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4,14

sur 289 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
5 étoiles pour cette romance historique, c'est un peu cher payé, peut-être ?

Eh bien, non, j'ai adoré. Que dis-je j'ai dévoré ce roman !
Peu importe si la réalité historique fut autre, peu importe si le caractère des donzelles - les soeurs Boleyn - est sans doute exagéré, je me suis littéralement transportée à la Cour du roi d'Angleterre Henry VIII. Avec délectation, et sans remords ni honte, je n'ai perdu aucune miette des émois des courtisanes, des déceptions des unes, des espérances des autres, des complots ourdis par les pères et oncles de grande famille, des manigances pour plaire au roi, des coups bas et des finauderies ...

J'avais également beaucoup aimé la série Les Tudors qui est librement adaptée de la réalité historique, tel le roman. Cependant, le roman de Philippa Gregory se centre beaucoup plus sur les personnages féminins, leurs convoitises et penchants amoureux.
Dans mon souvenir, le personnage d'Ann Boleyn, porté magnifiquement à l'écran par Nathalie Dormer, occultait tous les autres personnages féminins.
Philippa Gregory a fait un choix différent : mettre en avant Mary Boleyn, la soeur de la si scandaleuse Ann. D'ailleurs, le roman a pour titre : The Other Boleyn Girl, qui correspond nettement mieux au roman en comparaison à celui de la traduction française.
Mary apparait au début du roman comme une oie blanche. Elle m'a agacé plus d'une fois par sa niaiserie et son manque de mordant. A côté de sa soeur Ann, charmante, piquante, ambitieuse et ne reculant devant rien ( une Scarlett O'Hara en puissance !) , Mary faisait bien pâle figure...
Mais, dans ce roman, c'est elle la narratrice...C'est elle qui racontera l'histoire à sa façon, qui finira par séduire les lecteurs et qui ne manquera pas de les rallier à sa cause.


Une lecture exquise pour les vacances !



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Le puissant roi d'Angleterre Henri VIII usa six épouses, dont deux périrent décapitées sur son ordre. À la couleur près - il était d'un roux flamboyant - nul doute qu'il contribua à la légende de Barbe bleue !

« Deux soeurs pour un Roi » débute en 1521 et s'intéresse à la première partie de son règne, au temps de sa splendeur, et s'achève en 1536 sur l'avènement de sa troisième épouse, Jane Seymour. Les deux soeurs en titre du livre sont Marie et Anne Boleyn. Marie, "blonde et anglaise", fut une de ses premières maîtresses, avec qui il aurait eu des enfants naturels. Anne, "brune et française", devint sa seconde épouse, après l'annulation de son mariage avec Catherine d'Aragon. Ce qui fait l'originalité de cette histoire, c'est qu'elle nous est contée de l'intérieur par Marie, « The Other Boleyn Girl », la plus méconnue des deux soeurs Boleyn.

D'emblée, ce roman historique m'a conquise car il est très bien écrit et extrêmement réaliste. Philippa Gregory a un don pour mettre en scène et rendre proches ses personnages. Certes, elle prend délibérément des libertés avec L Histoire, mais c'est pour mieux servir l'aspect intime et féminin du récit. le résultat est passionnant et beaucoup plus subtil, je trouve, que les séries racoleuses à grand spectacle sur les Tudors. Les luttes d'influence entre les grandes familles qui cherchent à placer leurs filles dans la couche du souverain pour renforcer leur pouvoir sont très bien rendues. On découvre aussi comment la petite histoire fait la grande. Par exemple, le stratagème dont use Henri pour invalider son premier mariage le conduira à rompre avec Rome pour créer l'Eglise anglicane.

Faveurs, disgrâces, amours et trahisons, violence physique et psychologique... Ce roi à l'égo démesuré, véritable ogre du XVIe siècle, nourrit une formidable oeuvre de fiction qui appelle naturellement à lire la suite, intitulée « L'Héritage Boleyn ».
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Deux soeurs pour un roi raconte l'histoire des soeurs Boleyn face au roi Henri VIII constamment insatisfait de ses épouses qui ne parviennent pas à lui donner un fils. Ce XVIème siècle anglais assez particulier nous est raconté par Mary, la plus jeune des soeurs. Elle est repérée par le roi pour sa douceur et son calme. Puis sa soeur ainée, Anne, revient de la cour de France, très à la mode à l'époque. Elle est jeune, belle, et a un tempérament de feu qui intrigue le roi et qui se démarque de toutes ces jeunes femmes qui sont à ses pieds. Peu à peu, Henri VIII délaisse Mary et sa femme d'alors, Catherine d'Aragon. Il est hanté par Anne qui se refuse à lui tant qu'ils ne seront pas mariés. Seulement, le divorce n'existe pas à l'époque. Un mariage ne peut être annulé que par le pape. La femme d'Henri, Catherine, avait d'abord épousé le jeune frère de celui-ci, Arthur, avant qu'il ne meurt prématurément à l'âge de 15 ans. Auprès de la papauté, Henri VIII tente donc de faire annuler son mariage sous prétexte que Catherine n'était plus pure pour leurs noces. le pape refuse tout argument et maintient le mariage. Henri VIII décide alors de se séparer de l'Eglise de Rome et de créer sa propre Eglise : l'Eglise anglicane. Il y a alors un « divorce royal » et Henri VIII est libre d'épouser Anne Boleyn.

Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Anne Boleyn, maintenant reine, a pour charge de donner un héritier au trône. Henri VIII est obsédé par cette succession mâle que Catherine n'a pas su lui donner (ils ont eu un fils qui est mort quelques jours après sa naissance et une fille qui, elle, se porte bien, Mary). L'histoire veut tristement qu'Anne ne parvienne pas à donner de fils au roi. Nait une fille, la future Elizabeth Ière, l'une des reines les plus puissantes que l'Angleterre ait connue... pourtant complètement délaissée par son père.

Le roman, pour en revenir au fond, raconte parfaitement ces histoires de pouvoir et ces jeux d'influence. Racontée à la première personne du point de vue de Mary, l'histoire nous fait comprendre l'honnêteté de la jeune femme et l'ambition grandissante de sa soeur aînée. Ce point de vue nous immisce dans la vie anglaise de cette époque et on imagine sans mal les châteaux aux vieilles pierres ainsi que les demeures un peu perdues dans les larges étendues campagnardes. Ce roman met aussi l'accent sur les mariages arrangés : c'est le cas de la famille d'Anne Boleyn, qui souhaite mettre la jeune femme entre les mains du roi dès qu'il se lasse de Mary. La position de favorite apporte en effet une meilleure condition sociale, des titres et beaucoup d'argent à la famille de (l'heureuse ?) élue. Anne se prend ensuite au jeu.

Deux soeurs pour un roi est certes un gros pavé, mais on plonge dedans sans problème. La traduction de l'écriture de Philippa Gregory est fluide et très agréable à lire. C'est un bon roman pour en apprendre davantage sur les moeurs de ce XVIème siècle anglais méconnu dont on ne retient, la plupart du temps, que l'image d'un roi obèse sur la fin de sa vie, déambulant dans des palais sombres.

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Mary Boleyn, à peine mariée et encore adolescente, est poussée par sa famille à devenir la maîtresse d'Henry VIII Tudor. Les Boleyn et, surtout, l'oncle Howard de Mary, souhaitent obtenir les faveurs du Roi et n'ont pas trouvé de meilleure solution que de lui offrir la jeune fille qu'Henry convoite depuis quelque temps.
Mais Anne, la soeur de Mary, est revenue à la cour anglaise après un long séjour en France. La rivalité qui a toujours opposé les deux soeurs renaît de plus belle : Anne est jalouse de Mary, sa cadette, qui a donné deux enfants à Henry VIII. L'aînée des Boleyn tente alors de capter l'attention du Roi.
Quand elle y parvient, la famille Boleyn et l'oncle Howard décide de la pousser sur le trône à la place de Catherine d'Aragon, l'épouse d'Henry, qui n'a pas pu lui donner d'héritier mâle. Mary Boleyn doit donc céder la place à Anne, cette soeur qu'elle déteste autant qu'elle l'aime...

Ceux qui me connaissent bien (ou qui suivent mes critiques depuis un petit temps) le savent : j'adore l'histoire et la culture britanniques. Et j'ai un faible pour la monarchie Tudor qui, malgré la cruauté dont elle a parfois fait preuve (Henry VIII n'hésitait pas à faire décapiter tous ceux qui le gênait) est tout de même une grande dynastie.
Ma soeur a donc et la bonne idée de m'offrir ce roman, que j'ai adoré.
Raconté du point de vue de Mary Boleyn, il apporte un regard extérieur assez effrayant sur la personnalité d'Henry VIII et d'Anne Boleyn.
Bien entendu, il s'agit d'une fiction historique. L'histoire y est donc romancé et, d'ailleurs, j'ai un peu de mal à croire qu'Anne Boleyn ait été aussi cruelle. Mais en ce qui concerne la tyrannie dont Henry VIII a souvent fait preuve, Philippa Gregory respecte assez bien l'histoire réelle...

Ce qui attire d'abord l'attention dans ce roman, c'est l'opposition qui existe entre les deux soeurs Boleyn. Mary est douce et gentille, elle a un physique typiquement anglais, avec ses cheveux blonds et son teint pâle. Anne, est plus "exotique", elle est brune et ténébreuse, dure et froide, et possède une séduction presque diabolique (ce qui lui vaudra quelques soucis à la fin de sa courte existence...). Anne elle-même perçoit cette différence entre elle et sa soeur et décide d'en jouer quand elle lui dit :
“I shall be dark and French and fashionable and difficult. And you shall be sweet and open and English and fair. What a pair we shall be! What man can resist us?”
Cette opposition se retrouve également dans leur caractère : Mary est un peu naïve, presque idiote diront certains. Elle n'a pas un grand sens de la repartie et a du mal à servir des réponses spirituelles à Henry VIII lorsque celui-ci commence à lui faire la cour. Anne, en revanche est vive et spirituelle et possède un grand sens de la repartie : elle n'a aucun mal à discuter sur un pied d'égalité avec le Roi, même sur des sujets aussi sérieux que la théologie ou la poilitique.
Au début du roman, c'est Anne qui semble la plus sensée et la plus intéressante des soeurs Boleyn. Mary, elle, est reléguée au second plan malgré son rôle de narratrice.
Mais au fil du récit, Anne s'endurcit de plus en plus ; tandis que Mary devient de plus en plus sensée. On éprouve alors plus de sympathie pour cette "autre Boleyn" (Mary) auquel le titre du roman fait référence.

Philippa Gregory s'amuse également à opposer les cours successives de Catherine d'Aragon et d'Anne Boleyn. Au début du roman, l'ambiance de la Cour est plutôt bon enfant. Les messieurs accompagnent le Roi dans les appartements de Catherine et y font une gentille cour aux dames de compagnie de la Reine. Tout se passe de façon très courtoise.
Quand Anne montera sur le trône, cette même Cour va se transformer. On ressent, grâce aux descriptions que nous en fait Mary Boleyn, une ambiance de débauche et d'orgie qui n'existait pas du temps de Catherine. La "première Reine" d'Henry VIII était pieuse et vertueuse, mais Anne ne vit que pour son plaisir et pour séduire le Roi. Ses appartements accueillent constamment des musiciens, des poètes, des hommes qui font une cour moins subtiles à ses dames...
Les conditions de vie à la Cour se durcissent. Henry VIII est de plus en plus entouré par des gens qui souhaitent obtenir ses faveurs et sont prêts à tout pour y arriver.
Les conditions de vie des femmes de l'époque sont également bien expliquées par Philippa Gregory, toujours par le biais de Mary. Cette dernière, une fois qu'elle n'est plus la favorite d'Henry, est littéralement oubliée et ignorée par sa famille. Elle ne sert plus qu'à seconder Anne, à la conseiller afin que celle-ci conserve l'affection du Roi. Mary, devenue veuve, ne peut même pas se choisir elle-même un nouvel époux. On la prive de ses enfants, qu'elle ne voit qu'une fois par an alors qu'elle souhaiterait les élever elle-même. Elle est rejetée le jour où elle se marie sans l'autorisation d'Anne et de leur oncle Howard (qui est le chef de famille).

Dure époque que celle du XVIe siècle anglais. Et pourtant, on ne peut se retenir d'éprouver une certaine admiration pour Henry VIII et ses deux premières épouses. Malgré son caractère épouvantable, Henry VIII est un grand monarque et le prouve plus d'une fois dans le roman de Philippa Gregory. Au début de son règne, il sait s'entourer d'hommes intelligents, qui dirigent le Royaume à sa place et de main de maître (le cardinal Wolsey, Thomas More, Cromwell et bien d'autres). Catherine d'Argaon, fille des Rois catholiques (Isabelle et Ferdinand) a été élevée pour régner. Elle a toutes ces qualités qui font les grandes Reines et le peuple anglais y est très attaché. Anne Boleyn, si elle ne dispose ni de l'éducation nécessaire à sa fonction, ni de l'affection du peuple, est néanmoins prête à tout pour régner. Sa pugnacité, son entêtement se révèlent payant. Et puis, surtout, on ne peut s'empêcher de la plaindre, puisqu'elle est poussée dans le lit du Roi par sa famille, qui souhaite s'élever grâce à elle.
Ce sont donc de grands personnages qui animent les 600 et quelques pages de ce roman. Evidemment, cela donne un récit fabuleux, qui nous plonge directement dans cette époque moouvementée. Une fois encore, Philippa Gregory parvient à rendre l'histoire passionnante. Effrayante aussi, étant donné la fin prématurée et cruelle infligée à certains grands personnages de l'époque.
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Deux soeurs pour un roi est un roman de toute beauté avec une histoire saisissante et poignante, un pur chef d'oeuvre. le livre retranscrit parfaitement bien le destin tragique des deux soeurs Boleyn. C'est bouleversant de voir comment, par l'ambition et la soif de pouvoir des hommes, deux soeurs si étroitement liées au début vont tout doucement être opposées et connaître un véritable drame.

Il y a un réel contraste entre les parties du livre ; au début, il commence avec légèreté et joie et tout doucement il devient sombre et tragique et se termine pas une tragédie sans nom. On retrouve Anne Boleyn, une femme ambitieuse et envoûtante qui à force de viser trop haut connaîtra une longue et douloureuse descente aux enfers, sa forte ambition la conduira à commettre de nombreuses folies qui la conduiront à sa perte emmenant malheureusement avec elle son frère.
Sa soeur, Marie Boleyn, est une jeune femme douce et sublime qui, par la décision des hommes de sa famille d'accéder au pouvoir, deviendra la maîtresse du roi pour ensuite être rejeté, elle sera entraîné dans un tourment dont elle n'a jamais voulu, heureusement pour elle la sympathie et confiance que le roi éprouve en elle lui permettront d'avoir une chance que sa soeur n'a pas connu.

C'est impressionnant de voir comment à cette époque une famille, et notamment l'oncle et le père des deux soeurs ici, changent par intérêt le destin de leurs enfants en les vendant comme du bétail, aussi bien pour les jeunes femmes de leur famille que pour les jeunes hommes... Même si cette pratique de donner ses enfants à des hommes de pouvoir pour avoir des titres et être dans la bonne grâce n'est plus d'actualité de nos jours, le fond de tout ça est encore bien présent à notre époque, à savoir le fait que les hommes sont prêts à tout pour avoir plus de pouvoir ou même d'argent.

À la fin du roman, on ressort révolté par le comportement des hommes, touché par le sort des personnages, autant par celui des soeurs que celui de leur frère ou même celui de la reine d'Angleterre, ému par le fait de voir que malgré les trahisons que les soeurs se sont infligées entre elles, elles restent unies et à jamais liées, essayant de protéger et de secourir l'autre... On en ressort changé tout simplement. Deux soeurs pour un roi a toutes les qualités pour être un bijou ; un des meilleurs romans historiques... Et très franchement il l'est, il est même bien plus que ça.
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Rholala quelle histoire !! Je l'ai dévorée avec gourmandise. Après La princesse d'Aragon que j'avais adoré, cette suite de la vie d'Henri VIII d'Angleterre était passionnante. Narrée par Marie Boleyn, dont personnellement je n'avais jamais entendu parler, la vie des "Trois Boleyn" en comptant leur frère Georges, est vraiment intéressante pour saisir cette période charnière de l'anglicanisme qui est assez hardue à comprendre. L'écriture est fluide et agréable, on déteste tous ces comploteurs de cour et on compatit aux malheurs de Catherine, Marie et même Anne sur la fin. C'est certes un peu romancé mais ça tient assez à L Histoire apparemment, ce qui fait aussi l'intérêt de ce roman.
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La première phrase du résumé du livre correspond tout à fait au tempérament des deux soeurs Boleyn.
J'ai eu plaisir à lire ce chapitre de l'Histoire anglaise particulièrement sanglant pour les épouses du roi Henri VIII.
L'une des soeurs Boleyn, est respectueuse, veut servir son suzerain et surtout en devient amoureuse.
L'autre, est manipulatrice, despote, colérique, obéit à son oncle et à son père dans le but de faire gravir les échelons à sa famille, mais c'est tellement plus simple lorsque déjà, on est TRES ambitieuse. Très souvent je me suis mis à prendre peur des réactions du roi lorsque Anne, le rudoie et lui fait des scènes pas possibles.
Très très bonne lecture qui nous fait découvrir la vie intime du roi et de ses proches.
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ce livre est tout bonnement fantastique, on a l'impression d'être dans la chambre d'Henry VIII je vais maintenant lire les autres romans sur ce sujet !
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Très bon livre. Etant une accro à l'histoire, peu banale, d'Henry VIII depuis la découverte de la série The Tudors, je me devais de lire ce livre qui relate la période de l'accession au trône de la "Reine des milles jours", comme les historiens l'appellent, c'est-à-dire Anne Boleyn. Cependant, ce qui est "novateur" dans ce roman c'est que le narrateur n'est autre que la soeur d'Anne, Marie, qui fut la maîtresse d'Henry avant que sa cadette ne prenne sa place et devienne reine d'Angleterre durant milles jours. Un livre sur fond de tractations, d'alliances politiques et autres négociations prénuptiales. Sur le plan technique, le livre est bien écrit, la lecture est facile et le style assez passe-partout bien qu'il faille se familiariser un petit peu avec le vocabulaire de la période concernée. En bref, je recommande ce livre.
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Voilà un beau roman qui captive du début à la fin. Nous y découvrons le destin de la très controversée Anne Boleyn qui a fait tenir le roi en haleine pendant 7 ans avant l'épouser et de sa soeur Marie tapie dans son ombre toujours prête à l'aider malgré tout les coups bas de celle ci.
Nous vivons à la Cour d'Angleterre aux côtés du fascinant Henry 8 !
Je recommande vivement !!
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