Pig Island

J'ai un sentiment mitigé quant à ce livre.
Au long de ma lecture, je l'ai trouvé très bon. D'abord, le lecteur ne peut pas prévoir ce qui se passe. On n'attend pas pendant des pages et des pages que le mystère de l'île soit résolu. Les événements sont autant de rebondissements, entraînant le lecteur dans une course échevelée.

L'angoisse est renforcée par le fait que Malachy semble suivre nos héros pas à pas sans qu'on puisse déterminer d'où viendra le coup. Il semble être partout, guetter et anticiper leurs moindres mouvements.
[...]
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Lu une centaine de pages hier soir... bien loin du très bon "Tokyo", mais pas désagréable à lire.


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Première incursion dans l'univers de Mo Hayder.

Et malheureusement, ce n'est pas le gros coup de coeur.
Pourtant, le livre démarre vraiment bien, avec une ambiance oppresante et malsaine.

Les personnages sont par contre très intéressant. La psychologie est assez bien construite. j'avoue par contre que la narration est assez chaotique du coup j'avais un peu de mal à rentrer dans l'histoire par moment.

En gros, ce livre me laisse un gout mitigé d'ou ma note.

Livre lu pour le challenge : Black November - Lire un auteur mort

Un début brouillon. Un mystère qui monte doucement, un livre captivant. Et. Bim... Une fin... Sans queue ni tête. Difficile de noter ce roman.
Il m'a fait l'effet d'un soufflé raté.
J'ai fait une moyenne.
Dommage.

déçue par cette lecture que certains louent; au bord de la nausée tant par le fond de l'histoire que par les rebondissements (toutefois "téléphonés") je suis allée au bout croyant m'être trompée hélas non.

275 pages, c'est un abandon. Je voulais aller jusqu'à la 300ème pour voir si ça redémarrait mais… Mais non. Je m'ennuie avec cette lecture, je n'avance pas, je m'endors dessus, je trouve toujours mieux à faire que lire. Donc, je préfère abandonner, laisser tomber, même si c'est frustrant, même si j'ai peur de passer à côté du bouquin, à côté de quelque chose. J'ai dépassé la moitié et je n'accroche pas, alors je pense que je suis déjà passée à côté du bouquin, finalement.

L'idée de base est bonne, m'intéressait au plus haut point, sauf que ça ne l'a pas fait du tout sur moi. J'ai trouvé le style un peu pompeux, ça tournait en rond, ça n'avançait pas, ça cassait le rythme de l'histoire. Et puis je me suis très vite ennuyée, je ne comprenais pas où allait l'autrice, ce qu'elle voulait nous faire comprendre (ou pas). Je ne comprenais pas où allait l'histoire. Page 275, je ne le comprends toujours pas.

Je n'accroche pas l'écriture donc, mais j'ai bien accroché au perso d'Oakesy, si seulement il n'était pas narrateur, j'ai préféré le passage avec Lex, sa femme, quand bien même, elle, je l'ai détesté, j'ai trouvé le style plus entraînant quand elle racontait.

Décidant d'abandonner avant la fin, je suis vite fait aller la lire, mais forcément j'ai pas tout compris à ce point de l'histoire, et donc je ne sais pas si je dois regretter d'avoir laissé tomber ma lecture. Si le livre avait été plus nul, je n'aurais pas eu de regret, mais là, je me dis qu'il était plutôt bien, simplement ça ne passait pas. Ça arrive, dommage.

Cependant je tenterai d'autres livres de l'autrice, je ne veux pas rester sur cette déception.
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Joe Oakes est journaliste mais visant plus particulièrement les phénomènes paranormaux où il cherche à les démystifier. Il doit sa vocation au pasteur Malachi Dove, gourou d'une secte, qui prône entre autres la non-intervention médicale. Sa tante, une des adeptes, va mourir d'un cancer pour avoir écouté ses principes. Il réussira à discréditer les procédés du gourou et depuis, une haine farouche lie les deux hommes. Après des démêlés avec la justice, Dove et ses partisans partent vivre à Pig Island, coupés du reste du monde. Des années plus tard, une créature mi-animal mi-homme y est aperçue : canular, oeuvre du diable ? Dès que l'occasion se présente, Oakes se dépêche de s'y rendre mais une fois arrivée sur l'île, quelques surprises l'attendent…
Après avoir refermé le livre, je me suis dis que cette histoire était vraiment machiavélique mais elle m'a laissée sur ma faim… avec quelques questions en suspens et surtout à savoir : comment vont s'en sortir nos deux protagonistes finalement.
Sinon, il est vrai aussi que je m'attendais davantage à une histoire paranormale en lisant la 4ème page de couverture mais pas vraiment...
Dans la 1ère partie, je me suis retrouvée dans une ambiance malsaine et glauque tout de même où on se demande bien ce qui se passe sur cette île, dans la seconde il s'agit plutôt d'une partie de cache-cache où Oakes et son entourage se trouve constamment sur le qui-vive dans un état de nervosité constant un peu comme la lectrice d'ailleurs ! Et puis la dernière partie est surprenante, surtout dans son dénouement. Même si l'auteur a dissimulé quelques indices dans son récit, je n'y m'attendais pas du tout !
En bref, un goût d'inachevé mais un thriller diablement déroutant et efficace.

Le roman commence plutôt bien, l'accroche est intéressante. Mais la deuxième partie du livre est moins rythmée, et je trouve que la fin tombe un peu à plat.

Mais c'est quand même du bon thriller, bien noir, bien glauque, bien malsain (même si la dernière page me laisse un peu sur ma faim). Il y a un petit côté fantasmagorique qui me rappelle certains passages de Stephen King. En même temps, Stephen King était mon premier amour littéraire…

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Sentiment mitigé au moment de tourner la dernière page de ce roman. Autant le début est fidèle à la quatrième de couverture, mêlant habilement suspens, ésotérisme et lieu atypique, autant la suite perd en intensité pour se terminer de manière assez prévisible. L'auteur essaie à plusieurs reprises de ménager le suspens en instillant de ci de là quelques phrases pour relancer l'intérêt de son lecteur, mais le rythme n'est plus là et l'envie de connaître le dénouement, ou plutôt l'idée d'un dénouement surprenant, s'amenuise au fil des pages. Pig Island demeure cependant un bon roman, mais dont le résumé de l'éditeur ne présente qu'une partie.

Un livre terriblement angoissant. Mo Hayder confirme son talent pour nous raconter des histoires diaboliques. Je l'ai dévoré en trois, quatre soirées, installée sous ma couette. L'oeil de temps en temps braqué vers la porte... ;-) Vraiment ce livre est glaçant !