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3,88

sur 475 notes
C'est avec un grand plaisir (et une légère appréhension quand même) que je pousse les portes du 221B Baker Street et plonge dans l'ambiance de ce livre… Ambiance qui par ailleurs est aussi sombre que les rues des quartiers troubles de Londres du XIXeme... Et ... Je n'ai pas été décu car l'esprit de Conan Doyle revit à travers la plume d'Anthony Horowitz.

Récit très bien construit et rebondissements dignes du maitre Doyle. Ce livre est un vrai régal pour les fan du célèbre détective. A lire !
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Ouvrage acheté un euro lors d'un vide-greniers, je suis très loin de regretter mon acquisition, bien au contraire - même si j'aurais préféré retrouver notre détective préféré dans une enquête un peu moins glauque que celle-ci !

Je pense véritablement que Anthony Horowitz a tout a fait respecté le personnage de Sherlock Homes tel sous l'angle que l'avait envisagé Conan Doyle, et qui se trouve, à mon goût, magnifiquement interprété par la série "Sherlock" dans laquelle le personnage est interprété par Benedict Cumberbatch (acteur que j'adore, soit dit en passant). Imbuvable, parfois abject, il n'en reste pas moins un personnage extrêmement attachant malgré tout même si, de temps à autre, il remet gentiment Watson à sa place en lui expliquant que les déductions qu'il croit avoir tirées sont loin de ce qu'il pouvait s'imaginer. Bref, du Sherlock tout craché quoi car il est vrai qu'il n'y a que lui pour pouvoir imaginer le pire et se fondre dans des esprits aussi tordus que ceux auxquels il est confronté dans ses enquêtes. I n'y a que lui qui puisse aller chercher le mal à sa source et l'imaginer dans toute sa perversité et cette épisode "La Maison de Soie" en est un parfait exemple !

Ah, Anthony Horowitz, quel juste descendant de notre très regretté Sir Arthur Conan Doyle ! Deux esprits qui auraient mérité de se rencontrer tant cet ultime épisode qui nous est donné à lire des aventures de Sherlock Holmes s'inscrit à merveille dans les aventures de son créateur. Tout y est respecté : les personnages, la chronologie et même une affaire à la hauteur de notre détective et de son fidèle allié le Docteur Watson ! Une affaire macabre, certes, comme le lecteur s'y attend dans tout roman policier, mais qui dépasse même ici les limites de l'entendement ! A découvrir ! Attention, âmes sensibles, s'abstenir !
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Ah Sherlock Holmes : un personnage qui après Conan Doyle a été utilisé et réutilisé dans de nombreux romans, suites, série télé, cinéma et avec plus ou mieux de brio. C'est donc avec une certaine crainte que j'ai débuté Une maison de soie. Mes craintes se sont dissipées dès le premier chapitre car j'ai immédiatement apprécier le style de l'auteur et me suis plongée dans l'univers de ce roman.

L'intrigue est à la hauteur et comme toujours notre duo d'enquêteur résolve facilement le mystère. C'est le docteur Watson qui comme toujours même le récit, pour nous compter une aventure qu'il avait garder secrète jusqu'ici. Tout commence par la visite d'Edmund Carstairs qui craint pour sa vie, puis l'enquête prend un autre tournant quand un jeune garçon meurt. Les révélations vont tomber petits a petits et les pièces du puzzle s'emboîter les une aux autres au fil des pages.

C'est en tout cas un roman que je conseillerai en premier lieu au fan de Holmes mais aussi a ceux qui aiment les romans policiers car ils ne seront pas déçus.
Lien : http://missmolko1.blogspot.i..
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Si Sir Arthur Conan Doyle devait rencontrer Anthony Horowitz après la lecture de la Maison de soie, nul doute qu'il lui serrerait dignement la main!
Mêmes ingrédients, même recette, mêmes personnages... le tout utilisé dans une suite logique puisqu'ici on retrouve le Dr WATSON, à la fin de sa vie, qui va nous introduire une des plus importantes aventures de HOLMES gardée secrète jusqu'à aujourd'hui. Jusqu'à aujourd'hui car révéler cette histoire à leur époque aurait été comme lâcher la peste en France en 2012. Cela aurait provoqué un cataclysme parmi les plus grands de la société mondaine, parmi ceux qui régissaient les lois de la société... Un loup parmi les brebis faussement bien attentionnées.

Le secret est atroce, mais l'histoire est jouissante!

Quel plaisir et quelle joie de retrouver notre Sherlock! de retrouver ses neurones au top et son imagination sans bornes.
Quel dommage qu'il ne s'agisse que d'un personnage...

Je félicite Horowitz pour cette oeuvre bien agréable qui revisite fidèlement un des plus grands classiques policiers anglais. Je le remercie de nous resservir la sauce Sherlock HOLMES dans sa plus belle assiette et de prolonger le plaisir des lecteurs du genre.

Vous l'aurez compris, j'ai adoré ce roman.
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Holmes et Watson reprennent du service !
C'est cette fois Anthony Horowitz qui reprend le flambeau, à la suite des innombrables pasticheurs de Sir Arthur Conan Doyle. Son statut de célèbre écrivain d'aventures pour la jeunesse lui confère sans doute cette légitimité, de même que cette curieuse estampille en quatrième de couverture : « Conan Doyle Estate Ltd » (traduisez : Les ayant-droits de Conan Doyle). Car il s'agit en effet d'un travail de commande. de l'avis général, Horowitz s'en tire bien, et les héritiers seront donc satisfaits. Pour les puristes de l'holmésologie, il ne s'agit que d'un coup marketing (on n'a pas toujours attendu le feu vert des ayant-droits pour écrire d'excellents pastiches holmésiens).
Qu'en est-il réellement ?
Tout commence avec l'évocation par Watson lui-même, au crépuscule de sa vie, d'un manuscrit soigneusement empaqueté et déposé dans la fameuse malle confiée à la banque Cox and Co. Charing Cross, à n'ouvrir que dans un siècle, car voyez-vous, la connaissance des événements si horribles qui y sont consignés pourrait « mettre à mal le tissu tout entier de notre société ». A défaut de révélations réellement explosives, c'est cette malle qui finira par exploser à force d'y entasser tous les manuscrits que le bon Dr Watson n'a pas osé publier de son vivant ! Respect du canon, donc, mais impression de déjà vu, Horowitz ne prend aucun risque.
La plume de Watson/Conan Doyle fleurant bon l'Angleterre victorienne est respectée, surtout, comme souvent, dans les paragraphes d'introduction (souvenirs nostalgiques, description du climat londonien, petit jeu habituel des devinettes devant la cheminée du 221B). On trouvera dans cette nouvelle aventure suffisamment de références et de clins d'oeil au canon pour satisfaire les amateurs du genre. Citons, en vrac : l'évocation de plusieurs nouvelles et romans du canon, Holmes qui se déguise et parvient encore à berner Watson, l'inspecteur Lestrade qui ne cache pas son admiration pour Holmes, le fidèle Wiggins et ses irréguliers de Baker Street qui déboulent dans l'appartement, Mrs Hudson qui fait preuve de bon sens, Mycroft qui tergiverse, Moriarty qui apparaît en guest star, etc.
La narration de l'enquête est assez linéaire, et intègre deux histoires indépendantes qui finissent par fusionner tant bien que mal. Les coups de théâtre supposés n'en sont pas vraiment, les lecteurs aguerris de polars et les amateurs d'aventures holmésiennes en seront pour leurs frais (on devine tout à l'avance et assez facilement). Que diable ! On aurait aimé de la part d'Horowitz un peu plus d'effets de surprise, des vrais scandales, des méchants moins conventionnels, un Mycroft et un Moriarty (ici à contre-emploi) mieux utilisés, peut-être même quelques personnages réels faisant çà et là leur apparition, et un ancrage historique plus solide. Mon appréciation au final : peut mieux faire ! Je suis appâté, j'attends le prochain ! Or, Anthony Horowitz a déjà annoncé qu'il ne donnerait pas suite à ces nouvelles aventures de Sherlock Holmes, ayant sans doute grillé toutes ses cartouches. Comme Conan Doyle et Holmes avant lui, il a donné son dernier coup d'archet et a doucement refermé la porte de la Maison de Soie. C'est dommage.
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Ma fille m'a fait découvrir cet auteur et « le nouveau Sherlock Holmes » à Noel dernier en m'offrant Moriarty. Ayant beaucoup apprécié, je ne pouvais que me procurer le premier opus qui se nomme la maison de soie.

Comme l'écrit Watson, cette enquête est l'une des plus noires qu'il a menées avec le célèbre détective. Il a attendu un an après la mort de son comparse pour la coucher sur le papier.

Pas la peine de vous faire patienter davantage : j'ai adoré une nouvelle fois.

C'est superbement écrit, avec des rebondissements et surtout toujours ce flair inégalable de Sherlock Holmes. On n'est pas au courant de tout mais on cherche… on pense deviner certains faits et méfaits… Et plouf ! Les deux derniers chapitres avec les démonstrations du détective sont des modèles de subtilité et un régal de lecture.

Ajoutez-y un « autobashing » assez fréquent de Watson quand il se retrouve à enquêter tout seul (la encore relativement subtil, ultra réaliste (n'est pas Holmes qui veut, même si ce dernier donne toujours toutes ses techniques…) et délicieux à lire), et surtout les côtés cachés des riches bourgeois à Londres à la fin du XIXème siècle, et vous obtiendrez une enquête à dévorer. Attention, tout n'est pas rose, loin de là. L'une des deux histoires dans l'histoire est même humainement difficile… C'est un roman, mais malheureusement ce genre de méfaits a existé dans le passé...

Horowitz nous dépeint à la fois les états d'esprit, les endroits, les relations entre les personnages et les paysages. On est successivement envouté, charmé, terrifié. Durant les 20 chapitres, on appartient à vie londonienne et on vit aux côtés du Docteur John Watson et de notre détective préféré. Ce qui est sûr, c'est qu'on ne peut pas rester indifférent à son écriture, ni à l'intrigue.

Une fois commencée, il est impossible de lâcher le livre. Chaque chapitre délivre des indices et annonce le suivant. Watson se permet en début ou en fin de certains de nous éclairer sur son état d'esprit ou celui de Holmes. Rien n'est laissé au hasard, j'irai même jusqu'à dire que tout est quasiment parfait.

Point positif supplémentaire : c'est bien écrit. C'est agréable à lire et c'est dynamique. Peu de temps mort dans cette mystérieuse maison de soie.

Je ne peux que vous encourager à découvrir cet auteur et ce livre. Si vous aimez Sherlock Holmes ou si vous avez envie tout simplement de passer un bon moment, procurez-vous ce petit livre de poche. Vous n'en serez pas déçu. Bonne lecture

5/5
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Il est intéressant de lire la Maison de Soie après avoir lu les récits et romans originaux de Arthur Conan Doyle et avant d'entamer Moriarty. le plaisir de lecture n'en sera que plus grand. Anthony Horowitz nous propose une histoire qui ressemble beaucoup à la ligne classique du canon holmesien tout en proposant une actualisation tout à fait contemporaine.

La première partie de l'ouvrage est classique (excepté le fait que le scénario est ici bien plus long que d'ordinaire et croise deux histoires). Un effort certain a été fait pour ancrer cette histoire dans notre quotidien de lecteur en expliquant pourquoi Watson a attendu si longtemps. Et il faut dire que l'explication se tient. Il est d'ailleurs recommandé de garder la quatrième de couverture pour la fin, afin de recevoir une petite piqure de rappel.

Un certain nombre d'épisodes vont toutefois blesser les adeptes. Il est ici souvent question de violence, de meurtre, de légitime défense. Certains épisodes sont franchement sordides et déplaisants. Ces choix sont curieux, tout comme un certain nombre d'autres… qui du coup réserveront ce roman à un public averti et adulte. Les révélations finales ne feront que renforcer ce constant.

Le scénario a tout pour séduire les inconditionnels du célèbre défective : Sherlock et Mycroft, Watson ainsi que les Irréguliers de Baker Street donnent lieu à une série de révélations. Ce menu est certes alléchant mais il est une partie intégrante d'un bien sombre récit, digne d'un auteur de roman noir.
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Il a bien du flair et du nez, comme on dit, ce privé londonien... même s'il a le vice de prendre certaines substances, qui seraient illicites aujourd'hui !
L'appartement reconstitué de ce drôle de personnage est à visiter à Londres au fameux 221B Baker street... Immanquable !
L'adaptation ciné (V1) avec Jude Law et Robert Downey Jr passe sur TMC le 11/03/21 !
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Tout d'abord, je tiens à préciser que je n'ai lu aucune des "vraies" enquêtes de Sherlock Holmes écrites par Conan Doyle. D'après les chroniques que j'ai lues, le style d'écriture de Conan Doyle est bien imité et les personnages bien repris. Personnellement, je ne peux faire aucun commentaire là-dessus.

Au début, j'étais un peu perdue entre les nombreux personnages et rebondissements. Puis je me suis pris au jeu et ai essayé de trouver des indices et des liens entre les personnages, ce qui a rendu ma lecture beaucoup plus intéressante. J'ai apprécié que, lorsque quelqu'un dont on avait pas parlé depuis une centaine de pages réapparaissait, Watson, qui est le narrateur du livre, nous rappelle brièvement qui il est. Cela m'a permis d'être beaucoup moins perdue. L'enquête est passionnante : je ne voyais vraiment pas comment tout allait se mettre en place, les éléments ne semblant n'avoir aucun lien entre eux. Et finalement, le dénouement est surprenant -en tout cas, il l'a été pour ma part- et rien n'est laissé de côté.

J'ajouterai que l'atmosphère est très bien décrite. On se retrouve à Londres à la fin du XIXème siècle : c'est sinistre, un peu glauque et, ma foi, très prenant ! Je trouve qu'elle ajoute un côté un peu dramatique à l'histoire.

En conclusion : Une très bonne surprise pour moi : j'ai aimé l'enquête, les personnages, l'ambiance... J'ai maintenant très envie de découvrir quelques oeuvres originales de Conan Doyle pour retrouver Sherlock Holmes.
Lien : http://livresquement.blogspo..
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D'accord, ce livre sentait le souffre d'entrée de jeu suite à la Canon Estate qui aurait bien voulu que Sherlock Holmes quitte le domaine public pour réintégrer celui du domaine privé et faire sonner le tiroir caisse... Pas bien !

Mais Horowitz, lui, il n'a rien à voir dans tout cela, on lui a demandé d'écrire un roman de Sherlock Holmes et il l'a fait, sans montrer ses écrits aux héritiers.

Moi, d'emblée, un livre qui sent le souffre m'attire comme un corps gorgé de sang attire un vampire... en plus, si le roman concerne mon héros préféré de la littérature, que demander de plus ?

Ce fut avec une joie mêlée d'impatience (pire qu'un gosse le matin de Noël) que j'ouvris le livre pour retrouver le docteur Watson, fort âgé, en train de nous narrer une des aventures qu'il avait vécue avec le grand détective, en 1890, peu de temps après son mariage. Une qu'il n'avait jamais osé raconter... Ma tension montait.

L'aventure commence de manière habituelle : un client, monsieur Carstairs, propriétaire d'une galerie d'art, vient trouver Holmes parce qu'il pense que le seul membre survivant d'un gang de Boston l'a suivi en Angleterre pour accomplir sa vengeance et le tuer.

Jusqu'ici, tout semble banal, hormis la plume d'Horowitz qui a ressuscité avec brio nos deux héros, leur univers, les personnages secondaires, a rétabli quelques vérités au sujet de ce pauvre Lestrade et m'a fait sourire plusieurs fois.

Ensuite, le rythme s'accélère avec un cambriolage, l'entrée en jeu des Irréguliers, un poignardé à mort, un cadavre torturé,... Toutes ces pièces venant se mêler aux premières, nous donnant l'impression que l'on change d'affaire, nous éloignant définitivement de ce ridicule cambriolage et que Holmes ne va pas arriver à démêler cet écheveau. Moi-même je me suis demandée par quelle pirouette l'auteur allait s'en sortir.

Et oui, malgré tout son talent, Holmes va se retrouver confronté à une énigme : qu'est-ce donc que cette « Maison de soie » ?

Même si mon esprit me hurla très vite la réponse (et il avait raison, le vicieux), personne dans l'histoire n'ose y répondre, la question déclenchant même certains comportements agressifs... Mycroft, him-self, subira des pressions et ordonnera à son cadet de stopper tout. Comme s'il pensait pouvoir arrêter son petit frère ! C'était mal connaître Sherlock qui va poursuivre l'affaire et se retrouver en très, très fâcheuse posture, laissant le pauvre Watson bien seul. Faut toujours écouter son grand frère, Sherlock... Quoique, le détective n'avait pas tort de vouloir poursuivre cette croisade, faisant d'elle une affaire personnelle...

Dans sa quête – pas facile – pour aider le détective, le brave docteur croisera brièvement la route d'un personnage bien mystérieux... Celui-Dont-Watson-Ne-Saura-Pas-Le-Nom-Ce-Jour-Là lui fera jurer de ne rien divulguer à Holmes. Une p'tite chute de spoiler ? Non, je ne vous dirai rien de plus.

Mais revenons à notre binôme qui n'est pas celui de Newton : j'ai eu peur pour mon détective préféré et Watson aussi. Nous tremblions de concert... C'était sous-estimer Holmes ! Quand tous se liguent contre lui, il n'en devient que plus brillant, les bluffant, se pavanant presque à leurs nez et à leurs barbes. Brillant, l'ami, très brillant, je n'y ai vu que du feu. Et paf, une claque !

Bien que Watson ait suivi quelques fausses pistes, notre limier a suivi la sienne, finissant par vous emmener dans cette « Maison de Soie » où vous auriez préféré ne pas entrer, je pense, même si l'auteur restera très sobre dans les détails scabreux, vous laissant imaginer l'horreur. J'ai apprécié cette absence de déballage qui aurait fait tache dans l'histoire. Ensuite, lors de la clôture finale de l'enquête, je me suis prise encore deux bonnes claques que je n'avais pas vu venir. Brillantissime ! La pirouette était réussie.

Horowitz a bien fait son travail, semant des tas de références canoniques, mettant des pensées dans la tête de Watson que j'eus plaisir à lire (surtout les questions sur la jeunesse des frères Holmes), rétablissant l'honneur de Lestrade quelque peu malmené, parfois, me faisant lire avec un plaisir sans cesse renouvelé les déductions de Holmes, lui donnant un côté humain lorsqu'il découvre le gamin mort, torturé, un ruban blanc au poignet et qu'il se sent coupable. L'auteur se permettant même de saupoudrer son histoire de la craie blanche d'un mathématicien fourbe...

Au final, l'écheveau fut démêlé, toutes les pièces s'imbriquant l'une dans l'autre, me faisant hausser les sourcils de surprise. Ce fut avec une grande peine que je les quittai ensuite, le livre se refermant sur le mot « fin ». Un goût de trop peu dans ce festin canonique qui n'a fait qu'aiguiser mon appétit insatiable de ce cher détective...

Lien : http://the-cannibal-lecteur...
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