Avec ce livre, nous ne sommes pas éloignés du théâtre de Michaux, dont Franck André Jamme fut proche, ni d’une certaine épure beckettienne, épure atténuée cependant par une sorte de halo onirique et l’étonnement, tour à tour effrayé et respectueux, devant l’énigme qu’est la vie.
Les lecteurs de Franck André Jamme sont habitués à ces poèmes où passent les voix d’hommes et de femmes, sans que ces derniers soien nommés ni même précisés.