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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Je ne connaissais pas du tout cet auteur norvégien, ancien officier de police. le livre est le huitième d'une série ( mais seulement le deuxième publié en France, c'est dommage) consacrée à l'inspecteur William Wisting.

Ce personnage m'a plu d'emblée : solitaire, humain, intègre, passionné par son métier. Son lien affectueux avec sa fille , Line, journaliste, ajoute un plus au roman. Et le rôle indirect qu'elle joue dans les investigations de son père donne du punch aux événements.

Quelques indices pour cette enquête complexe, en raison notamment du rappel du passé qui vient télescoper le présent: une ancienne affaire, qui a vu condamner un homme pour le meurtre d'une jeune femme, va être réouverte, car l'avocat du prisonnier pourrait montrer qu'un policier a délibérément produit de fausses preuves. Comme Wisting était à l'époque le chef enquêteur, il est accusé, suspendu et doit subir un interrogatoire de la police interne.

Or, une autre jeune fille vient d'être portée disparue...

Je n'en dirai pas plus, mais l'image des chiens de chasse est bien choisie: ils poursuivent une trace frénétiquement, laissant de côté d'autres possibles proies, comme les enquêteurs qui étaient sûrs d'avoir trouvé le coupable.

Certes, c'est un policier classique dans son déroulement, mais bien construit, présentant des personnages fouillés, intéressants, avec pour décor une ville au sud d'Oslo, et ses environs marins balayés par le vent et la pluie. J'aimerais poursuivre l'aventure avec cet auteur...
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A quoi reconnait-on un polar nordique qui sort du tout-venant ? Il y a surproduction dans ce genre littéraire et peu peuvent se vanter d'être du niveau des grands auteurs de polar scandinave tels que Mankell , Indridason, Stieg Larsson, Camilla Läckberg et Jo Nesbo.

Le norvégien Jørn Lier Horst n'est pas loin de se hisser du haut niveau de ces illustres ainés.
Les chiens de chasse est son deuxième roman de la série « William Wisting » publié à la Série Noire, Gallimard (après l'excellent Fermé pour l'hiver, l'an passé le prouve parfaitement.

L'inspiration de Jørn Lier Horst vient de sa propre expérience en tant qu" inspecteur de police spécialisé en homicides.

Pour cette nouvelle histoire le tandem père/ fille de "fermé pour l'hiver se créé avec naturel et complémentarité à l'occasion de la réouverture d'une enquête vieille de 17 ans : Wisting, officier de police suspendu pour être suspecté d'avoir introduit de fausses preuves dans cette affaire vieille de 17 ans, et sa fille Line, journaliste qui n'a pas froid aux yeux.

Les chiens de chasse, qui exploite bien le décor des paysages désolés de Norvège, ne révolutionne pas les codes du genre, mais l'humanisme qui se dégage dans la description des cambrioleurs venus de Lituanie, pays exsangue à l'avenir incertain, fait chaud au coeur.

Un roman policier bienveillant, du polar de proximité, citoyen et fraternel, doté de personnages, bien dessinés et cohérents, y compris ceux qui sembleraient esquissés et bref un polar sérieusement addictif qu'on vous recommande sans problème !!

Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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En 84 chapitres et 462 pages l'auteur nous transporte dans une petite ville balnéaire au Sud d'Oslo, un site battu par les vents——une bruine tenace, à la surface sombre de la mer tachetée d'écume, la houle déferle sur les galets de la grève ——-le son grave d'une corne de brume déchire parfois le silence .
Ce palpitant polar nous révèle deux enquêtes, une ancienne, vieille de dix-sept - ans , dans les archives—— une autre en temps réel—— au coeur : deux personnages bien mis en valeur, l'inspecteur William Wisting, humain, intègre, compétent et chevronné, soucieux de justice et sa fille Line, journaliste au VG, enquêtrice ambitieuse, pointilleuse et mordante ,au flair infaillible, à l'esprit imaginatif .

Les liens de tendresse qui les unissent donnent de la crédibilité aux événements qui se déroulent au fil des chapitres, au coeur des paysages désolés de Norvège .

Cet enquêteur pétri d'humanisme, homme d'action objectif , authentique, qui a appris à résister à la pression, se débat dans les méandres d'un très vieille affaire qui le met en cause .
Sa ténacité révélera de nouvelles pistes grâce au repérage minutieux d'anciens documents avec l'aide précieuse d'un ancien médecin légiste ...

Il sait aussi s'y prendre parfois par la douceur,, le calme et l'écoute ...

Ce polar nordique met à jour et dresse un fabuleux réquisitoire contre quelques dérives journalistiques et policières ...
Subtil et minutieux , addictif et intriguant , habilement composé ce roman de la série noire donne envie de continuer à découvrir les enquêtes de John Lier Horst .
Merci beaucoup à Sabine qui me l'a fait découvrir !
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Rudolph Aglund a été condamné pour l'enlèvement et le meurtre de Cecilia Linde. L'enquête avait été pilotée par le jeune William Wisting. Après 17 ans de prison, il est libéré et son avocat accuse la police d'avoir falsifié une partie des preuves. L'ancien responsable de l'enquête est immédiatement mis à pied par l'adjoint au directeur de la police, Audun Vetti, lui-même impliqué dans les recherches 17 ans plus tôt. Aidé de sa fille, journaliste enquêtant sur un meurtre récent, et d'un retraité de la police scientifique, Wisting rouvre le dossier pour identifier qui a falsifié les preuves, et étayer sa conviction que Aglund est bien coupable et n'a pas été injustement condamné. D'autant que nouvelle jeune femme disparaît...

Jørn Lier Horst nous livre une enquête ciselée dans les brumes et les pluies du sud de la Norvège, taillée au cordeau. Une enquête digne de l'ancien policier qu'il fut lui-même.
Les esprits chagrins y trouveront sans doute quelques incohérences ou quelques coïncidences improbables, mais cela n'enlève rien à la crédibilité et au réalisme des 4 énigmes qui se chevauchent.
Les personnages sont bien campés, avec juste ce qu'il faut de détails, avec leurs forces et leurs certitudes, mais aussi leurs failles et leurs faiblesses.
L'écriture est agréable et se laisse lire avec aisance, sans tomber dans la facilité.
Une intéressante enquête norvégienne, et une belle découverte.
Lien : http://michelgiraud.fr/2020/..
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Un polar scandinave. de facture assez classique.
Un policier sur le retour, qui se retourne sur son passé, sur son couple et qui se replonge dans une vieille affaire passée.
C'est lent comme les meilleurs polars du Nord, froid oblige.
Mon bémol vient de la mise en exergue du rôle de sa fille journaliste qui est une seconde enquêtrice dans ce roman. Je n'y ai que moyennement cru...
Sinon, tout le reste se tient bien, c'est une lecture divertissante comme on peut l'attendre de ce genre...
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Près de 20 ans après la disparition d'Ellen puis de Cecilia, Linea une troisième jeune femme s'évapore dans la région de Larvik.
Rudolf Haglund, condamné il y a 17 ans pour le meurtre de Cecilia, retrouve la liberté et son avocat se fait fort de prouver que le procès était biaisé par des preuves ADN falsifiées.
Les médias s'emparent de l'affaire : Frosten le rédacteur en chez de VG lâche Eskild Berg aux trousses des policiers. Gjermund Hulkvist de Dagbladet utilise lui "ses bonnes sources" pour obtenir des informations inédites garantissant des ventes spectaculaires.
La pression médiatique exercée sur les policiers en contexte d'urgence et d'exigence de résultats immédiats les sort de leur zone de confort et les "chiens de chasse" se focalisent sur une seule piste, un seul gibier.
Le policier William Wisting qui a fait condamner Haglund est suspendu. Sa fille Line, jeune journaliste de VG, et quelques vieux collègues dont Frank Robekk, oncle d'Ellen la première disparue et Finna Haber un retraité rouvrent les dossiers ...

En 84 chapitres, 462 pages, Jorn Lier Horst nous offre un palpitant polar qui aurait pu se dérouler en France (je pense aux gendarmes de Vincennes, à l'affaire de Tarnac, au procès Erignac en Corse) et dresse un terrible réquisitoire contre certaines dérives journalistiques et policières.
Merci à Gallimard et Babelio d'organiser une prochaine rencontre avec l'auteur.
Mais quel dommage que ces romanciers nordiques baptisent leurs personnages de patronymes impossibles à mémoriser ;-)
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Hasard des lectures : tandis que je venais de terminer le dernier roman de Menegaux, les lignes suivantes me donnaient l'étrange impression de me replonger dans la même problématique : « Sous la pression, on pouvait être amené à tirer des conclusions hâtives. Les enquêteurs se formaient leur propre avis dès que les premières preuves apparaissaient et ensuite, leur opinion faite, il s'instaurait un processus inconscient pour en chercher la confirmation. Ils se mettaient des oeillères et ne recueillaient que les infos qui allaient dans le sens de leur hypothèse principale. » Celles et ceux qui auront lu Est-ce ainsi que les hommes jugent ? reconnaîtront le thème central du roman, à savoir que personne n'est à l'abri d'une erreur judiciaire tout simplement parce que la pression que subissent les policiers est telle qu'ils risquent à tout moment de suivre, tels des « chiens de chasse », la première piste qui se présente à eux, oubliant les axes secondaires et risquant de faire endosser la culpabilité à un innocent. Rien que ça !
Dans le roman qui nous occupe, William Wisting, policier expérimenté (31 ans de métier!) et reconnu pour ses compétences et son intégrité, est suspendu de ses fonctions : en effet, il est accusé d'avoir, dix-sept ans auparavant, fabriqué des preuves pour que soit arrêté un certain Rudolf Haglund, soupçonné d'avoir enlevé et assassiné une jeune fille nommée Cécilia Linde.
William Wisting a-t-il en effet succombé à la tentation de falsifier des preuves pour que celui dont il avait -et a toujours d'ailleurs- l'intime conviction qu'il était coupable se retrouve effectivement derrière les barreaux? Ce qui signifierait qu'un innocent est resté de nombreuses années en prison - fait gravissime !
Wisting clame son innocence. Dit-il la vérité, se ment-il à lui même ? Ou bien quelqu'un a-t-il intérêt à ce qu'il soit destitué, et si oui, pour quelle raison ?
En tout cas, il doit rendre sa carte de police tandis qu'une commission de révision réétudie sérieusement le cas Rudolf Haglund. Wisting doit maintenant se battre pour prouver son innocence, d'autant que l'opinion publique, via la presse, s'est déjà fait son opinion… Pas franchement agréable de voir son portrait à la une tous les matins… on a comme l'impression d'être mis au pilori !
Destitué et n'ayant donc plus accès aux anciens dossiers, Wisting ne peut mener l'enquête librement… Qu'à cela ne tienne ! Sa fille, Line, journaliste au Verdens Gang est là pour l'aider et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle n'a ni froid aux yeux ni les deux pieds dans le même sabot ! Elle couvre de son côté un autre meurtre mais se rendra disponible pour secourir son père dans la tourmente !
Un bon polar, bien rythmé (les chapitres sont courts), plein de rebondissements (plusieurs affaires sont mêlées), qui interroge sur les risques d'erreurs judiciaires auxquelles sont confrontés les policiers écrasés par une pression médiatique et hiérarchique intense les transformant en « chiens de chasse » prêts à tout pour faire inculper celui que leur instinct désigne comme coupable, au risque de ne pas étudier d'autres pistes et de passer à côté de la vérité.
Des analyses psychologiques fouillées rendent les personnages à la fois crédibles et attachants. Je les retrouverais d'ailleurs avec plaisir dans un prochain roman !
Beaucoup de suspense et de tension donc dans ce polar nordique où la météo plutôt frisquette de l'hiver norvégien crée une atmosphère comme on les aime… dans les livres !
Un très bon moment de lecture !
Lien : http://lireaulit.blogspot.fr/
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Du polar comme je les aime : tout dans la psychologie, sans effet de manche, sans hémoglobine, avec une progression intellectuelle que l'on suit avec plaisir en se remuant les méninges un peu paresseusement puisque les enquêteurs le font pour nous. Bref, le bouquin idéal pour un week-end de Pâques un peu frais passé en grande partie sous la couette. Avec en prime une balade sur les routes de Norvège et même un petit passage en Suède. Atmosphère nordique et rythme efficace, écrit par un ancien inspecteur de police, ceci expliquant cela.

L'intrigue se concentre sur quatre journées qui viennent remettre en cause toutes les certitudes de William Wisting, policier expérimenté qui voit resurgir une vieille affaire. Libéré après une peine de dix-sept ans de prison pour le meurtre de Cécilia Linde, Rudolf Hadlung intente une action visant à démontrer qu'il a été condamné sur la base de preuves falsifiées. En charge de l'enquête à l'époque, Wisting est directement mis en cause et suspendu de ses fonctions tandis que les médias s'emparent de l'affaire. Quelqu'un de son équipe a-t-il effectivement commis une faute ? Lui-même a-t-il agi comme les "chiens de chasse" qui s'acharnent sur leur cible à partir du moment où ils sont lancés ? C'est ce qu'il va tâcher de déterminer, malgré son éviction alors que l'opinion publique semble déjà l'avoir jugé et que la disparition d'une jeune fille mobilise les forces de police ...

Première bonne idée, le tandem informel formé par Wisting et sa fille, Line. Cette dernière, journaliste pour un grand quotidien national possède un flair d'enquêtrice qui n'a rien à envier à celui des policiers. le parallèle entre les méthodes de la presse et celles de la police permet de tenir le lecteur en haleine et de suivre plusieurs enquêtes en même temps, multipliant ainsi les pistes et les hypothèses. Deuxième bonne idée, le décalage temporel entre les moyens existant lors de la première enquête et, dix-sept ans après, ceux induits par les nouveaux outils de communication. Enfin, on apprécie le rythme assez lent qui permet de décortiquer les indices et de suivre les raisonnements des personnages sans chercher les rebondissements à tout prix mais en distillant un savant dosage d'énigmes et de fausses pistes qui accroche le lecteur sans jamais le lasser.

Un polar de facture assez classique, à l'allure impeccable et aux personnages très bien campés au point qu'on a très envie de les croiser de nouveau. du noir élégant et très convaincant.
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
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L'originalité de ce polar norvégien se situe dans l'inversion des rôles classiquement proposés par le genre. Rudol Hanglund, qui vient de passer dix-sept ans en prison, attaque la police en justice, l'accusant de l'avoir fait condamner avec de fausses preuves.

L'inspecteur William Wisting, qui était le responsable de l'enquête, se retrouve l'accusé principal, démis de ses fonctions par un supérieur qui ne l'aime pas, soumis à une enquête interne pour faute grave, et à la une de journaux qui ne laissent pas passer l'occasion de faire du chiffre sur son dos.

En lieu et place d'un policier sûr de lui dans la traque de l'habituel psychopathe, nous avons un inspecteur en plein doute, qui cherche à comprendre où lui et son équipe ont pu s'égarer à l'époque, se transformant en « chiens de chasse », avec comme unique objectif de cerner la cible, le suspect, sans dévier un instant de cette quête de preuves pour le faire condamner, délaissant tout autre piste qui aurait pu se présenter. Il reste cependant persuadé de la culpabilité de Hanglund.

Wisting ne peut que reprendre le dossier pour tenter de prouver qu'il n'est pas à l'origine des malversations, et que c'est le bon coupable qui vient de sortir de prison. Il peut compter sur l'aide précieuse de sa fille Line, journaliste spécialisée - bon sang ne saurait mentir - dans les affaires criminelles, en charge justement de couvrir un meurtre pour lequel elle se trouve souvent en avance sur les flics.

Sans que le rythme soit époustouflant, le suspense monte progressivement dans une intrigue bien construite, façon puzzle où les éléments prennent leur place au moment opportun pour maintenir l'intérêt du lecteur.
Un agréable polar, sans être pour moi un coup de coeur.
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Cet ouvrage a été mis entre mes mains par mon libraire, après ma demande de lire un polar. Il m'a conseillé la saga de Jørn Lier Horst, mais petite erreur de sa part, il a confondu le tome 1 et le tome 2. J'ai donc acheté… puis lu le mauvais tome.

Mais pour le coup, cela n'a pas été aussi dérangeant que ce que j'aurais pu penser. En effet, les références au premier tome sont relativement rares et les rapports entre personnages principaux - l'inspecteur Wisting et sa fille Line – ne sont pas très compliqués à suivre. Justement, de ce que j'ai compris, le premier tome se réfère à la première enquête qui a propulsé Wisting, lui permettant d'être reconnu au sein de sa brigade mais également du grand public norvégien. Ici, cette double réputation va justement être remise en cause à la suite d'un scandale médiatique qui s'apprête à devenir judiciaire.

Il est alors temps de se replonger dans une histoire vieille de 17 ans, où Cecilia Linde, une jeune fille avait été enlevée puis retrouvée morte. Or, cette sordide histoire est sur le point de ressurgir lorsque le coupable présumé, Rudolf Haglund est remis en liberté, ne cessant de clamer son innocence. Jusqu'à présent, rien de nouveau puisqu'il revendiquait déjà son innocence 17 ans auparavant, mais les choses prennent une toute autre tournure lorsque les médias s'emparent de l'affaire. L'inspecteur Wisting est ainsi accusé d'avoir falsifié les preuves et de s'être précipité sur le premier suspect trouvé afin de clôturer l'enquête au plus vite. Mais si l'enquête avait déjà été sordide et compliquée à résoudre par le passé, qu'en est-il aujourd'hui où les médias ne cherchent qu'à voir tomber la tête de cet inspecteur si réputé ? A l'époque, les policiers ont-ils vraiment été aveuglés par la nécessité de résoudre rapidement l'enquête, faisant de Rudolf Haglund le coupable idéal ? Même l'inspecteur Wisting en vient à douter, a-t-il agi comme un chien de chasse en privilégiant son instinct au détriment de la vérité ?

En parallèle, on a une deuxième histoire de meurtre et cette fois-ci, c'est sa fille journaliste qui se lance dans l'enquête. Une deuxième fille disparait peu de temps après, amenant donc ces diverses enquêtes à se rejoindre, créant de fait un tandem père/fille inséparable. J'ai été touchée par cette relation où Line est prête à mettre en péril sa vie pour sauver la réputation de son père. de plus, le fait de se replonger dans une enquête vieille de 17 ans permet de constater les différences de méthodes, de technologies qui séparent toutes ces années. La capacité de remise en question de l'inspecteur Wisting nous amène d'ailleurs à douter de lui ainsi que de tous ses coéquipiers.

Cet ouvrage n'est pas un coup de coeur mais il m'a suffisamment plu pour que j'ai envie de lire le premier tome (histoire de voir ce que j'ai raté) mais également la suite !
Lien : https://lennaden4.webnode.fr..
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