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Pour une fois, il y a une originalité dans ces histoires de lycéen au milieu d'un club de théâtre puisque les principaux protagonistes ont tous des têtes d'animaux dans une société où les herbivores et les carnivores coexistent pacifiquement. Cependant, parfois la nature reprend le dessus. le meurtre d'un gentil alpaga sera le point de départ de ce récit où il est question de respect de la différence.

J'aime bien Legoshi, notre gentil héros qui semble être un méchant loup aux yeux de tous. Il est vrai que les carnivores sont plutôt mal vus dans cette société qu'ils pourraient cependant largement dominer. Ils ont même interdiction de consommer de la viande. Je ne pourrais jamais vivre dans une telle société herbivore.

A noter que le graphisme est plutôt réussi avec ces têtes d'animaux qui sont une espèce d'allégorie aux visages humains. Il y a une grande richesse qui se cache derrière cette histoire.

Le thème est celui du vivre ensemble genre black blanc beur. Ce n'est sans doute pas une réflexion inutile surtout de nos jours...
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Une découverte plutôt sympa sur la vie en communauté et tout ce que cela peut engendrer comme problème parfois.

D'autant plus qu'ici les personnages sont tous des animaux. Ils sont étudiants et si pendant les cours ils sont mélangés les dortoirs sont séparés entre les herbivores et les carnivores.

Autre particularité de ce campus pas comme les autres, la viande est interdite aux menus de la cantine.
Tout ce petit monde cohabite plutôt bien jusqu'au jour où Tem l'apaga est retrouvé assassiné. Cela ne peut être que l'oeuvre d'un carni . Dés lors la suspicion règne et la méfiance s'installe surtout envers Legoshi, un grand loup gris pourtant doux et timide.

Mais qui peut dire où sont les vrais méchants ? L'ambition et l'avidité du pouvoir n'est pas l'apanage du plus fort. Quant à l'instinct sauvage du carni, jusqu'où peut-il rester en sommeil ?

Belle allégorie de notre société d'humains, ce manga nous offre une autre vision du monde. L'agneau peut parfois faire peur au loup.

Merci à Babelio pour sa masse critique graphique et aux éditions KI-OON pour cette chouette lecture.

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Véritable phénomène au Japon, le manga Beastars débarque en France grâce aux éditions Ki-oon.
Beastars est l'oeuvre de la mangaka Paru Itagaki qui commence sa carrière en publiant Beast Complex dans le magazine Weekly Shonen Champion d'Akita Shoten en 2016.
Quelque mois plus tard, elle entame une série qui remporte un succès immédiat auprès du public et de la critique : Beastars.
Actuellement, l'aventure de Tegoshi et de ses camarades compte 12 volumes et a déjà reçu plusieurs prix prestigieux tels que le prix Osamu Tezuka ou le prix Manga Taishô 2018.
Tentons à présent de comprendre comment Beastars est devenu l'un des mangas les plus populaires au pays du soleil levant…

L‘école des animaux
Dans Beastars (maligne contraction de Beast et Stars…ou encore Be a stars), le lecteur plonge dans un monde anthropomorphes où les personnages sont en réalité tous des animaux divisés en deux catégories : les herbi(vores) et les carni(vores). Dans cet univers, les carnis n'ont pas le droit de manger de la viande, ce qui rend tout de même plus aisée la cohabitation avec les herbis.
L'institut Cherryton fait pourtant face à un drame suite au sauvage meurtre de Tem l'alpaga qui a fini dévoré sans que personne ne sache qui est le vraie responsable de cet acte barbare.
Certains, pourtant, on déjà des soupçons puisque dans le club de théâtre dont faisait partie Tem se trouve également Legoshi, un loup gris taciturne qui doit forcément caché de vilains secrets. Pour ramener le calme à l'institut, tous compte sur le prochain Beastar, l'élève le plus talentueux et respecté de l'école qui pourrait bien être Louis, le cerf rouge le plus en vue du club de théâtre.
Mais si Legoshi arrive dans un premier temps à calmer les esprits, c'était sans compter sur une rencontre imprévue avec une lapine particulièrement attirante : Haru.
Pourra-t-il refréner ses instincts animaux pour démasquer le véritable assassin de Tem ?
Car dans Beastars, il est beaucoup question d'instinct et de nature profonde. Paru Itagaki recycle le principe anthropomorphique d'Orwell pour creuser des thématiques humaines et transformer son institut en un laboratoire d'allégories et de métaphores toutes plus passionnantes les unes que les autres. Au coeur de la série se trouve une notion centrale : l'être vivant peut-il dominer ses pulsions naturelles devant les normes sociétales imposées ?
Et la réponse n'est pas du tout évidente…

Questions d'apparences
L'immense force de Beastars, c'est de jouer sur les conventions humaines en reprenant à son compte des comportements animaliers archi-connus.
Dès le premier volume, on comprend que tous les personnages sont victimes des à priori sur leurs apparences.
Legoshi, personnage principal de la série, est un loup gris imposant aux longues griffes…qui pourtant s'avère timide, réservé et doux comme un agneau.
En face, Louis le cerf, paisible herbivore au port altier s'avère bouffé par le stress en coulisse et bien moins sûr de lui que l'on pourrait le croire.
Citons également Haru, superbe personnage qui transforme une douce lapine en croqueuse d'hommes en faisant ainsi une traînée de service…selon ses camarades de classes.
Mais le vrai tour de force de Paru Itagaki, c'est de réunir des thématiques adolescentes ET adultes tout en utilisant à fond ses personnages d'animaux pour mettre en évidence clichés et préjugés.
Une fille qui a envie de coucher avec des garçons est-elle une pute si elle assume son propre désir ? Un mâle qui lutte contre ses instincts de prédateur est-il condamné à devenir un violeur ? Un élève-modèle est-il condamné à toujours réussir sans faillir ?
Le nombre de questions soulevées au cours de l'aventure ne cesse de croître tant et si bien que la question du meurtre initial devient très accessoire. le véritable objectif de Beastars, c'est avant tout de disséquer les conventions sociales.

Théâtre, sexe et carnivores
Pour entretenir son suspense et étendre son univers, Paru Itagaki creuse les relations entre les élèves de l'institut, introduit régulièrement de nouveaux personnages principaux et multiplie les intrigues.
Après la pièce de théâtre servant de révélateur sur la nature profonde des uns et des autres, elle emmène ses personnages à l'extérieur de l'institut dans le monde des adultes…et les choses se compliquent encore et encore.
Ici, Beastars se penche autant sur la misère que sur l'hypocrisie ordinaire.
Les adultes tolèrent par exemple l'existence d'un marché noir vendant de la viande alors que l'institut l'interdit strictement aux adolescents. Comme si l'âge adulte rimait avec plaisirs interdits et fautes morales.
Mais le plus génial dans cette excursion, c'est certainement de faire en sorte que les miséreux vendent littéralement leur corps dans la rue…et la réaction des acheteurs potentiels. Beastars n'est jamais aussi fort que lorsqu'il présente frontalement des problèmes de société courants.
Mieux encore, Paru Itagaki arrive à ne jamais tomber dans le soap et construit patiemment des personnages bourrés de contradictions devenant ainsi attachants en diable pour le lecteur. En tête, le couple Legoshi/Haru, à la fois totalement improbable et passionnant à suivre. On citera également quelques histoires indépendantes comme celle de la poule fière de son travail mais incapable de révéler au principal intéressé l'étendue de son talent.
Chaque moment de Beastars réjouit le lecteur, et c'est, mine de rien, une sacrée prouesse encore décuplé par le trait magnifique de son auteure.

Véritable révélation, Paru Itagaki livre ici un univers aussi riche qu'intelligent parsemé de personnages passionnants.
Sous un trait particulièrement léché, voici une série avec des animaux qui explore l'humain et la société moderne comme rarement.
Un vrai régal !
Lien : https://justaword.fr/beastar..
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J'adore toujours autant les personnages, les dessins. Ils sont fins, classes et détaillés. En vrai, je suis en admiration devant ces portraits d'animaux, surtout pour Louis (cerf) et Legoshi (loup) ou Gohin (panda). J'aimerais tellement dessiner comme ça.
L'intrigue avance, mais elle prend une tournure que je ne comprends pas trop. Je suis d'ailleurs mitigée quant au retournement de situation dans la dernière partie du manga. Il y a vraiment un petit côté psychopathe assez dérangeant qui ressort franchement dans ce tome. Legoshi a débusqué le tueur de Tem. Il a pris sa décision. Il est décidé à faire justice seul. Il va défier le coupable en duel le 31 décembre. Il a besoin de Louis comme soutien. Louis doit se séparer du gang des Lions pour aller à ce rendez-vous. Mettra-t-il en péril le gang pour Legoshi. Sera-t-il au rendez-vous ? Combattre le mal par le mal, c'est courageux ou tout simplement stupide ? Est-ce la seule solution ? Legoshi sera-t-il assez fort ?
Malgré ce retournement qui m'a prise au dépourvu, j'ai envie de continuer et de connaître la suite des aventures de Legoshi.
Lien : https://lesparaversdemillina..
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Les enjeux présentés dans les premiers chapitres sont l'organisation d'une pièce de théâtre et l'élection du représentant des élèves, le fameux « Beaststars ». Des problématiques pouvant apparaître totalement triviales, pour ne pas dire anodines ou futiles.

Cependant, cela n'empêche pas ce manga de développer une thématique sur les différentes formes que peut prendre la violence interpersonnelle et les notions de représentation sociales réelles et fictives. En effet, la Fantasy est ici employée pour créer une structure sociale surnaturelle qui se veut une radicalisation de nos comportements humains. Pour autant, l'ambiance n'est pas pesante ou désagréable à suivre. Les tensions sont sous-jacentes et surtout ressenti à différents niveaux, que se soient dans l'opposition la plus binaire, carnivore et herbivore, ou au sein de ces deux « communautés ».

Oppositions biologiques auxquelles se rajoutent les origines sociales ainsi que les hiérarchies de groupe entre les personnes aux services du « talent » ou des « problèmes » des autres. Sans oublier les singularités personnelles… L'histoire commence par un meurtre qui fait plonger dans les spécificités de l'univers en évitant une surexposition laborieuse ou nébuleuse. Et puis, le quotidien prend le dessus sur cet événement tragique.

Ce drame étant une fatalité ou une validation d'une croyance suivant la volonté des individus. En effet, les personnages sont le point d'accroche de ce titre, car ils comportent tous de quoi susciter le respect, l'agacement, voire l'incompréhension. Contexte lycée oblige, les motivations sont souvent juvéniles, notamment la quête d'identité et le positionnement sociale. Cependant, ils sont assez travaillés et ambigües pour être intriguant. En particulier, dans le maillage des différentes relations. L'exemple le plus flagrant étant le grand loup gris Legoshi et le cerf Louis qui s'attirent et se révulsent mutuellement.

Et même les personnages moins mis en avant apparaissent comme des entités propres et pas juste des stéréotypes qui agissent mécaniquement pour servir l'intrigue. Il est agréable de suivre les différents points de vue, même les plus secondaires, ce qui ôte tout sentiment de lourdeur. Ainsi, la grande diversité de la faune de Beastars nous montre que chacun crée l'échelle de valeur qui l'arrange pour se positionner de la manière la plus confortable pour sa personne. Cela n'empêche pas certains individus d'y arriver avec une certaine bienveillance, voir d'être plutôt altruistes. Mais l'enfer est pavé de bonnes attentions et refouler certains désirs peut nourrir des démons intérieurs assez compliqués à gérer.

De la pulsion bestiale à l'ambition égotique. Même si le récit est guidé par son casting, l'univers est subtilement expliqué par petites touches malignes et amusantes. Ces éléments sont souvent construits sur des mécanismes mis en place pour maintenir le vivre ensemble d'une concentration de physiologies bigarrées et opposées. D'ailleurs, la partie graphique est surtout remarquable dans sa façon de donner énormément de caractérisation et de spécificité à ses protagonistes.

Notamment, Legoshi dont le statut d'anti-héros se sent dans le moindre de ses postures, de la plus douce à la plus menaçante. Beastars est un manga décrivant des tranches de vie lycéenne tout en installant une tension sous-jacente permanente.

Toujours agréable à lire, amusant, parfois violent, jamais anodin, ce manga peut divertir sans jamais jouer la carte du manichéisme ou de la moralisation opportuniste. Les prochains tomes confirmeront l'envergure de cette série, notamment sur les notions d'exercice du pouvoir et d'animalité.
Lien : http://www.elbakin.net/fanta..
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D'abord, il y a le rendu graphique de cette BD animalière. L'aspect crayonné donne un rendu un peu brut, pas dépourvu d'une certaine poésie, avec une certaine force aussi. Certains animaux s'en tirent mieux que les autres. On y reviendra.

Ensuite, il y a l'histoire. Je n'ai pas vraiment eu un flash en me disant "wouaw c'est super neuf". Des carnis et des herbis (traduisez: des carnivores et des herbvores") qui vivent ensemble dans un collège et qui préparent une pièce de théâtre... cela m'a fait l'effet d'un dessin animé pas trop vieux. OK, peut-être que le manga est plus ancien que le dessin animé. Mais même, ce n'est pas hyper original.

Au départ, un herbi, Tem, se fait bouffer par un carni. On ignore quel est le coupable, bien sûr et on pense s'orienter vers un polar. L'Inspecteur Canardo n'est pas loin, m'assure-t-on... Sauf que l'univers est loin d'être celui d'un polar noir.

C'est là que le manga commence à être intéressant. Au-delà des affrontements entre herbis apeurés et carnis frustrés de ne pouvoir se servir sur le premier ruminant ou rongeur qui passe... on assiste à une profonde étude de moeurs qui dépasse largement le cadre de la fiction.

Le tome 1 reste quand même un peu frileux de ce point de vue-là. Mais on peut entrevoir, dans la psychologie de différents animaux des traits très humains qui ne déplairaient pas à Monsieur de la Fontaine. La suite mérite sans doute d'être considérée avec attention.
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☼ Mon avis ☼


Beastars est un titre qui possède son propre univers grâce à ces personnages qui cohabitent ensemble.
Ce titre a eu un tel succès qu'on retrouve déjà des posters, des marque-pages et de nombreux porte-clés à l'effigie des protagonistes.
Au fil des pages, les soupçons sont portés sur Legoshi, un loup à la carrure de prédateur qui était d'ailleurs ami avec la victime.
Legoshi est très maladroit, il est habitué à être montré du doigt depuis sa plus jeune enfance.
Depuis la mort de Tem, les élèves trouvent que le comportement du loup devient très étrange.
Je trouve que ce premier volume commence sur les chapeaux de roues avec un meurtre dès les premières pages.
Le drame risque de chambouler les quotidiens de ces êtres.
Le scénario est intrigant grâce à Legoshi qui se montre distant, on peut facilement l'inculper du meurtre et pourtant l'auteur nous le présente comme un loup rempli d'émotions, mystérieux mais qui possède beaucoup de générosité.
Son travail d'éclairagiste prouve qu'il reste dans l'ombre alors que les autres élèves sont illuminés par les projecteurs.
Certains passages restent sombres et inquiétants, il y a pas mal de problématique dans cette oeuvre.
La mangaka a voulu représenter différents thèmes comme l'acceptation de soi ou bien de la différence.
L'auteur joue également sur les expressions des visages grâce aux trames au lieu de montrer plus de détails dans ces dessins.
Beastars est un concept passionnant avec un univers qui reflète les nombreux soucis de la société.
Il y a énormément de chose à dire sur ce tome car l'auteur ne reste pas bloqué sur le drame, il y a un vrai travail derrière.
On se pose beaucoup de questions sur le Beastars qui consiste à devenir le leader de l'école, il peut régner et est promis au plus brillant avenir une fois sorti du bahut.
Ce concept risque de prendre de l'ampleur lors du prochain tome.
J'ai particulièrement aimé ma lecture par contre le style graphique reste beaucoup trop brouillon à mon goût.
La maison d'édition Ki-oon a su réaliser un travail exemplaire avec des bonus, des petites histoires sous la jaquette et de magnifique page supplémentaire.
En conclusion : Ce premier tome est pour ma part une très bonne réussite, j'ai hâte de découvrir la suite.
Lien : https://mangastra.blogspot.c..
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Quelle agréable surprise !!!

J'avoue que je ne savais pas du tout sur quoi j'allais tomber ni de quoi ça parlait et c'est tant mieux!
J'ai plongé dans ce manga et je ne suis pas déçue bien au contraire.

Un manga où tous les personnages sont des animaux anthropomorphes dont l'apparence ne reflète finalement pas forcément leur nature tel que Legoshi grand loup gris immédiatement accusé du meurtre ayant eu lieu dans son école or il s'avère que c'est "quelqu'un" de très bienveillant, foncièrement gentil et honnête.
D'autres sujets sociétaux sont au coeur de ce manga atypique qui mérite vraiment que l'on s'y intéresse !
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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Voilà je me lance encore dans une série de manga !!!

J'aime beaucoup le concept de celui ci les animaux ont une forme humanoïde un peu à la Zootopie .
Sauf que ici manger de la viande est strictement interdit .
Nous suivons un lycée où un meurtre a eu lieu et tout porte à croire que l'herbivore a été tué par un carnivore.

Je ne suis pas très fan du coup de crayon pour le moment mais l'histoire a du potentiel donc je pense continuer a suivre leurs aventures .

Bonne lecture à tous
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Après l'animé, la version papier !
L'histoire vous plonge dans un monde fictif, où l'humain a été remplacé par toutes les bêtes à poils, à plumes et à écailles connus ! On débarque dans une école où tout ce beau petit monde cohabite normalement en harmonie en suivant quelques règles... Ou presque, l'histoire débutant sur le meurtre d'un « herbivore »...
L'univers est très simple à comprendre et utilise les véritables caractéristiques des animaux ce qui donne un côté très sympa à l'ensemble, même si l'auteur leur a donné une touche de côté humain dans certaines façons de penser sans que cela se remarque au premiers abord.
La qualité du dessin est au rendez-vous, j'ai eu un petit coup de coeur pour les coloration parfois légèrement décaler par rapport au trait et les traits qui m'ont semblé plus « stressés » sur les zone de tension ou d'action et même parfois sur les « carnivores » comme pour mieux nous donner envie de marquer une différence avec les « herbivores »
Le texte est très approprié dans le sens où ce sont des étudiants qui parlent, se questionnent et se prennent la tête. L'ensemble se dévore très rapidement même si ce tome est d'une assez belle épaisseur.
J'espère véritablement que l'auteur continuera sur cette lancée pour les prochains tomes !
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