L'intrigue, bien que pas particulièrement innovante, n'en reste pas moins très sympathique. Dans ce monde de fantasy, Fréméa est une jeune femme élue “sainte” et dotée d'incroyables pouvoir de guérisons. Pourtant, malgré l'importance que ce statut lui procure, elle n'en reste pas moins née paysanne et cela ne plait pas à la royauté.
En effet, la marque de la sainte, bien qu'à l'origine ayant un rapport avec la lignée royale, n'est pas héréditaire. Au coeur d'un complot visant à la nuire, Fréméa se retrouve chassée de la cours et destituée de son rôle.
J'ai eu beaucoup de peine pour elle. Ayant été arrachée à sa vie d'avant et conduite au palais lorsqu'elle était enfant, elle se retrouve jetée à la rue comme une usurpatrice, laissant derrière elle tout ce qu'elle a connu.
À partir de ce moment là, Fréméa change. Elle apprend à vivre une vie plus ordinaire, loin du protocole et des règles qu'elle devait respecter. On se rend compte que c'est une jeune femme dont l'enfance a été retirée de force. Elle s'émerveille de tout et garde une certaine naïveté attachante.
On en apprend également plus sur la vie de Roland et le passé qui le lie à Fréméa. Sa loyauté et son attachement envers elle est tout simplement adorable ! On apprend également qu'il est bien plus que ce qu'il laisse paraître et ça m'intrigue beaucoup.
Une premier tome intéressant qui, même s'il n'est pas très original, n'en reste pas moins sympathique. de plus, j'aime beaucoup le style de dessin !
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