j'en ai vu des masses au Maroc en Juin et au Sénégal en février). Un histoire de diamants volés; un médecin fou et sadique mais extraordinaire chirurgien; des corps déchiquetés dont on a prélevé le coeur. Un étudiant désoeuvré lancé dans de terribles aventures, découvrira sa véritable identité.
Haletant
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Premier roman, premier coup de maître, Jean-Christophe GRANGE avait déjà mis en place dés ce premier livre tous les ingrédients de ses succès ultérieurs : une enquête haletante, qui se déplace de lieux en lieux (Bulgarie – Israël – Centrafrique ; les cigognes sont de grandes migratrices), menée par un personnage un peu à part (Louis Antioche, un ornithologue au cas présent), des scènes violentes et crues (ça va s'aggraver dans les livres suivants, celui-là est presque soft...)... Ses premiers romans, Les rivières pourpres et ce Vol des cigognes, étaient très bien bâtis, sans temps mort et chargés d'adrénaline.
Cette histoire démarre avec la disparition inexpliquée de cigognes, suivies lors de leurs migrations annuelles, et avec le meurtre d'un vieil ornithologue suisse, mort dans un nid de cigogne les yeux arrachés... Les tueurs rôdent. le mobile ne serait-il pas à trouver dans la grande richesse de l'Afrique centrale, enjeu de tant de guerre, les diamants ? La suite est une course poursuite vers la vérité parfaitement maîtrisée. Grangé est assurément un maître du suspense et des ambiances glauques.
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J'ai trouvé le début lent et un peu long à démarrer. Je ne me suis pas attaché au personnage principal. Malgré cela, j'ai aimé ce livre.

Tout simplement parce que grâce à ce roman, j'ai voyager, je me poser des questions, et que le dénouement m'a plu, même si il était prévisible...

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