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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Il était une fois trois petites filles, Mi, Do et La.
Elles ont une marraine, une vieille dame riche. On appelle cette marraine, marraine Midola.
La meurt, Mi devient Michèle et Do, Dominique.
Marraine Midola est la grand-mère de Mi, apparemment et Do, la cousine de Mi mais est-ce vraiment vrai? C'est peut-être le contraire, qui sait.
Et puis quand la marraine meurt qui va hériter? Mi a grand train, Do lui colle aux basques et profite des bontés de sa cousine jusqu'au drame.
Le drame c'est un incendie dans la villa du Cap Cadet.
L'une des fille meurt et l'autre est grièvement brulée à tel point qu'il est impossible de savoir qui est morte et qui survit. Plus d'empreinte, rien.
De plus la survivante est amnésique. Une amnésie passagère dit le médecin.
Jeanne, la bonne Jeanne, la femme de confiance de marraine est là.
Elle aide la survivante a se souvenir, elle lui donne même une identité mais est-ce la bonne ?
Magicien de chez magicien, Japrisot, nous mène par le bout du nez. Qui est qui, comment est le testament, qui hérite et qui est deshéritée? Pourquoi l'incendie, criminel ou pas?
Bref du grand, du bon roman, du bon thriller à tel point que l'on finit par se demander si l'auteur sait qui est qui? Qui est décédée et qui est sauvée, amnésique. Et puis la gouvernante dans tout ça, pour qui roule t-elle ? Pour elle ? Ce qui est sûr c'est qu'elle est championne du monde du dos rond.
On l'aura compris j'ai été épaté par ce bouquin, qui a été lu en deux temps, trois mouvements. Mais gare, il faut parfois revenir et relire sinon le cerveau est troublé et je me sui demandé où cela me menait, mais bon, il ne fallait pas chercher mais lire, lire oui et ne pas chercher.
A la fin je me demande toujours si je n'ai pas rêvé et mon idée, car j'en ai une, est la bonne et, non, je ne la révélerait pas ici.
Elle est certainement pas la bonne.
Il y a un goût de reviens-y dans cette histoire.
C'est bien écrit et les personnages et leurs caractères sont emballés dans du papier doré.
On y rencontre aussi quelques profiteurs mais bon, c'est ambiant.
Du luxe!
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Sébastien Japrisot réalise un travail d'orfèvre. Ses romans fonctionnent avec la précision d'un mécanisme d'horlogerie qui entraîne le scénario vers son dénouement inéluctable. Mais les pièces du dispositif (des éléments anodins de contexte, des phrases sibyllines prononcées …) ne sont pas si apparentes et leur fonction échappe le plus souvent au lecteur, sauf une fois la lecture du livre terminée. Encore faut-il que le lecteur – comme dans mon cas – effectue un salutaire travail de recherche des indices passés inaperçus pour vérifier certaines hypothèses, lorsque la vérité (une vérité ?) finit par être suggérée. Bref, les romans de Japrisot sont complexes, cérébraux, troublants, autorisent plusieurs lectures, sont truffés de chausse-trappes et de miroirs déformants, et celui-ci comporte encore plus de pièges que les autres.
Piège pour Cendrillon démarre comme une comptine : « il était une fois, il y a bien longtemps, trois petites filles, la première Mi, la seconde Do, la troisième La. »
Ces trois petites filles ont été élevées par leur marraine Midola, en réalité une richissime industrielle italienne, la Raffermi, qui a fait fortune dans la chaussure. Arrive le jour où la Raffermi décède et c'est sa nièce Mi (Micky ou Michèle Isola), la seule des trois filles faisant réellement partie de la famille, qui doit hériter de son immense fortune.
Mi se réveille à l'hôpital, telle une momie entourée de bandelettes, totalement amnésique. Elle vient d'échapper à un incendie. Son ami d'enfance Do (Domenica Loï) n'a pas eu cette chance car elle n'a pas pu être sauvée. A grand renfort de chirurgie esthétique et de greffes de peau, Mi va pouvoir retrouver un visage tout neuf et des mains. A son réveil, Mi est prise en charge par Jeanne Murneau, l'assistante de la Raffermi, qui va l'aider à retrouver ses souvenirs et son passé. Mais Mi va se rendre compte rapidement que certaines choses ne collent pas. Jeanne Murneau lui dit-elle toute la vérité ? Certains indices vont faire penser à Mi qu'elle est peut-être Do…
Sébastien Japrisot se joue des codes du polar et aime brouiller les pistes. Il reprend ici les rôles traditionnels inhérents à tout bon polar et distribue toutes les cartes… à la même personne ! Même Agatha Christie, coutumière de la falsification des rôles, n'était pas allée aussi loin. La couleur est annoncée sur la quatrième de couverture : la narratrice assume les quatre rôles à la fois (« Je suis l'enquêteur, je suis le témoin, je suis la victime, je suis l'assassin ; je suis les quatre ensemble, mais qui suis-je ? ») Ceci fonctionne car l'identité de la narratrice reste incertaine, pour elle-même comme pour le lecteur.
Deux grandes thèses s'affrontent. L'incendie est criminel et il y a une victime : un meurtre a bien été commis. Mais la victime visée était-elle Mi ou Do ? En quête de son identité réelle, ne faisant aucune confiance à Jeanne, la jeune femme poursuit ses investigations (enquêtrice), fouille son passé (témoin), comprend qu'elle est manipulée (victime) et qu'elle est peut-être complice et coupable d'un meurtre (assassin). Les personnages secondaires qui apparaissent successivement, témoignent et contribuent à la résolution de l'enquête, mais leurs récits contradictoires favorisent l'une ou l'autre des hypothèses, ajoutant à la confusion de la narratrice (et du lecteur).
Sébastien Japrisot construit son récit en sept parties : J'aurai assassiné, j'assassinai, j'aurais assassiné, j'assassinerai, j'ai assassiné, j'assassine, j'avais assassiné. Cette conjugaison obsessionnelle guide le récit sans le guinder. Sébastien Japrisot déroule son roman sur plusieurs époques (avant et après le meurtre) et change de narratrice en alternant les points de vue de Mi et de Do. Jusqu'au bout, l'identité de la nouvelle Mi restera incertaine, y compris pour elle.
Le lecteur peut en première lecture choisir de rester dans cette indécision, ce qui est quand-même un peu frustrant, avouons-le. Mais il peut également prendre en compte la toute dernière phrase du roman (page 220), qui renvoie à un petit détail (page 183) et à un énorme indice (page 200) qui n'ayant pas été placés là au hasard par Sébastien Japrisot, donnent à mon avis, par recoupement, l'ultime clé du roman. Un véritable tour de force !
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Une jeune fille brûlée au visage et aux mains, se réveille amnésique, dans un lit d'hôpital. Au fil de visites de quelques personnes qui prétendent la connaitre, elle tente de reconstituer le puzzle. Elle s'appellerait Mi alias Michèle et avait une amie Dominique - Do - qu'elle hébergeait et qui a été victime de l'incendie qui a détruit la maison qu'elles occupaient. Au fur et à mesure de ses souvenirs imposés par ces quelques visiteurs, elle essaye de se retrouver : est-elle la victime ou l'instigatrice d'un meurtre, est-elle l'héritière de la fortune de sa tante richissime décédée quelques mois auparavant ou l'amie pauvre, le faire-valoir de la jeune et riche héritière ?
Entre amnésie, souvenirs suggérés ou inventés, réflexes automatiques et réactions contradictoires, la pauvre Mi a du mal à faire la part des choses.
En endossant tour à tour les rôles de victimes d'assassin d'enquêteur ou d'assassinée, Mi se cherche et se perd....

Piège pour Cendrillon est une enquête originale menée par une jeune amnésique qui progresse dans ses souvenirs en même temps que le lecteur, à l'aide d'indices distillés savamment pour faire le tri dans les évènements et les informations qu'elles tentent de recouper...
De nouveau du grand Sébastien Japrisot, avec intelligence et une grande finesse psychologique, il arrive à se mettre dans la peau de cette jeune fille avec ses questionnements, affrontant les doutes et les faux-semblants et faisant preuve d'une grande ténacité pour démêler le vrai du faux.
Un thriller intimiste et et une quête personnelle.
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Le titre m'avait sauté dans l'oeil lors d'un club de lecture, n'arrivant pas à l'oublier que ne fut pas ma surprise quand ma mère m'a dit il y a peu : « Au fait, ton livre, on l'a ». Je lui ai fait faire toutes ses biblis pour me le trouver. Un fois chez moi, tranquillement, je l'ai commencé. Je ne connaissais rien à l'histoire et j'avoue qu'au début j'ai été un peu étonnée, voir décontenancée. Mais le polar est fait pour ça. Et la fin, cette fin… oserais-je… oui, j'ose à la Shutter Island. On est sûre de rien et c'est ça qui est bien.
A mettre dans toutes les mains et à dévorer… absolument
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Elles s'appellent Mi, Do et La, ce sont trois amies inséparables qui ont une marraine nommée Midola. La meurt soudainement. Mi et Do grandissent, deviennent Michèle et Dominique et se perdent de vue, puis se retrouvent, peu avant le décès de marraine Midola qui laisse une grande fortune à ses héritiers. Suite à un tragique incendie dans lequel Dominique a péri, Michèle se réveille dans une chambre d'hôpital, gravement brûlée au visage et aux mains. Elle est devenue amnésique. Peu à peu, avec l'aide de proches, elle va essayer de reconstituer le fil de son existence jusqu'à l'incendie. Qui est-elle vraiment ?

J'ai beaucoup aimé ce livre tortueux et énigmatique. C'est le deuxième livre de Japrisot que je lis après : « La dame dans l'auto avec des lunettes et un fusil ». On retrouve dans ces deux livres un questionnement sur la folie du narrateur.

Le début se présente comme une petite fable, à l'image d'un conte de fées, mais avec une dimension tragique puisque plusieurs décès sont rapportés. Ce premier chapitre intitulé « J'aurai assassiné » est capital. Je l'ai d'ailleurs relu après avoir tourné la dernière page du livre : il fournit des clefs de compréhension de l'histoire. Il ne faut pas se laisser rebuter par son côté mystérieux, la suite permet de lui donner sens.

Les différents chapitres ont des titres très courts et leur construction est très originale : on retrouve le verbe « assassiner » conjugué à la première personne du singulier à différents temps, depuis : « J'aurai assassiné » jusqu'à « J'avais assassiné ». Ces titres nous permettent de comprendre que Japrisot a écrit un policier, bâti autour d'un meurtre.

L'amnésie de la narratrice rend l'histoire encore plus captivante et mystérieuse : elle apprend des éléments de son histoire en écoutant ses proches lui en raconter des bribes. Ainsi, elle peut reconstituer sa vie par morceaux qui ne se suivent pas forcément et offrir ce puzzle complexe au lecteur.

Jusqu'à la fin, le lecteur se pose de multiples questions sur la narratrice. La construction du roman alterne des récits présents écrits à la première personne du singulier, sous forme d'un témoignage offert par la jeune femme amnésique, et des récits passés rapportés par des connaissances de la narratrice. On navigue entre l'amnésie actuelle et le souvenir, ce qui rend la lecture déconcertante, mais en même temps instructive et captivante. On progresse peu à peu vers le dénouement.

Un livre mystérieux, d'une construction déroutante mais passionnant de bout en bout. Une écriture précise et enchanteresse, avec beaucoup de dialogues, mettant en relief la psychologie des personnages.
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Parfois la vie nous malmène, elle nous réserve des coup dur et elle bouscule ainsi nos envies de lectures voir elle les blocs carrément. C'est ce qui met arriver et je n'arrivait plus à entrer dans mes bouquins en court. J'ai cru à un trop plein, une panne. Et puis je suis tomber sur ce petit polar en rangeant ma bibliothèque et le désir est revenue. Il faut dire qu'il y a une telle rigueur dans la construction et une telle poésie dans les mots de Japrisot que j'ai eu envie de le relire
Mais alors que nous raconte ce « Piège pour Cendrillon »
Trois petites filles ont été élevées par une vieille dame riche la Raffermi. Les enfant l'appelle Marraine Midola. C'est trois petites filles c'est Mi, Do, La. La dernière meurt. Reste Mi et Do
Michèle Isola, Mi à 20 ans, Elle se réveille à l'hôpital après avoir été victime d'un incendie qui semble criminel. Mi est défigurée et elle est la seule rescapé du drame qui a frappé sa famille et sa cousine et amie d'enfance Dominica, Do.
Il ne reste qu'elle, et elle est l'héritière de la grande fortune de Midola c'est du moins ce que lui raconte Jeanne Murneau, le secrétaire particulière et l'assistante des Raffermi. Ou bien son ancienne gouvernante. Mi ne sait plus, Jeanne est si mystérieuse.
Et en plus Mi souffre d'amnésie, et elle ne sait même plus qui elle est.
Aussi va-t-elle tenter de recueillir des témoignages pour essayer de retrouver son identité. Mais Mi doute, elle ne sais vraiment plus. Sous les bandelettes qui couvrent son visage défiguré, peut-on deviné Mi ou bien reconnaitre Do.
Alors, Mi pour se retrouvé va nous raconter l'histoire d'un meurtre, se présentant comme à la fois l'enquêtrice, le témoin, la victime et l'assassin.
Japrisot fait ici un travail digne d'un orfèvre. Il brouille les pistes, il distille une atmosphère vénéneuse.
Son livre est juste parfait. Ici la narration est au service du suspense. En 7 chapitres il décline le verbe assassiner à la première personne de singulier et à tout les temps. Ainsi,il explore à la fois l'âme féminine et la souffrance humaine. On sent la jalousie poindre, et avec elle apparaitre l'avidité. Il est question ici aussi de manipulation.
Et notre auteur nous propose un piège inattendu et subtil dans lequel la lectrice que je suis ne pouvait que tomber !
Ce superbe polar a recu le Grand Prix de la Littérature Policière – Français – 1963
Lien : https://collectifpolar.wordp..
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Un tour de force, encore un, de Sébastien Japrisot. "J'aurai assassiné, J'assassinai, J'aurais assassiné, J'assassinerai, J'ai assassiné, J'assassine, J'avais assassiné": sur cette découpe clinique et cynique de son livre, le lecteur se perd, s'égare, ne comprend pas ou au contraire à peur de comprendre. On ne sait même pas qui exactement est la narratrice, comme le dit si bien la quatrième de couverture. Un grand moment du thriller français.
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Il était une fois, trois petites filles qui s'appelaient Mi, Do et La. Elles avaient une marraine qu'on appelait marraine Midola. Cette marraine était fort riche.

Cela ressemble à un début de conte de fées sous fond musical. Mais Piège pour Cendrillon est tout sauf un conte de fées. Car ce conte-ci vire vite au cauchemar.
Michèle (alias Mi), Domenica (alias Do) et La (dont je ne me rappelle plus le prénom, si tant est qu'il soit mentionné dans le livre) grandissent ensemble. La meurt jeune. Mi et Do suivent des chemins différents jusqu'à une heureuse (ou malheureuse selon le point de vue) rencontre où elle vont se retrouver. Lors d'un tragique incendie survenue sur le lieu de vacances des deux jeunes filles, Do meurt. Il ne reste plus que Mi, grièvement brûlé méconnaissable et amnésique. Mais au fur et à mesure de sa convalescence, Mi se pose des questions. Est-elle bien Mi? Tout porte à le croire, mais elle en vient à douter de plus en plus. Jeanne, la gouvernante qui l'a élevée d'une main de fer depuis son enfance semble bizarre et certaines de ses réflexions lui mettent la puce à l'oreille. Ne serait-elle pas Do finalement, car le jeune fille décédée n'a pu être reconnue. Etait-ce un accident, ou une volonté délibérée de supprimer la vie d'une des deux jeunes filles? Quel en serait le mobile alors? L'argent? La Jalousie? La vengeance?
Mi ou Do va donc essayer de remettre les pièces du puzzle en place et ce qu'elle découvrira sera digne de ses pires cauchemars.

Piège pour Cendrillon est ma première incursion dans l'univers de Sébastien Japrisot. Je n'ai même jamais vu un seul film adapté de ses romans. Il va falloir que j'y remédie car cette première lecture m'a beaucoup plu.
Certes, je me suis parfois embrouillée au niveau des personnages, presqu'autant que Mi/Do mais j'ai aimé cette ambiance d'incertitude dans laquelle Japrisot nous plonge tout au long de son livre.
J'ai également aimé l'intitulé des chapitres qui m'ont permis de réviser ma conjugaison. En effet, le verbe assasiner est conjugué à un temps à chaque fois différent à chaque chapitre (j'assassinai, j'assassine, j'ai assassiné...). Ces titres permettent également d'appréhender un peu mieux l'état d'esprit de Mi/Do, ses doutes, ses certitudes.
Enfin, étant musicienne dans l'âme, le petit clin d'oeil aux notes de musique m'a bien amusé, bien que ce ne soit pas une sérénade que Sébastien Japrisot nous ait joué.
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Après les 20 premières pages je pensais avoir tout compris du livre et de la fin.......quel ne fut pas mon bonheur de voir 20 pages après que l'histoire et les personnages seraient sans doute beaucoup plus complexes que je ne l'avais imaginé.
L'histoire est vraiment très bien ficelée, même si je n'ai pas décortiqué le livre pour voir si il y avait des incohérences.....
Impossible de le lâcher une fois commencé, personnages vraiment attachants dans leurs failles et leurs tourments.
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De Sébastien Japrisot, je ne connaissais qu' "un long dimanche de fiançailles".
Surprise, je découvre "piège pour Cendrillon" dans ma PAL de plusieurs centaines de livres.

Quel suspense ! Comme dirait les jeunes aujourd'hui c'est "claqué au sol" comme histoire.
Et en effet, il faut bien reconnaître qu'on ne voit rien arriver.
Déjà, je ne suis pas une férue de suspens mais je pense que même les adeptes du genre n'ont pas du comprendre où l'auteur les emmenait.

C'est avec des faux airs de Bussi, encore que je pense que "Piège pour Cendrillon" est plus ancien que certains Bussi, Sébastien Japrisot nous emmène dans une sombre histoire de meurtre et d'héritage.
C'est construit à un point tel qu'on ne sait plus qui est qui.
La victime est-elle réellement celle qu'on imagine ?
En tout les cas, le suspense ne se relâche pas.
J'ai dévoré le livre en moins de 24 heures.
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