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sur 944 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Fuck le blizzard, j'ai envie de plagier. Une tempête à te geler le majeur, et tes lèvres bleutées. Inouï ce qu'il peut faire froid. Dans ce pays de vikings, de pécheurs islandais, et d'étranges disparitions. Si encore, les corps réapparaissaient systématiquement sur les « étranges rivages » après une escapade en pleine mer. Mais non, certains disparaissent sans laisser de trace. Erlendur que tout le monde avait perdu de vue sur « La muraille de lave », collègues de la police, lecteurs de polar nordique et buveurs de Skoll compris. Tu te demandes dans quelle catégorie je me situe. Je dirais, réflexion longuement mûrie, dans cette troisième classe, sauf que j'ai fini ma dernière bouteille de Skoll lors du match France-Islande. du coup, je me demande si je ne vais pas me faire une bière givrée. C'est tendance, la bière givrée, avec une paille !

Seul dans sa cabane, sans chauffage, à même le sol, à même l'humidité, un lit de mousse et le froid pénétrant à travers les os, Erlendur devient ermite. Que fait-il, sur cette terre d'enfance, cette lande sauvage qui lui rappelle les heures sombres de son histoire. Une histoire poignante d'ailleurs qui marqua à tout jamais le petit garçon qu'il était et probablement l'envie de devenir flic. Seul dans le noir, la tempête souffle et voilà ce vieil inspecteur qui enquête de façon non officielle sur une vieille disparition, celle de Matthildur dont on ne retrouva jamais le corps depuis plus de 70 ans. Les témoins de l'époque ne sont plus très nombreux, sourds, grabataires ou impotents. Peu importe, il avance dans le noir, dans le blizzard, non pas pour trouver des coupables, mais pour trouver des réponses, comme s'il s'agissait de sa dernière enquête. Celle qui mettra fin à son sentiment de culpabilité qui le hante depuis l'âge de 10 ans.

Tu veux mon avis, même si je n'ai pas encore lu toute la bibliographie d'Arnaldur Indridason, ces étranges rivages sont pour moi la meilleure enquête de l'inspecteur Erlendur. Pas par son suspens, ses revirements de situation ou ses éventuels turn-over, mais simplement parce qu'elle propose du coeur, de l'âme et de la douleur. La rédemption d'un inspecteur, une histoire de coeur, une histoire d'enfance, une histoire de blizzard. Tu l'entends ? bien sur que tu l'entends, le blizzard. Fuck le blizzard.
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♪ Disparu, tu as disparu…

Comme un enfant fasciné
Par ses propres blessures
Je ne veux pas oublier
La douleur de cette aventure ♫

Ces paroles d'une chanson des années quatre vingt résument parfaitement l'atmosphère de ce roman d'Arnaldur Indriðason se déroulant dans le froid islandais. Comme dans « La Femme en vert » qui m'avait beaucoup touché, on retrouve avec grand plaisir le policier Erlendur, une sorte d'Harry Bosch à la sauce islandaise, traumatisé à vie par un événement de son enfance à l'âge de dix ans: la disparition de son petit frère cadet au cours d'une sortie dramatique en montagne avec leur père.

Profitant de quelques jours de congés, Erlendur cherche à décompresser loin de Reykjavík en squattant la maison abandonnée de son enfance dans la région des fjords de l'est. Lors d'une discussion avec Boas, un chasseur de renard du coin, les deux hommes se remémorent avec compassion une étrange disparition dans les années 40.

En effet, la femme de Jakob, Matthildur, est portée disparue au même moment et au même endroit où des soldats britanniques se perdaient lors d'une soudaine tempête de neige dans la montagne islandaise durant la seconde guerre mondiale.

A partir de cette conversation fortuite, Arnaldur Indriðason va articuler son roman entre l'enquête civile d'Erlendur sur la disparition de Matthildur et l'enfance d'Erlendur avec comme point d'orgue l'événement dramatique qui le hante ici même encore jour et nuit.

Comme dans La Femme en vert, Indriðason montre à quel point ses romans sont ciselés avec une précision d'horloger. Néanmoins, connaissant déjà l'auteur, j'ai eu l'impression que la mécanique parfaitement huilée d'Indriðason prenait le pas sur l'intrigue et l'émotion. Même si j'ai été embarqué du début à l'extrême fin du roman, le fait qu'aucun grain de sable ne vienne altérer l'implacable récit m'a laissé un peu dubitatif.

Pour conclure, autant la construction de Ron Rash sublimait le roman « Un pied au Paradis », autant les pièces du puzzle d'«Étranges Rivages » s'imbriquent trop parfaitement à mon gout, tenant presque du miracle.

Si vous ne connaissez pas cet auteur, je vous conseille malgré tout la lecture de ce roman parfaitement orchestré et calibré. Dans le cas contraire, j'ai peur que vous ressentiez comme moi un manque d'originalité et d'imprévu préjudiciable au roman, de la part d'un auteur qui possède néanmoins un talent d'écriture indéniable.…
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L'inspecteur Erlendur vient de terminer une enquête à Reykjavik et prend quelques jours de vacances dans l'ancienne maison familiale tombée à l'abandon et qu'il va squatter. Au cours d'une de ses longues ballades, il rencontre Boas, chasseur de renard de son étang et ils font un peu de route ensemble.

Chemin faisant, ils évoquent un drame survenu en 1942, où des soldats britanniques ont péri lors d'une violente tempête et dont on a retrouvé les corps, l'un d'eux emporté jusqu'à la mer. En même temps disparaissait une jeune femme de la région, Mattildur, lors de cette même tempête, mais son corps n'a jamais été retrouvé. de ce fait, des légendes sont nées à son sujet.

Ceci éveille la curiosité pour notre inspecteur, amateur de personnes disparues depuis longtemps, et dont il arrive à retrouver l'histoire à force de recherches minutieuses, avec des indices précaires car trop anciens et il va rencontrer peu à peu ceux qui ont connu Malttidur…

Ce que j'en pense :

J'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce livre, même si le début m'a rebutée un peu car le temps passe lentement, dans une atmosphère sombre, des personnages d'apparence rude, secrets, qui dévoilent très peu leurs affects comme leurs souvenirs. Ont-ils vraiment envie de se souvenir de cette terrible tempête et de ces personnes mortes tragiquement.

Peu à peu l'enquête, qui n'a rien d'officiel, s'anime et les révélations, les surprises, le suspense sont au rendez-vous.
Arnaldur Indridason nous raconte en fait, deux histoires dans ce livre : celle de Matthildur bien-sûr, mais aussi celle d'une autre tempête survenue quand il avait dix ans et son petit frère, Berggur, huit ans ; ils avaient accompagné leur père à la recherche des brebis pour les ramener à la ferme et ils se sont perdus, n'y voyant pas à plus d'un mètre. On a retrouvé Erlendur gelé, à deux doigts de la mort, mais on n'a jamais retrouvé son petit frère.
Cette disparition hante l'inspecteur, jusque dans ses cauchemars et au fur et à mesure qu'il apprend des choses sur Matthildur, il retrouve des éléments sur l'endroit où Berggie a peut-être perdu la vie.
On en apprend davantage sur l'histoire personnelle d'Erlendur, qui a pris de l'épaisseur dans ce roman, ce qui rend le personnage attachant par ses failles, ses tourments, son refuge dans la vieille maison familiale abandonnée, dans des conditions spartiates : son sac de couchage, sa lampe torche, ses litres de café…
Un livre intéressant, que je classerais dans la rubrique « Romans noirs », mais qui ne m'a emballée autant que « La femme en vert » l'an dernier. Peut-être parce que ce n'est pas une enquête criminelle menée tambour battant, mais on sait que l'inspecteur travaille sur des disparitions anciennes non résolues,

J'apprécie davantage dans ce livre, le côté psychosociologique, la description de paysages fabuleux, les noms imprononçables, qui ont éveillé en moi une grande curiosité pour ce pays aux fjords et aux forêts, aux conditions de vie si dures dans le froid, bref l'Islande me passionne toujours autant. Donc, je vais continuer à explorer l'oeuvre d'Arnaldur Indridason.
Note : 7,5/10

étude plus approfondie sur mon blog
Lien : http://eveyeshe.canalblog.co..
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C'est dans les fjords de l'Est que l'on retrouve notre cher Erlendur. de retour dans la maison délabrée de son enfance, en proie encore à ses affreux cauchemars qui le hantent depuis tant d'années, il a décidé de s'y installer pour quelques jours, essayant d'élucider le mystère relatif à la disparition de son frère. Depuis ce jour maudit où il a lâché la main de Bergur en pleine tempête, il ne se remet pas de l'absence subite de ce dernier et se sent fautif. Arpentant les landes à la recherche de maigres indices, il va se trouver nez à nez avec Boas, un chasseur de renards, qui lui raconte l'histoire de Matthildur. Disparue il y a plus de 60 ans lors d'une grande tempête, son corps n'a jamais été retrouvé. C'est lors de cette même nuit qu'une soixantaine de Britanniques, faisant le chemin inverse, auraient dû la croiser. Ces derniers n'en sont pas tous sortis indemnes mais leurs corps ont tous été retrouvés. Un mystère plane alors sur Matthildur. Est-elle réellement partie de chez elle cette nuit-là? Qu'a-t-il pu advenir de son corps ? Et quelle est cette légende selon laquelle elle est venue hanter son mari Jakob, décédé en mer quelques années plus tard ? Erlendur va mener sa petite enquête afin que Hrund, la soeur de Matthildur, puisse enfin savoir ce qu'elle est devenue.

Ah, quel plaisir de retrouver ce cher Erlendur ! Plus que jamais mélancolique et en proie à ses démons, notre cher inspecteur s'isole pour quelques jours. Ce n'est pas à proprement parler d'une enquête dont il s'agit mais plutôt une mise en lumière sur des faits qui se sont déroulés des années plus tôt, avec d'une part la disparition de Matthildur et d'autre part celle de Bergur. Alternant ainsi les deux histoires, Indridason nous plonge dans la froideur des fjords. Il nous livre ici un roman nostalgique, relatant des disparitions et des pertes chères, dont le deuil est bien difficile à surmonter.
Etranges rivages montre une nouvelle facette d'Erlendur et ne le rend que plus attachant.

Etranges rivages... le mystère est levé...
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En cette semaine de rentrée, vous regrettez déjà vos dernières vacances dans le sud de la France. La longue attente à la caisse de la supérette pour acheter des chipos chimiques et du rosé tiède, les enfants colériques aux mains poisseuses de glace fondue, les parkings des plages toujours complets, la bouée, les brassards et le dauphin à gonfler et dégonfler chaque jour, les longues nuits sans sommeil à guetter le va-et-vient des moustiques sur un matelas inconfortable….. Erlendur a une toute autre conception des vacances. A la fin de l'automne, il se rend seul dans les Fjords de l'est, une des zones les moins peuplées d'Islande. Il y fait de longues randonnées, partant du fond d'un fjord, traversant la lande et longeant les montagnes. le soir, il campe dans une ferme laissée à l'abandon. Vive la solitude et les grands espaces et merde au confort ! La famille d'Erlendur est originaire de cette région, ses parents y sont enterrés et des souvenirs douloureux y sont enfouis. Enfant, il s'est retrouvé pris dans une tempête de neige avec son frère. Si Erlendur a été sauvé in extremis, le petit Bergur a disparu et son corps n'a jamais été retrouvé. le drame va marquer durablement la famille. Durant son séjour, le policier va se souvenir d'une autre disparition, celle de Matthildur au cours d'une violente tempête en janvier 1942. Comme pour Bergur, son corps n'a jamais été retrouvé. Erlendur commence à questionner tous les témoins qui ont connu la jeune femme. Ces personnes âgées vont l'aider - parfois par la contrainte - à percer le mystère entourant cette disparition mais vont aussi nous renseigner sur les conditions de vie difficiles des autochtones des fjords de l'est. Cette enquête officieuse va permettre à Erlendur de mener un travail sur son propre traumatisme. S'il est impossible de fuir son passé, il est nécessaire de l'affronter.
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Dans ce volume, on découvre un homme brisé par la disparition de son frère il y a une trentaine d'années, mais qui s'accroche toujours à l'espoir, il essaie encore de découvrir ce qui s'est passé.
Tout au long du roman, nous serons avec lui dans ces collines, cette lande sauvage et inhospitalière, balayée par les vents.
Il s'intéresse aussi à la disparition de tout un groupe de soldats et d'une jeune femme, tous ayant disparus au cours d'une tempête pendant la seconde guerre mondiale. Il sera amené à rencontrer toute une foule de personnes dont les secrets ont empoisonné l'existence.
Ce roman est un de mes préférés parmi les polars de cet auteur Islandais, tant les personnages y sont profondément touchants et humains.
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Erlendur, enfin !
Apres avoir lu en ronchonnant un peu les deux tomes précédents ( « La muraille de lave » et » La rivière noire » car le commissaire Erlendur semblait absent de la circulation, j'ai enfin pu le retrouver dans ce tome où il est indiscutablement et clairement le seul et unique personnage central.
Un roman sombre, comme l'âme tourmentée d'Erlendur qui n'en finit pas de chercher les réponses en lien avec la disparition de son jeune frère il y a plusieurs décennies. Un roman sombre comme l'environnement si particulier dans lequel évolue le personnage principal…..
Cette appétence et cet intérêt pour les disparitions (liée à son propre drame familial), va se traduire chez Erlendur à s'intéresser à la disparition (qui date, il faut le dire) d'une jeune femme.
Il va enquêter, fouiner, interroger, tout à fait en dehors d'une quelconque enquête policière, mais plus pour assouvir quelque chose qui va beaucoup plus loin qu'une simple curiosité….Car tout au long de cette histoire, on réalise qu'Erlendeur est en quête d ‘autre chose….
Comme d'habitude avec les livres de Arnaldur Indridasson, j'ai fait un petit périple en Islande. Alléchée par les noms exotiques et surtout absolument imprononçables pour ma part,, J'ai en effet l'habitude de faire des recherches sur le net et d'admirer ces endroits …
J'ai beaucoup aimé cette histoire, même s'il ne me reste plus beaucoup de livres dans ma Pal avec ce héros…Mais heureusement pour moi, Indridasson est un écrivain assez prolifique et cela laisse présager pour ma part encore de belles lectures en perspective….





Challenge ABC 2020/2021
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Erlendur est parti en vacances, l'auteur avait annoncé que c'était le dernier tome de la série ! Est-ce nous ses lecteurs qui l'avons fait revenir ?

Nous sommes dans la maison abandonnée où vivaient Erlendur, ses parents et son jeune frère disparu dans la montagne lors d'une tempête de neige. Erlendur revient parfois en ces lieux de son enfance, parcourt la région à la recherche du moindre indice. C'est la disparition de Bergur, son petit frère, qui a provoqué chez lui son obsession de la recherche des disparus.
Encore en vacances il enquête, de façon privée, sur la disparition d'une jeune femme à la même époque que celle de Bergur.
Arnaldur Indridason dépeint la région et ses habitants, leurs états d'âmes et la façon personnelle qu'à Erlendur d'amener ses interlocuteurs à confier leurs secrets.

Bon retour Erlendur, n'abandonne plus tes lecteurs.

A lire !
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En Islande, le commissaire Eslendur revient dans le village où il a passé une partie de son enfance. Il est hanté par la disparition de son jeune frère. Celle-ci va le pousser à enquêter officieusement sur la disparition dans la montagne lors d'une tempête de neige, en janvier 1942, d'une jeune femme, Matthildur. Eslendur va découvrir bien des secrets de famille en discutant avec Hrund, une des soeurs de Matthildur et Ezra, l'ancien ami de Jakob, le mari de Matthildur. Jakob était en réalité un homme dur, coureur de jupons, ce qui amène Eslendur à s'interroger sur les relations du couple. S'entendaient-ils aussi bien que cela ? La disparition de la jeune femme ne serait-elle pas plutôt un suicide, voire un crime passionnel ?

Je remercie mes anciens collègues de travail de m'avoir offert ce roman policier récemment. Je ne connaissais pas du tout A. Indridason qui est un des auteurs favoris d'une de ces collègues, cela m'a fait l'occasion de lire un de ses romans.
J'ai mis du temps à entrer dans ce livre, il a fallu que j'atteigne une bonne moitié du roman pour être convaincue par ma lecture car jusque là, je n'étais pas vraiment emballée sincèrement et je trouvais l'intrigue assez monotone et peu palpitante.
Ensuite, celle-ci devient plus intéressante car d'autres éléments se mettent en place et complexifient l'histoire ; le dénouement quant à lui est plutôt bien vu.
En revanche, ma lecture a été ralentie et rendue difficile par la complexité des noms de famille ou de lieux typiques islandais.
Par rapport à d'autres romans policiers scandinaves que j'ai lus (je pense notamment à Jussi Adler Olsen dont je suis fan) j'ai moins aimé ce roman, j'ai beaucoup moins retrouvé ce qui fait pour moi le charme de la littérature nordique et autant je guette la parution de nouveaux livres de Jussi Adler Olsen, autant je suis plus nuancée sur ce roman et pas certaine de lire d'autres romans de cet auteur, même si la fin a fait basculer mon avis du côté positif.
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"Saluons le retour d'Erlandur Sveinsson notre flic neurasthénique, islandais préféré. Les deux précédents romans d'Arnaldur Indridason mettaient en scène l'inspectrice Elinborg, accessoirement mère de famille et fin cordon bleu et Sigurdur Oli, inspecteur psychorigide et un poil réac.

Mais ou était passé Erlandur, en vacances peut être ? Erreur ! Erlandur ne part jamais en vacances, il disparait, il s'évanouit, il se terre, loin de la ville dans la région sauvages des fjords de l'Est ; mais est il besoin de préciser, des fjords de l'Est, tant l'Islande toute entière semble une région sauvage ?

Là, isolé sur les terre de l'ancienne ferme familiale livrée à tous les vents, il fouille la lande et sa mémoire. Arnaldur se croit responsable de la disparition de son petit frère alors qu'ils étaient enfants, pour guérir de ce trauma originel il n'a de cesse d'étudier le passé de son pays et de ses habitants. C'est en creusant, au sens propre comme au figuré, l'histoire d'une disparition vieille de 60ans qu'Arnaldur va ranimer la flamme si noire de sa mémoire et enfin pouvoir reconstruire le récit de sa propre tragédie familiale.

Merci Arnaldur Indridasson pour ce récit tragique et poignant, une douce mélancolie nous accompagne tout le long de la lecture et avec elle le bonheur de lire un beau livre triste".

Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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