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sur 2165 notes
Le cerf qui s'unit
Au trèfle de l'automne
On dit
Q'il n'engendre qu'un faon
Unique et ce faon
Mon garçon solitaire
Part pour un voyage
de l'herbe en guise
d'oreiller (Manyoshu)


C'est un beau roman, c'est une belle histoire.
C'est une romance du Japon féodal, légèrement teintée de fantasy - un mélange entre "Le Seigneur des anneaux" et le "Shogun" de Clavell, qui glisse par moments dans l'ambiance fantastique de cette sympathique BD qui est "Okko".
De plus, les critiques sont presque unanimes; alors comment expliquer les sentiments mitigés que j'ai à la sortie de cette lecture ?

L'histoire est bien. Le pacifique village des "Invisibles" est mis à sac par le clan belliqueux des Tohan. Seul Tomasu, un jeune homme, est sauvé in extremis par Shigeru, seigneur du clan adversaire des Otori. Adopté par Shigeru dans un dessein bien précis, il entame alors sa formation sous un nouveau nom, Takeo. Doté de pouvoirs bien particuliers, il va peut-être un jour devenir la personne capable de déjouer le piège du "parquet du Rossignol" dans la forteresse des Tohan. Ce parquet qui se met à "chanter" dès qu'on pose le pied dessus...
Et son coup de foudre pour la belle Kaede, la future épouse de son maître, ne gâche en rien cette aventure palpitante.

Rien à dire non plus en ce qui concerne le style. La plume de Lian Hearn est riche et poétique, les descriptions des paysages sont pleines d'images, les réflexions sur la philosophie et la simplicité de l'art japonais sont vraiment belles.

Alors ? Difficile de mettre le doigt dessus - mais ce n'est ni "Shogun", ni "Le Seigneur des Anneaux". Je ne me suis pas ennuyée, mais la petite fenêtre au milieu de la page qui vous aspire dans l'histoire ne s'est pas ouverte...
J'avais davantage l'impression d'entendre une belle légende - comme si les personnages du livre avaient déjà leur côté "légendaire", un peu comme Roland ou Lancelot.
Trop de bushido tue le bushido ? Les héros courent après leur destin sans se permettre une petite réflexion hors contexte ou un trait d'humour, qui les rendrait un peu plus humains au lecteur.
Amour, honneur et vengeance sont les seuls mots clés.
Malgré ce petit "je ne sais quoi" qui me gêne, je vais peut-être lire aussi les tomes suivants... Mais pas tout de suite.
J'ai davantage envie de reprendre un livre comme "La quête" de Lyndon - il y a ce Normand toujours de mauvais poil, ce Grec timide et ce Viking, qui... ben, voilà, des personnages qui respirent !

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Ce premier tome de le Clan des Otari nous plonge dans un japon de la guerre des clans où l'honneur d'un homme se distingue au prix su sang d'un autre, si bien bien qu'on va d'un massacre à une vengeance. C'est bien ce à quoi va se livrer le clan des Otari pour se venger du clan des Otan.

Le clan des Otan est le seul maître du moment, auteur de la mort des parents de sire Shigeru qui voit d'ailleurs son héritage être légué à ses oncles,

Il a fallu que le shigeru adopte le jeune Takéo, un enfant aux pouvoirs multiples et aux dons exceptionnels, pour que les clans adverses fondent leur espoir en cet enfant. En effet, à travers ses pouvoirs celui-ci pourrait se rapprocher de Iila, ce sera là une stratégie pour parvenir à vaincre le clan des Otan...

Un merveilleux livre qui se lit paisiblement avec une barre de chocolat, on déguste chaque instant que nous livre l'auteur avec enthousiasme. Nous sommes dans un livre de guerre où la mort se distribue comme du pain mais l'auteur ne nous plonge pas forcement dans des atmosphères interminables de la cruauté, au contraire on se glisse aisément dans des observations que fait Takeo de la nature, dans ses interminables interrogations et découvertes de certains aspects de la vie... j'ai eu l'impression que le style de l'auteur nous présente une tragédie qui ne dit pas son nom!
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Au coeur de luttes sanglantes entre différents clans, Takeo trouvera-t-il sa voie ?
Takeo a tout juste 16 ans lorsque son village est massacré par le clan des Tohan. Il est sauvé et recueilli par Otori Shigeru. Tous deux n'auront de cesse de vouloir se venger du chef des Tohan, au milieu des intrigues de pouvoir.

De splendides paysages décrits tant par les couleurs que par les bruits de la nature ; des intérieurs typiques ouverts sur de somptueux et harmonieux jardins japonais, la cérémonie du thé… tout nous transporte au Japon dans une ambiance médiévale raffinée.

Je ne donnerai pas de détails sur les personnages au risque de révéler des éléments de l'histoire qu'il est préférable de découvrir au fil du récit.
Plusieurs personnages offrent différents visages et cachent leur identité véritable. On doute beaucoup avant d'apprendre qui ils sont et cela donne de l'intérêt à l'histoire.

L'auteur est australienne et a beaucoup étudié la langue et la civilisation japonaise. Elle y a également séjourné. Elle parvient habilement a créer un Japon médiéval dans lequel on se plonge avec délectation. Il s'agit néanmoins d'un Japon mythique où le fantastique prend souvent le pas.
Les intrigues sont nombreuses et complexes dans ce récit mené tambour battant et qui nous tient en haleine. Nous nous posons autant de questions que le jeune Takeo découvrant peu à peu son nouvel environnement. Il découvre en même temps les dons dont il a hérité et qu'il ne soupçonnait pas. Plein de stupeur au début, il va peu à peu s'y habituer et finira par trouver une assurance hors norme soutenue par son désir de vengeance. Cependant pourra-t-il vraiment se venger ? Ou le destin en a-t-il décidé autrement ?
Ce roman que l'on croit tout d'abord « cousu de fils blancs » est chargé en rebondissements et nous surprend plus d'une fois !
Je recommande cette lecture !

Challenge ABC 2015-2016
Challenge 1mot, 1 livre
Challenge Multi Défis 2016 avec l'item un livre dont le titre mentionne un animal.
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Alors là, coup de coeur!!
J'ai acheté ce livre dès sa sortie car j'ai littéralement craqué sur sa magnifique couverture. Peut-être pas la plus belle, mais assurément une des plus belle, tous romans confondus (selon moi). Evidemment la quatrième de couverture y a aussi mis son grain de sel. A part avec quelques films et mangas, je n'avais encore jamais lu d'histoire se passant dans le Japon féodal, ou en tout cas, en ce qui concerne le Clan des Otori, un univers s'y rapprochant énormément. Et bien maintenant, c'est chose faite. Je voulais du dépaysement, et je l'ai eu.
J'ai trouvé la plume de Lian Hearn vraiment splendide, d'une poésie et d'une fluidité rarement lu dans un roman s'adressant (à la base) aux adolescents. du moins à l'époque de sa sortie, car il n'y avait pas autant (je n'ai pas dit aucun) de bons livres qu'aujourd'hui pour cette tranche d'age. Ce mélange de dureté et de poésie m'a parfois fait penser au Seigneur des Anneaux des J.R.R. Tolkien. Je ne dis pas que Liarn Hearn atteint le niveau du maître, mais juste que son style se prête merveilleusement bien au voyage.
Pour continuer avec les comparaisons et aborder cette fois-ci l'histoire en elle même, qui sans en atteindre la complexité fait penser à des oeuvres comme le Trône de Fer de George R.R. Martin ou la série télé Rome. Tout comme dans ces deux histoires, il y des renversements de pouvoir, des trahisons, des assassinats...etc. L'auteure n'a aucune pitié pour ses personnages et ne les épargnent pas sous prétexte qu'ils sont gentils ou attachants. C'est une époque sombre ou règne la guerre, et comme dans toutes les guerres, il y a des morts dans les deux camps, sans aucune distinction. C'est dur et cruel, mais réaliste et jamais gratuit. Cela rend même le récit beaucoup plus fort, puisque outre la tristesse que procure la mort d'un personnage, c'est malheureusement ainsi que l'on entre dans la légende pour devenir par la suite, un personnage inoubliable tel Druss dans Légende ou Boromir dans le Seigneur des Anneaux (parmi tant d'autres).
Les personnages justement, sont peut-être le point faible du livre. Non pas qu'ils soient ratés, loin de là, mais ils manquent un peu d'originalité. On se retrouve avec les classiques de la fantasy, le héros qui tombe amoureux au premier regard, le maître paternaliste au lourd passé, l'élève (futur élu) fougueux à l'esprit de vengeance (de sa famille)...etc. Encore une fois, c'est pas mauvais, c'est juste du déjà lu.
Malgré ce petit défaut, j'ai adoré lire le Silence du Rossignol. Je l'ai relu il y a deux ans et malgré son soit disant ciblage "jeunes lecteurs" (qui a changé lors de sa sortie en format poche pour devenir "adulte"!?), j'ai trouvé ce livre d'une grande maturité. Je ne me contenterai donc pas de le conseiller aux adolescents, mais bien à tous ceux qui aiment la fantasy, le Japon et les sagas (ici 5 livres) ou tout simplement, à ceux qui veulent voyager le temps d'une lecture.
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Après le prequel, je me lance dans la relecture des Otori !
J'avais tout oublié ( plus de 15 ans au moins) donc c'est parfait :)
On suit un jeune garçon dont la famille est assassiné par le seigneur Iida et qui est recueilli par le seigneur Otori. En plus de l'instruire et de l'adopter, il lui permettra de se venger.
On est dans un japon féodal qui m'intéresse beaucoup, où la cruauté et la lutte pour le pouvoir sont dominants. Otori Shigeru veut lui obtenir vengeance et pouvoir épouser la femme qu'il aime. Mais chaque camp joue un double jeu, espionne, et jusqu'au bout on se sait pas comment cela peut tourner...J'ai adoré le personnage de Takeo, qui reste fidèle et loyal, que l'on voit évoluer avec la maitrise de ses facultés. de même pour Kaede ! J'ai hâte de les revoir dans le prochain tome.
Challenge Mauvais genres 2024
Challenge auteure sfff 2024
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Le Clan des Otori est un livre que j'ai découvert au collège (bonjouuuuur le coup de vieux !), et fait partie de ces sagas que je relis régulièrement.
Tomasu est un jeune homme vivant dans un petit village des montagnes et faisant partie d'une communauté appelée les Invisibles, dont la particularité est de condamner la violence et d'interdire de tuer. Un soir alors qu'il errait dans la montagne, il retrouve son village massacré par les guerriers Tohan, qui méprisent les croyances des Invisibles. Tomasu est sauvé par un seigneur, Shigeru Otori, qui prend la décision de l'emmener chez lui et de le rebaptiser Takeo. Otori va prendre la décision d'adopter le jeune homme au sein de sa famille et de son clan mais aussi, avec son aide, de venger la mort de son frère par les Tohan et assassiner Iida Sadamu, chef des Tohan et ennemi de Shigeru. Pour l'aider à accomplir cette vengeance, Takeo va avoir besoin de tous les mystérieux pouvoirs qu'il a hérités de la Tribu...
Dans le même temps, nous faisons la connaissance de Kaede Shirakawa, fille d'un seigneur et retenu en otage dans un château appartenant à des alliés d'Iida. Prisonnière depuis l'âge de 8 ans, elle a grandi et s'est métamorphosée en très belle femme, faisant la convoitise de tous les hommes qui la croise... Victime d'une tentative de viol, le capitaine Araï la sauve et s'accuse de la mort de son agresseur. Peu de temps après, on engage pour elle un mariage, mais l'homme mourra peu de temps après. Après cela, la jeune femme est accusée de porter malheur et d'apporter la mort aux hommes qui la désirent. Un état dont Iida Sadamu va profiter, malheureusement, entrainant Kaede dans la guerre.
Le Silence du Rossignol est un premier tome excellent du début à la fin : non seulement il pose les fondations d'un univers riche et détaillé, avec des personnages tous plus captivants les uns que les autres mais il n'oublie pas d'avoir une intrigue excellente !
(Mon avis complet sur mon blog !)
Lien : http://chezlechatducheshire...
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Le Clan des Otori est une série de fantasy qui prend énormément inspiration dans le Japon féodal que j'aime tant. J'attendais donc beaucoup de cette série. La peur d'être déçue m'ayant toujours fait retarder la lecture de ce premier roman. Me voici cependant enfin lancée et conquise !

Du fait de son écriture très poétique, l'auteure arrive à nous transporter dans un univers où de magnifiques paysages se côtoient. L'intrigue est prenante : guerres de clans, guerres de religion, trahisons, découverte de pouvoirs, combats mais également amour et amitié seront de la partie. La culture japonaise a une place importante dans ce récit, l'honneur propre aux samouraïs (et autres combattants japonais) guident souvent nos personnages lors de nombreux moments du roman. le seul petit bémol de ce premier tome est sûrement l'histoire d'amour entre les deux protagonistes qui se passe beaucoup trop rapidement et de façon peut-être un peu clichée.

Le Silence du Rossignol a été une bonne surprise pour moi. Ce premier tome est un petit bijou tant l'univers décrit est poétique et l'intrigue particulièrement prenante.
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Le Clan des Otori est une saga qui me tentait depuis de nombreuses années mais pour diverses raisons, je n'avais pas encore eu la chance de me plonger dedans… Jusqu'à aujourd'hui ! Car c'est désormais chose faite, j'ai enfin craqué et je suis partie en voyage jusqu'aux confins des Terres du Milieu.
La vie de Takeo est bouleversée du jour au lendemain. Lui qui ne connaissait point la violence va voir tout son village détruit et ses proches assassinés. Il n'en réchappera que de peu et devra la vie sauve au seigneur Shigeru, du Clan des Otori. Celui-ci lui apprendra alors l'identité de ceux qui s'en sont pris au village et lui offrira une chance de se venger. Jusqu'au jour où il rencontrera Kaede et devra choisir entre l'amour et la vengeance… Quel choix fera-t-il ?

Dès les premières pages, le lecteur se fait happer par le récit et se retrouve plongé en plein coeur d'un Japon médiéval imaginaire aux côtés de Takeo, un jeune paysan issu d'une communauté pacifiste. Dans un pays gouverné par les Clans, la violence rythme le quotidien de ses habitants, en particulier depuis que le Clan des Tohan a étendu sa domination des Terres de l'Est vers les Terres du Milieu… Pacifistes et altruistes, les villageois de Mino vont malheureusement payer de leur vie leurs convictions. Seul Tomasu en réchappera in extremis grâce à l'aide du sire Shigeru, du Clan des Otori. Fervent ennemi des Tohan et vouant une haine farouche à leur chef, le sire Iida, Shigeru va recueillir Tomasu au sein de son clan et le protéger coûte que coûte. Mais pour cela, Tomasu va devoir abandonner toutes ses attaches à son ancienne vie. Tomasu est mort, Takeo est né. Pourquoi le seigneur l'a-t-il adopté ? Takeo sera-t-il l'instrument de la vengeance des Otori ? Pourquoi Shigeru tient-il tant à le protéger ? Quels projets réserve-t-il au jeune homme ? le jeune homme ne cesse de se poser des questions face auxquelles il devra se montrer patient pour obtenir des réponses. En attendant, commence pour lui le difficile apprentissage de la vie de seigneur : leçons de calligraphie, de peinture, d'histoire et de combats… Une mission pratiquement impossible pour qui n'a pas suivi cette éducation depuis son plus jeune âge. Takeo va pourtant montrer des dons prodigieux et apprendra à une vitesse fulgurante. Qui est-il vraiment ? Shigeru, son père adoptif, ne cessera lui aussi de se poser des questions à son sujet tout en poursuivant son apprentissage. Takeo apprendra ainsi que le pays est organisé en Clans qui font et défont le pays à leur guise, au rythme de leurs guerres et de leurs trahisons. Mais il existe également un Clan, simplement mû par son propre intérêt et qui, lui, n'a prêté aucune allégeance : la Tribu. Commerçants, artistes, difficile de savoir qui appartient à ce Clan. Seule certitude : tous ses membres sont de redoutables espions et assassins. Aux côtés de qui se rangeront-ils dans la guerre qui s'annonce ?
Unis dans leur désir de vengeance, Shigeru et Takeo se découvriront de nombreux points communs et développeront des liens très forts. Mais la Tribu pourrait bien s'en mêler et décider d'influencer le cours des évènements. Takeo devra se rendre jusqu'au Parquet du Rossignol pour mener à bien ses projets de vengeance. Mais il lui faudra être patient et ne jamais hésiter. C'est ce que le jeune homme fera, jusqu'au jour où il rencontrera Kaede, dont il tombera éperdument amoureux. Cet amour l'empêchera-t-il d'aller jusqu'au bout de sa vengeance ?

Lian Hearn nous livre une histoire de vengeances sanglantes servie par une plume pleine de poésie. Ce contraste entre la cruauté des évènements et l'écriture étonnamment douce et fluide est saisissant et donne au récit toute sa force. La violence sous-tend le récit et même lorsqu'elle n'est pas directement présente, le lecteur la sent, comme un serpent tapis dans l'ombre, prête à ressurgir au moindre instant. Lian Hearn sait faire douter ses lecteurs et entretenir le suspens. Si quelques évènements semblent prévisibles, ce n'est que pour mieux être détrompé. Jusqu'à la dernière page, le lecteur ne peut savoir ce que l'auteur a décidé de faire vivre à ses personnages, qui réussit à nous tenir en haleine avec une incroyable facilité.

Le Silence du Rossignol, une lecture épique aux saveurs d'Asie où la vengeance et l'amour se mêlent et défient tous les obstacles qui se présentent devant eux, un récit où la violence et la poésie se cachent derrière chaque mot. Bref, un roman addictif que vous ne pourrez qu'aimer. Oserez-vous aller écouter le Chant du Rossignol ?
Lien : http://drunkennessbooks.blog..
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Premier tome d'une série de quatre, préconisée en littérature jeunesse,
il est un vrai régal, et je ne me suis posée la question pour savoir si j'allais lire la suite.
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Le premier tome de cette saga nous plonge au XIVème siècle, dans un Japon médiéval mythique. Nous y suivons Takeo, jeune garçon ayant grandi dans une communauté condamnant la violence, les Invisibles. Quand celle-ci est massacrée par les hommes d'Iida, chef du Clan des Tohan, Takeo est sauvé de peu par sire Shigeru, du Clan des Otori. Il se retrouve bientôt plongé dans de lourds conflits entre les différents Clans et seigneurs. Au milieu de cette guerre et de ses nombreuses questions sur ses dons particuliers, un amour fou nait entre Takeo et Kaede, fille d'un seigneur, ayant été retenue en otage par les alliés d'Iida et bientôt promise au mariage à seulement quinze ans...

Ce n'est pas du tout le style que je lis à la base, mais une collègue de ma mère me l'ayant prêté en me le conseillant fortement, je me suis dit pourquoi pas. Et franchement, c'était plutôt une bonne surprise !
L'histoire est originale, j'ai été assez rapidement plongée dans l'univers. J'ai assez bien accroché au récit, bien écrit mais facile à comprendre.
Nous suivons alternativement le point de vue de Takeo, à la première personne, et celui de Kaede, à la troisième personne. J'ai vraiment apprécié le personnage de Kaede, j'ai eu bien vite de l'empathie et de la compassion pour elle et j'ai beaucoup aimé suivre son point de vue.
J'avais des doutes sur le fait d'accrocher à l'histoire, au final je lirai la suite avec plaisir, en espérant que le deuxième tome saura me plaire tout autant que le premier !
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